Cette conférence-débat a été organisée en collaboration avec Buness School (CBS CEFOD). Le Coordonnateur National de l'OTAC, Ngarassal Saham Jacques, a ouvert les débats en soulignant que la corruption est un fléau qui mine les sociétés, entrave le développement économique et social, et sape la confiance des citoyens dans leurs institutions.
Des sous-thèmes tels que « Les défis de la lutte contre la corruption » et « Genre et formation de l'intégrité de demain » ont été respectivement abordés par Souleyman Abdelkerim Cherif, contrôleur de l'Autorité Indépendante de Lutte contre la Corruption (AILC), et Achta Djibrine Sy, ancienne ministre.
Le contrôleur de l'AILC a estimé que la corruption est le résultat de dysfonctionnements et de raccourcis. « Les dysfonctionnements sont la conséquence du non-respect des règles et des textes de la République. Quant aux raccourcis, ils renvoient à la recherche de gains faciles et au communautarisme », a-t-il expliqué. En conclusion, il a souligné que ces deux fléaux minent le développement du Tchad.
Répondant aux questions des étudiants, majoritairement composés de jeunes, le contrôleur a déclaré : « On ne peut pas arrêter la corruption, mais on peut diminuer son influence ».
Mme Achta Djibrine Sy s'est adressée à la jeunesse en déclarant : « Si les jeunes sont bien encadrés et orientés, ils sont capables de contribuer de manière significative aux processus de transparence, d'accroissement de l'accès à l'information, de vulgarisation des outils permettant de détecter et de signaler les phénomènes de corruption ».
Des sous-thèmes tels que « Les défis de la lutte contre la corruption » et « Genre et formation de l'intégrité de demain » ont été respectivement abordés par Souleyman Abdelkerim Cherif, contrôleur de l'Autorité Indépendante de Lutte contre la Corruption (AILC), et Achta Djibrine Sy, ancienne ministre.
Le contrôleur de l'AILC a estimé que la corruption est le résultat de dysfonctionnements et de raccourcis. « Les dysfonctionnements sont la conséquence du non-respect des règles et des textes de la République. Quant aux raccourcis, ils renvoient à la recherche de gains faciles et au communautarisme », a-t-il expliqué. En conclusion, il a souligné que ces deux fléaux minent le développement du Tchad.
Répondant aux questions des étudiants, majoritairement composés de jeunes, le contrôleur a déclaré : « On ne peut pas arrêter la corruption, mais on peut diminuer son influence ».
Mme Achta Djibrine Sy s'est adressée à la jeunesse en déclarant : « Si les jeunes sont bien encadrés et orientés, ils sont capables de contribuer de manière significative aux processus de transparence, d'accroissement de l'accès à l'information, de vulgarisation des outils permettant de détecter et de signaler les phénomènes de corruption ».