Fadoul Souleyman - [email protected]
Bien que le Nord du Tchad fût instable politiquement pendant des décennies, la société n’a pas perdue son dynamisme et sa vie en harmonie. L’unicité de la religion lui a permis de sauvegarder l’équilibre social comme le respect mutuel entre grand petit, enfant parent.
Depuis quelques années, des changements brusques et destructifs ont étés aperçu dans le nord, mais malheureusement la plupart de nos frères aînés ne voient pas encore cette lueur pleine de surprises qui se pointe à l’horizon. Ce changement dangereux pourrait affecter l’avenir de la génération future si des enquêtes ne sont pas ouvertes et des mésures ne sont pas prises maintenant.
Quel est donc ce danger ? Qui l’a planifié? Quels sont les agents sur le terrain responsables de l’exécution de ce plan ? A qui profite la déstabilisation de notre société ?
La réponse à ces questions nous permettra de comprendre le visage caché de certaines ONG au Tchad afin de prévenir le pire, et également aidera nos parents, nos jeunes frères ainsi que nos chers cadres ainés de mieux s’informer.
Le 20/04/1993, une conférence fût tenue à Rome qui avait pour objectif d’évangéliser l’Afrique en général et la partie nord du Tchad en particulier. Un programme bien étudié et planifié avait donc vu le jour. Le budget initial alloué à ce programme était de 3,5 milliards de dollars, dont la part du Tchad seul était de trois milliards de dollars, compte tenu de son importance stratégique et son développement économique et, à cet égard, disait le ministre des Affaires étrangères du Vatican: « Ce que nous dépensons au Tchad aujourd’hui comme étant l’un des pays les plus pauvres dans le monde, nous le récupérons avec facilité au cours des quatre prochaines années, parce que le territoire du Tchad, une des terres les plus riches en Afrique».
Les Effets sur le terrain :
Des résultats palpables de la mise en exécution de ce programme est visible aujourd’hui sur le terrain (Abéché, Oum-Hadjer, Ati, Adré, Mongo Moussoro etc.). Ceci se traduit par la création des écoles chrétiennes, la conversion des certains musulmans analphabètes au christianisme en échange d’argent, des ONG trop actives faisant semblant d’aider la population mais leur vrai objectif est l’appui de ce programme. Le germe du christianisme est alors inculqué aux enfants, aux jeunes et aux pauvres paysans d’une manière ou d’une autre, implicitement ou explicitement.
En guise d’exemple, prenons l’école chrétienne d’Oum-Hadjer qui mettait toute son énergie pour donner une formation de qualité afin d’attirer plus d’enfants. Profitant du manque de contrôle de la commission scolaire d’une part et de l’analphabétisme des parents d’autre part, des idées très négatives à l’égard de l’islam et des musulmans ont été enseignées implicitement aux enfants pendant des années. Rêvant d’atteindre son objectif le plus vite possible, l’administration de l’école avait décidé en 2008 d’informer officiellement cette fois- ci les parents de son programme d’enseignement de la bible. Cette déclaration avait suscitée la colère de toute la population, maisgrâce à Dieu le pire a été évité mais sa trace existe déjà. L’enseignement biblique était donc reporté pour une date ultérieure. Cependant, la grande ambition de ces derniers persiste.
Maintenant écoutons certains enfants interrogés par leur parents à ce sujet :
Qu’est ce qu’on vous a enseigné ?
On nous a dit que : «Un enfant qui fréquente l école coranique ne sera jamais ministre ni directeur mais tout ce qu’’il pourrait être, c est un blakoro ou pauvre marabou»
Quoi encore ?
« Tellement que Dieu n’aime pas les musulmans, Il les a obligé de frapper leur visage par terre cinq fois par jour, etc.…», faisant allusion aux cinq prières.
Pour plus d’informations ou de confirmation contacter le comité islamique d’Oum-Hadjer.
En conclusion, nous rappellerons que l’éducation est un droit légitime de tous les enfants du Tchad, mais celle-ci ne doit pas servir un moyen à ces ONG mal intentionnées de déraciner nos enfants et notre population au profit de certaines idéologies étrangères. J’invite également les compatriotes inculpées dans ce vaste programme au solde de l’étranger de se renoncer et de les dénoncer, car la paix que notre pays vient de retrouver est inégalable et il ne sert à rien de créer des problèmes que le Nord n’a jamais connu. Je vous encourage à lire le propos du président de la République lors de la grande prière qui dit : «Nous ne voulons pas des étrangers qui viennent chez nous qui se disent des érudits, des grands prêtres, des grands oulémas et qui viennent nous dire comment vont les chrétiens, comment vont les musulmans, que font les chrétiens, que font les protestants ? A ceux là, je leur dis non ! Nous avons nos hommes religieux ; nos érudits à qui Dieu leur a confiée la mission. Et ils accomplissent cette mission avec la plus grande honnêteté, la plus grande sagesse ; ils n’ont pas besoin des leçons de l’extérieur. Ecoutez leur voix et suivezleur conseil ; vous sortirez le Tchad des ténèbres. Vous mettrez votre pays dans la lumière ».
D’autre part, j’exhorte nos cadres ainées de prendre leur responsabilité en menant une enquête dans les départements concernés afin de contrecarrer ce grand danger avant qu’il ne soit trop tard.
Depuis quelques années, des changements brusques et destructifs ont étés aperçu dans le nord, mais malheureusement la plupart de nos frères aînés ne voient pas encore cette lueur pleine de surprises qui se pointe à l’horizon. Ce changement dangereux pourrait affecter l’avenir de la génération future si des enquêtes ne sont pas ouvertes et des mésures ne sont pas prises maintenant.
Quel est donc ce danger ? Qui l’a planifié? Quels sont les agents sur le terrain responsables de l’exécution de ce plan ? A qui profite la déstabilisation de notre société ?
La réponse à ces questions nous permettra de comprendre le visage caché de certaines ONG au Tchad afin de prévenir le pire, et également aidera nos parents, nos jeunes frères ainsi que nos chers cadres ainés de mieux s’informer.
Le 20/04/1993, une conférence fût tenue à Rome qui avait pour objectif d’évangéliser l’Afrique en général et la partie nord du Tchad en particulier. Un programme bien étudié et planifié avait donc vu le jour. Le budget initial alloué à ce programme était de 3,5 milliards de dollars, dont la part du Tchad seul était de trois milliards de dollars, compte tenu de son importance stratégique et son développement économique et, à cet égard, disait le ministre des Affaires étrangères du Vatican: « Ce que nous dépensons au Tchad aujourd’hui comme étant l’un des pays les plus pauvres dans le monde, nous le récupérons avec facilité au cours des quatre prochaines années, parce que le territoire du Tchad, une des terres les plus riches en Afrique».
Les Effets sur le terrain :
Des résultats palpables de la mise en exécution de ce programme est visible aujourd’hui sur le terrain (Abéché, Oum-Hadjer, Ati, Adré, Mongo Moussoro etc.). Ceci se traduit par la création des écoles chrétiennes, la conversion des certains musulmans analphabètes au christianisme en échange d’argent, des ONG trop actives faisant semblant d’aider la population mais leur vrai objectif est l’appui de ce programme. Le germe du christianisme est alors inculqué aux enfants, aux jeunes et aux pauvres paysans d’une manière ou d’une autre, implicitement ou explicitement.
En guise d’exemple, prenons l’école chrétienne d’Oum-Hadjer qui mettait toute son énergie pour donner une formation de qualité afin d’attirer plus d’enfants. Profitant du manque de contrôle de la commission scolaire d’une part et de l’analphabétisme des parents d’autre part, des idées très négatives à l’égard de l’islam et des musulmans ont été enseignées implicitement aux enfants pendant des années. Rêvant d’atteindre son objectif le plus vite possible, l’administration de l’école avait décidé en 2008 d’informer officiellement cette fois- ci les parents de son programme d’enseignement de la bible. Cette déclaration avait suscitée la colère de toute la population, maisgrâce à Dieu le pire a été évité mais sa trace existe déjà. L’enseignement biblique était donc reporté pour une date ultérieure. Cependant, la grande ambition de ces derniers persiste.
Maintenant écoutons certains enfants interrogés par leur parents à ce sujet :
Qu’est ce qu’on vous a enseigné ?
On nous a dit que : «Un enfant qui fréquente l école coranique ne sera jamais ministre ni directeur mais tout ce qu’’il pourrait être, c est un blakoro ou pauvre marabou»
Quoi encore ?
« Tellement que Dieu n’aime pas les musulmans, Il les a obligé de frapper leur visage par terre cinq fois par jour, etc.…», faisant allusion aux cinq prières.
Pour plus d’informations ou de confirmation contacter le comité islamique d’Oum-Hadjer.
En conclusion, nous rappellerons que l’éducation est un droit légitime de tous les enfants du Tchad, mais celle-ci ne doit pas servir un moyen à ces ONG mal intentionnées de déraciner nos enfants et notre population au profit de certaines idéologies étrangères. J’invite également les compatriotes inculpées dans ce vaste programme au solde de l’étranger de se renoncer et de les dénoncer, car la paix que notre pays vient de retrouver est inégalable et il ne sert à rien de créer des problèmes que le Nord n’a jamais connu. Je vous encourage à lire le propos du président de la République lors de la grande prière qui dit : «Nous ne voulons pas des étrangers qui viennent chez nous qui se disent des érudits, des grands prêtres, des grands oulémas et qui viennent nous dire comment vont les chrétiens, comment vont les musulmans, que font les chrétiens, que font les protestants ? A ceux là, je leur dis non ! Nous avons nos hommes religieux ; nos érudits à qui Dieu leur a confiée la mission. Et ils accomplissent cette mission avec la plus grande honnêteté, la plus grande sagesse ; ils n’ont pas besoin des leçons de l’extérieur. Ecoutez leur voix et suivezleur conseil ; vous sortirez le Tchad des ténèbres. Vous mettrez votre pays dans la lumière ».
D’autre part, j’exhorte nos cadres ainées de prendre leur responsabilité en menant une enquête dans les départements concernés afin de contrecarrer ce grand danger avant qu’il ne soit trop tard.