Une avenue de N'Djamena vide lors d'une grève des transporteurs. Alwihda Info
L’atelier des politiques sur le thème « la consolidation de la paix et la stabilité par le dialogue politique au Tchad » tenu du 26 au 28 février dernier dans les locaux de l’Hôtel Radisson Blu, est une rencontre de plus, mais qu’est ce qui va changer concrètement dans le quotidien du peuple tchadien à travers ces interminables assises ?
Quoi de plus normal que de se retrouver, en frères autour d’une table pour diagnostiquer les maux du pays et de les résoudre en tant qu’acteurs politiques. Mais quel impact cela a, au niveau individuel ? Car, le but ultime d’un acte, en tant qu’acteur politique, c’est son impact sur la vie des populations. Puisqu’on fait la politique pour les hommes, leur opinion et la manière dont ils vivent sont essentielles.
Sur ce tableau de ce que les citoyens tirent de l’action des politiques, il y a problème. Alors, il faut que les politiques soient conséquent avec le peuple. Les interminables rencontres des politiques tchadiens ne servent-ils pas qu’à leur ventre ? Puisque les résolutions de ces rencontres qui coûtent des fortunes ne sont que générales et abstraites.
Le cas dudit atelier qui a vu la participation des experts venus des autres pays, où des millions ont été injectés pendant que le peuple crie et meurt de faim. Ces travaux ont permis d’avoir 14 résolutions parmi lesquelles l’on note par exemple: créer un organe de cohésion nationale. L’organe va être créé, oui, mais comment faire cette cohésion nationale ? Il est vrai qu’en politique, le faux et le vrai portent le même pagne, comme disait Amadou Kourouma. Mais, que ceux aux noms desquels on se retrouve dans les somptueux hôtels puissent ne serait-ce qu’avoir accès à l’école, aux soins, à l’eau potable, etc. Or, personne ne pense au peuple.
L’important pour ces politiques est de participer aux ateliers. Le comble est que certains responsables de ces partis politiques ne sont que leur propre ombre, ils ne correspondent à rien du tout. Leur parti se résume à leur famille restreinte. Cette catégorie de politiques souhaite que les assises se tiennent et surtout continuellement.
Ainsi, les partis politiques sont devenus des cartes d’accès à la mangeoire simplement. Nos politiques, du moins la majorité, sont tous tenus par leur ventre, pour tout en tout. C’est un triste constat.
Quoi de plus normal que de se retrouver, en frères autour d’une table pour diagnostiquer les maux du pays et de les résoudre en tant qu’acteurs politiques. Mais quel impact cela a, au niveau individuel ? Car, le but ultime d’un acte, en tant qu’acteur politique, c’est son impact sur la vie des populations. Puisqu’on fait la politique pour les hommes, leur opinion et la manière dont ils vivent sont essentielles.
Sur ce tableau de ce que les citoyens tirent de l’action des politiques, il y a problème. Alors, il faut que les politiques soient conséquent avec le peuple. Les interminables rencontres des politiques tchadiens ne servent-ils pas qu’à leur ventre ? Puisque les résolutions de ces rencontres qui coûtent des fortunes ne sont que générales et abstraites.
Le cas dudit atelier qui a vu la participation des experts venus des autres pays, où des millions ont été injectés pendant que le peuple crie et meurt de faim. Ces travaux ont permis d’avoir 14 résolutions parmi lesquelles l’on note par exemple: créer un organe de cohésion nationale. L’organe va être créé, oui, mais comment faire cette cohésion nationale ? Il est vrai qu’en politique, le faux et le vrai portent le même pagne, comme disait Amadou Kourouma. Mais, que ceux aux noms desquels on se retrouve dans les somptueux hôtels puissent ne serait-ce qu’avoir accès à l’école, aux soins, à l’eau potable, etc. Or, personne ne pense au peuple.
L’important pour ces politiques est de participer aux ateliers. Le comble est que certains responsables de ces partis politiques ne sont que leur propre ombre, ils ne correspondent à rien du tout. Leur parti se résume à leur famille restreinte. Cette catégorie de politiques souhaite que les assises se tiennent et surtout continuellement.
Ainsi, les partis politiques sont devenus des cartes d’accès à la mangeoire simplement. Nos politiques, du moins la majorité, sont tous tenus par leur ventre, pour tout en tout. C’est un triste constat.