Lomé - Le ministre des affaires étrangères, Prof Robert Dussey a lancé le 2 juillet dernier à Lomé, le projet de création du Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur (HCTE). En début de semaine, les inscriptions pour le vote ont été ouvertes aux membres de la diaspora et un appel à candidature a même été lancé.
Mais certains regroupements de la diaspora togolaise protestent contre le projet et accusent le gouvernement togolais. Dans un communiqué rendu public le jeudi 18 juillet 2019, le Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Togolais de l’Extérieur a tenu à rétablir la vérité face à la campagne qui est menée dans la diaspora contre la création du HCTE.
Dans la note, le Ministre Dussey explique que la mise en place du HCTE s’inscrit dans la vision du renforcement de la politique du gouvernement à l’endroit de la diaspora togolaise. Pour le département de Robert Dussey, l’initiative vise l’amélioration de la communication et des relations entre le gouvernement et la diaspora.
« Le Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur sera un organe consultatif de statut associatif, non partisan, non discriminatoire et à but non lucratif. Il ne sera affilié à aucune obédience confessionnelle, philosophique ou politique », a tenu à clarifier le ministère du Prof Dussey.
De même, il est précisé dans le communiqué que les membres de la Commission Electorale Indépendante du Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur (CEI-HCTE) ont été identifiés par appel à candidature daté du 08 juillet 2019. De ce fait, le Ministre soutient qu’il n’est nullement question « d’utiliser les données personnelles des Togolais de l’extérieur à des fins quelconques ».
« … les procédures prévues dans le processus électoral du HCTE visent à s’assurer de la nationalité togolaise des électeurs et des candidats aux postes de Délégués Pays du HCTE », rassure le Chef de la diplomatie togolaise.
Robert Dussey rappelle que la mise en place d’un HCTE est l’une des recommandations phares ayant sanctionné les grandes assises de la diaspora togolaise tenues en 2014 à Paris, Montréal et Lomé. « De surcroit, le Ministère voudrait souligner que dans plusieurs pays ouest africains, le Haut Conseil de la diaspora servant d’interface entre le Gouvernement et la diaspora, est une institution dont la mise en place est souvent impulsée par les pouvoirs publics », peut-on lire dans la note.
Pour finir, le ministère dit être ouvert aux propositions et suggestions et encourage tous les Togolais(e)s de l’extérieur, animés de l’amour pour leur patrie, à se « démarquer de toutes actions d’intoxications et de désinformations sur la mise en place du HCTE ».
Mais certains regroupements de la diaspora togolaise protestent contre le projet et accusent le gouvernement togolais. Dans un communiqué rendu public le jeudi 18 juillet 2019, le Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Togolais de l’Extérieur a tenu à rétablir la vérité face à la campagne qui est menée dans la diaspora contre la création du HCTE.
Dans la note, le Ministre Dussey explique que la mise en place du HCTE s’inscrit dans la vision du renforcement de la politique du gouvernement à l’endroit de la diaspora togolaise. Pour le département de Robert Dussey, l’initiative vise l’amélioration de la communication et des relations entre le gouvernement et la diaspora.
« Le Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur sera un organe consultatif de statut associatif, non partisan, non discriminatoire et à but non lucratif. Il ne sera affilié à aucune obédience confessionnelle, philosophique ou politique », a tenu à clarifier le ministère du Prof Dussey.
De même, il est précisé dans le communiqué que les membres de la Commission Electorale Indépendante du Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur (CEI-HCTE) ont été identifiés par appel à candidature daté du 08 juillet 2019. De ce fait, le Ministre soutient qu’il n’est nullement question « d’utiliser les données personnelles des Togolais de l’extérieur à des fins quelconques ».
« … les procédures prévues dans le processus électoral du HCTE visent à s’assurer de la nationalité togolaise des électeurs et des candidats aux postes de Délégués Pays du HCTE », rassure le Chef de la diplomatie togolaise.
Robert Dussey rappelle que la mise en place d’un HCTE est l’une des recommandations phares ayant sanctionné les grandes assises de la diaspora togolaise tenues en 2014 à Paris, Montréal et Lomé. « De surcroit, le Ministère voudrait souligner que dans plusieurs pays ouest africains, le Haut Conseil de la diaspora servant d’interface entre le Gouvernement et la diaspora, est une institution dont la mise en place est souvent impulsée par les pouvoirs publics », peut-on lire dans la note.
Pour finir, le ministère dit être ouvert aux propositions et suggestions et encourage tous les Togolais(e)s de l’extérieur, animés de l’amour pour leur patrie, à se « démarquer de toutes actions d’intoxications et de désinformations sur la mise en place du HCTE ».