Du jamais vu ! Les sahraouis marocains séquestrés dans les camps de la honte s'insurgent et s'en prennent, pour la première fois, à des postes de surveillance mixte, polisario et gendarmerie algérienne.
En effet, un poste de contrôle algéro-polisarien, sis à l'Est du camp dit "Laayoune", a été investi, dans la nuit du 14 au 15 septembre 2015, par un groupe de sahraouis marocains embastillés qui ont réussi à récupérer de nombreuses armes, dont des kalachnikovs, des grenades offensives et défensives, des armes de poing ainsi qu'une grande quantité de munitions.
Un évènement unique en son genre dans cette 6ème région militaire algérienne qui intervient après la condamnation, le 14 septembre 2015, par le pseudo tribunal militaire polisarien à Rabouni de 09 citoyens sahraouis marocains originaires des tribus Rguibat et Aït Oussa pour un soit disant trafic de drogues alors qu'ils tentaient, en réalité à rejoindre leur pays, le Maroc.
Un incident qui fait suite à celui qui s'est déroulé le 05 septembre 2015 dans cette même 6ème région militaire algérienne lors d'une soit disant visite d'inspection dans les pseudo zones militaires polisariennes à Tindouf par le renégat Mohamed Abdelaziz.
Un incident qui a vu des sahraouis originaires de la Tribu Tekna s'en prendre à la marionnette de l'Algérie, accusant les chefs polisariens de corruption, d'accumulation de fortunes colossales, de contrebandes à grandes échelles, de détournements d'aides humanitaires internationales et de détérioration des conditions de vie dans les camps de la honte de Tindouf.
A noter, que les services algériens sont sans pitié envers tout sahraoui des camps de Tindouf qui tente de rejoindre le Maroc. Un chasseur bombardier algérien n'a t-il pas tiré, le 31 août 2015, un missile contre un véhicule transportant 06 séquestrés sahraouis marocains qui tentaient de franchir la frontière algéro- marocaine ? Un crime qui rappelle étrangement celui perpétré une semaine auparavant par cette même armée algérienne en Kabylie au cours duquel des jeunes kabyles ont été trouvés morts calcinés dans leur véhicule.
A défaut de pouvoir combattre le terrorisme, les trafiquants de drogue et le trafic d'êtres humains sur son territoire, les autorités algériennes usent et abusent des grands moyens militaires contre ceux qui ne demandent qu'à retourner chez eux et à vivre dignement. Si il le faut, les sahraouis marocains embastillés dans les camps de concentration de Tindouf recouvreront leur liberté et rejoindront leur Patrie, qu'est le Maroc, par les armes.
La seule chose que l'on puisse dire à ces renégats du polisario est que, en paraphrasant Louis Aragon, encore faudrait-il qu'ils le connaissent, "un beau soir, regardant le coucher de soleil on s'aperçoit que l'avenir s'appelle le passé et c'est seulement à ce moment là que l'on se retourne pour voir sa jeunesse" ; une jeunesse, des séquestrés sahraouis marocains qui a été brûlée par des responsables algériens pendant plus de 40 ans ainsi que celle des 350 000 expulsés marocaines et marocains d'Algérie dans des conditions effroyables le jour de la plus importante fête musulmane qu'est la l'Aïd Adha, en décembre 1975 ; il faut le faire. Le Maroc, dans sa grande mansuétude a refusé de répondre à cette provocation.
En effet, un poste de contrôle algéro-polisarien, sis à l'Est du camp dit "Laayoune", a été investi, dans la nuit du 14 au 15 septembre 2015, par un groupe de sahraouis marocains embastillés qui ont réussi à récupérer de nombreuses armes, dont des kalachnikovs, des grenades offensives et défensives, des armes de poing ainsi qu'une grande quantité de munitions.
Un évènement unique en son genre dans cette 6ème région militaire algérienne qui intervient après la condamnation, le 14 septembre 2015, par le pseudo tribunal militaire polisarien à Rabouni de 09 citoyens sahraouis marocains originaires des tribus Rguibat et Aït Oussa pour un soit disant trafic de drogues alors qu'ils tentaient, en réalité à rejoindre leur pays, le Maroc.
Un incident qui fait suite à celui qui s'est déroulé le 05 septembre 2015 dans cette même 6ème région militaire algérienne lors d'une soit disant visite d'inspection dans les pseudo zones militaires polisariennes à Tindouf par le renégat Mohamed Abdelaziz.
Un incident qui a vu des sahraouis originaires de la Tribu Tekna s'en prendre à la marionnette de l'Algérie, accusant les chefs polisariens de corruption, d'accumulation de fortunes colossales, de contrebandes à grandes échelles, de détournements d'aides humanitaires internationales et de détérioration des conditions de vie dans les camps de la honte de Tindouf.
A noter, que les services algériens sont sans pitié envers tout sahraoui des camps de Tindouf qui tente de rejoindre le Maroc. Un chasseur bombardier algérien n'a t-il pas tiré, le 31 août 2015, un missile contre un véhicule transportant 06 séquestrés sahraouis marocains qui tentaient de franchir la frontière algéro- marocaine ? Un crime qui rappelle étrangement celui perpétré une semaine auparavant par cette même armée algérienne en Kabylie au cours duquel des jeunes kabyles ont été trouvés morts calcinés dans leur véhicule.
A défaut de pouvoir combattre le terrorisme, les trafiquants de drogue et le trafic d'êtres humains sur son territoire, les autorités algériennes usent et abusent des grands moyens militaires contre ceux qui ne demandent qu'à retourner chez eux et à vivre dignement. Si il le faut, les sahraouis marocains embastillés dans les camps de concentration de Tindouf recouvreront leur liberté et rejoindront leur Patrie, qu'est le Maroc, par les armes.
La seule chose que l'on puisse dire à ces renégats du polisario est que, en paraphrasant Louis Aragon, encore faudrait-il qu'ils le connaissent, "un beau soir, regardant le coucher de soleil on s'aperçoit que l'avenir s'appelle le passé et c'est seulement à ce moment là que l'on se retourne pour voir sa jeunesse" ; une jeunesse, des séquestrés sahraouis marocains qui a été brûlée par des responsables algériens pendant plus de 40 ans ainsi que celle des 350 000 expulsés marocaines et marocains d'Algérie dans des conditions effroyables le jour de la plus importante fête musulmane qu'est la l'Aïd Adha, en décembre 1975 ; il faut le faire. Le Maroc, dans sa grande mansuétude a refusé de répondre à cette provocation.