C'est une protection utile contre le chômage, souvent on l'évoque comme gage de recrutement dans le secteur privé ou public. Cependant, l’obligation d’un diplôme pour exercer un métier n'est plus à décrire, jusqu'au point où le recruteur exige un doctorat, un Bac+3 et autres.
Bien que réussir sans diplôme constitue une véritable épreuve, face la concurrence des jeunes diplômés sur le marché, inversement, le concept de moins de diplômés et plus de compétences a pris le dessus, face la nouvelle tendance des nouveaux métiers.
À cet effet, le talent semble compter plus qu’un quelconque diplôme. Cependant, les étapes importantes pour réussir à entreprendre, en sortant du système éducatif, voient le jour dans plusieurs pays. Ouvrant ainsi cette possibilité de réussir sans un diplôme, ni passer par des grandes écoles et universités. Le sociologue François Dubet souligne que l’adéquation entre le diplôme et l’emploi est de moins en moins assurée. Il existe de nos jours des doctorats inutiles.
Le monde éducatif tente d’améliorer le niveau des élèves, alors que le monde économique veut bénéficier d’une main d’œuvre bien formée, mais de moins en moins chère. Pire encore, les compétences évoluent beaucoup plus vite que les formations proposées par les écoles et les universités.
De ce fait, les autodidactes ont profité des opportunités, remplaçant ainsi leur parcours scolaire chaotique par des petites formations, et faisant une belle carrière dans les domaines d’activités qu'ils mènent. Surtout, l'avènement de l'Internet ouvre la porte aux opportunités. À cela s'ajoute, l'Intelligence Artificielle sans formation universitaire qui permet d’acquérir des compétences techniques pointues.
Pour Ismaël Hassan, étudiant en L2 au département d'économie à l'université de Ndjamena, « beaucoup d'entre nous, n'ont pas oublié ce concept, il faut aller à l'école, bien étudié et après ton diplôme, tu deviendras un directeur. Bien qu'on ne répond pas à une question par une question. Mr le journaliste combien sont les chômeurs fabriqués par nos universités et Instituts ? Réussir sans diplôme est possible, on trouve des jeunes au grand marché, ils n'ont aucun diplôme en informatique. Mais ils peuvent démonter et installer ta machine », explique-t-il.
Selon Rachel Remadjita, vendeuse en ligne des vêtements et accessoires, « cette histoire d'avoir de gros diplômes pour réussir dans la vie, c'est du passé. J'ai une licence professionnelle en gestion hospitalière depuis 2005, aujourd'hui je travaille à mon compte et je continue à apprendre dans les outils de la nouvelle technologie pour la vente de mes articles », a-t-elle répondu.
Avant de donner prochainement la parole aux professionnels, il faut reconnaître que certains secteurs d'activités nécessitent de diplômes, à l'exemple de la médecine, de l'ingénierie, pour ne citer que ceux-là.
Bien que réussir sans diplôme constitue une véritable épreuve, face la concurrence des jeunes diplômés sur le marché, inversement, le concept de moins de diplômés et plus de compétences a pris le dessus, face la nouvelle tendance des nouveaux métiers.
À cet effet, le talent semble compter plus qu’un quelconque diplôme. Cependant, les étapes importantes pour réussir à entreprendre, en sortant du système éducatif, voient le jour dans plusieurs pays. Ouvrant ainsi cette possibilité de réussir sans un diplôme, ni passer par des grandes écoles et universités. Le sociologue François Dubet souligne que l’adéquation entre le diplôme et l’emploi est de moins en moins assurée. Il existe de nos jours des doctorats inutiles.
Le monde éducatif tente d’améliorer le niveau des élèves, alors que le monde économique veut bénéficier d’une main d’œuvre bien formée, mais de moins en moins chère. Pire encore, les compétences évoluent beaucoup plus vite que les formations proposées par les écoles et les universités.
De ce fait, les autodidactes ont profité des opportunités, remplaçant ainsi leur parcours scolaire chaotique par des petites formations, et faisant une belle carrière dans les domaines d’activités qu'ils mènent. Surtout, l'avènement de l'Internet ouvre la porte aux opportunités. À cela s'ajoute, l'Intelligence Artificielle sans formation universitaire qui permet d’acquérir des compétences techniques pointues.
Pour Ismaël Hassan, étudiant en L2 au département d'économie à l'université de Ndjamena, « beaucoup d'entre nous, n'ont pas oublié ce concept, il faut aller à l'école, bien étudié et après ton diplôme, tu deviendras un directeur. Bien qu'on ne répond pas à une question par une question. Mr le journaliste combien sont les chômeurs fabriqués par nos universités et Instituts ? Réussir sans diplôme est possible, on trouve des jeunes au grand marché, ils n'ont aucun diplôme en informatique. Mais ils peuvent démonter et installer ta machine », explique-t-il.
Selon Rachel Remadjita, vendeuse en ligne des vêtements et accessoires, « cette histoire d'avoir de gros diplômes pour réussir dans la vie, c'est du passé. J'ai une licence professionnelle en gestion hospitalière depuis 2005, aujourd'hui je travaille à mon compte et je continue à apprendre dans les outils de la nouvelle technologie pour la vente de mes articles », a-t-elle répondu.
Avant de donner prochainement la parole aux professionnels, il faut reconnaître que certains secteurs d'activités nécessitent de diplômes, à l'exemple de la médecine, de l'ingénierie, pour ne citer que ceux-là.