Les terroristes d’AQMI menacent la stabilité et la sécurité du Mali
Depuis plusieurs semaines des informations fiables font état de connexions entre les rebelles touaregs et les terroristes d’AQMI afin de contrôler le Nord du Mali et déstabiliser politiquement ce pays.
Pour la réussite de leur entreprise, la direction des mercenaires du polisario a mis à leur service sa connaissance et sa maîtrise de la zone sahélo-saharienne algérienne ainsi que ses effectifs humains et sa logistique. Le tout avec l’aval bien entendu des gradés d’Alger.
De plus, les dernières nouvelles en provenance du Mali, confirment que des centaines de personnes (soldats et civils maliens) ont été exécutées froidement et même égorgées à Aguelhoc fin janvier 2012. Une méthode qui rappelle étrangement celle utilisée par Al Qaida, mais aussi par le GIA, un appendice de la DRS algérienne crée par les défunts généraux Mohamed Lamari et Larbi Belkheir pour terroriser le peuple algérien et les Kabyles.
Les autorités maliennes ont également affirmé que des terroristes d’AQMI étaient aux côtés des rebelles touaregs de l’AZAWAD, confirmant pour la première fois une connexion entre ces deux organisations.
A rappeler que des centaines de rebelles touaregs sont revenus de Libye après la chute de Kadhafi. Même leur chef militaire Ag Mohammed Najem est un ancien mercenaire à la solde de l’ex-dictateur libyen caserné à Sebha et qui est retourné au Nord Mali avec ses hommes, armes et bagages, notamment des armes de pointe dont des missiles sol-air.
Par ailleurs, il est permis d’affirmer que la déstabilisation du Mali, du Niger, du Tchad, et de la Mauritanie entrainerait fatalement celle des pays limitrophes comme le Burkina Faso, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et surtout permettrait la jonction effective entre l’AQMI et la secte terroriste islamiste Boko Haram très active au Nigéria.
Il est donc clair qu’aujourd’hui les craintes dune propagation du conflit de ce conflit interne au Mali sont certaines et pourrait entraîner un embrasement de la région sahélo-saharienne et ouest africaine, sans oublier que l’Afrique de l’Est est déjà embrasée par les terroristes islamistes.
Tous les ingrédients sont donc présents pour y contribuer. Des terroristes d’AQMI, des rebelles touaregs lourdement armés, des mercenaires du polisario et un laxisme des autorités sécuritaires, militaires et politiques algériennes.
La question qui serait logique de se poser serait celle-ci : comment un pays comme l’Algérie peut-il arguer qu’il n’est pas au courant de ce qui se passe sur son territoire et à fortiori sur ses frontières sud, proches des sites stratégiques que sont les gisements pétrolifères ?
A mon avis, il me semble que l’Algérie tente par tous les moyens de déstabiliser et d’asservir les pays de la bande du Sahel afin de tenter de pouvoir jouer un rôle diplomatique sur la scène continentale.
En conclusion, il est justement permis d’affirmer que :
1/ la grave détérioration de la situation au Sahel, malgré toutes les initiatives conjointes avec les pays voisins, démontre que le chef d’état-major de l’ANP algérienne, le général Salah Gaïd n’a aucune autorité internationale et a largement atteint ses limites de commandement,
2/ le maillon le plus faible de l’arc saharo-sahélien est bien le Mali car c’est dans ce pays que se produisent actuellement des évènements dont les conséquences risquent d’être catastrophiques en raison de la proximité de trois autres foyers de déstabilisation que sont le nord du Nigeria avec la secte fondamentaliste Boko Haram, la région du Sahara algérien avec AQMI et les confins sahariens algéro-mauritaniens avec le Polisario.
3/ que la solution réside dans le respect de la stabilité, la sécurité et de l'intégrité territoriale du Mali,
4/ que seule une solution politique, et non militaire, pourrait mettre fin à cette rébellion touarègue et donc à toute tentative d’exploitation par l’AQMI, bien implanté dans les confins sahariens algériens, à condition que les algériens n’y mettent pas leur grain de sel, gèrent la sécurité sur leur territoire, assurent l’étanchéité de leurs frontières terrestres et règlent définitivement la question du polisario selon les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité de l’ONU conformément au plan proposé par le Maroc et accepté par la communauté internationale.
Depuis plusieurs semaines des informations fiables font état de connexions entre les rebelles touaregs et les terroristes d’AQMI afin de contrôler le Nord du Mali et déstabiliser politiquement ce pays.
Pour la réussite de leur entreprise, la direction des mercenaires du polisario a mis à leur service sa connaissance et sa maîtrise de la zone sahélo-saharienne algérienne ainsi que ses effectifs humains et sa logistique. Le tout avec l’aval bien entendu des gradés d’Alger.
De plus, les dernières nouvelles en provenance du Mali, confirment que des centaines de personnes (soldats et civils maliens) ont été exécutées froidement et même égorgées à Aguelhoc fin janvier 2012. Une méthode qui rappelle étrangement celle utilisée par Al Qaida, mais aussi par le GIA, un appendice de la DRS algérienne crée par les défunts généraux Mohamed Lamari et Larbi Belkheir pour terroriser le peuple algérien et les Kabyles.
Les autorités maliennes ont également affirmé que des terroristes d’AQMI étaient aux côtés des rebelles touaregs de l’AZAWAD, confirmant pour la première fois une connexion entre ces deux organisations.
A rappeler que des centaines de rebelles touaregs sont revenus de Libye après la chute de Kadhafi. Même leur chef militaire Ag Mohammed Najem est un ancien mercenaire à la solde de l’ex-dictateur libyen caserné à Sebha et qui est retourné au Nord Mali avec ses hommes, armes et bagages, notamment des armes de pointe dont des missiles sol-air.
Par ailleurs, il est permis d’affirmer que la déstabilisation du Mali, du Niger, du Tchad, et de la Mauritanie entrainerait fatalement celle des pays limitrophes comme le Burkina Faso, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et surtout permettrait la jonction effective entre l’AQMI et la secte terroriste islamiste Boko Haram très active au Nigéria.
Il est donc clair qu’aujourd’hui les craintes dune propagation du conflit de ce conflit interne au Mali sont certaines et pourrait entraîner un embrasement de la région sahélo-saharienne et ouest africaine, sans oublier que l’Afrique de l’Est est déjà embrasée par les terroristes islamistes.
Tous les ingrédients sont donc présents pour y contribuer. Des terroristes d’AQMI, des rebelles touaregs lourdement armés, des mercenaires du polisario et un laxisme des autorités sécuritaires, militaires et politiques algériennes.
La question qui serait logique de se poser serait celle-ci : comment un pays comme l’Algérie peut-il arguer qu’il n’est pas au courant de ce qui se passe sur son territoire et à fortiori sur ses frontières sud, proches des sites stratégiques que sont les gisements pétrolifères ?
A mon avis, il me semble que l’Algérie tente par tous les moyens de déstabiliser et d’asservir les pays de la bande du Sahel afin de tenter de pouvoir jouer un rôle diplomatique sur la scène continentale.
En conclusion, il est justement permis d’affirmer que :
1/ la grave détérioration de la situation au Sahel, malgré toutes les initiatives conjointes avec les pays voisins, démontre que le chef d’état-major de l’ANP algérienne, le général Salah Gaïd n’a aucune autorité internationale et a largement atteint ses limites de commandement,
2/ le maillon le plus faible de l’arc saharo-sahélien est bien le Mali car c’est dans ce pays que se produisent actuellement des évènements dont les conséquences risquent d’être catastrophiques en raison de la proximité de trois autres foyers de déstabilisation que sont le nord du Nigeria avec la secte fondamentaliste Boko Haram, la région du Sahara algérien avec AQMI et les confins sahariens algéro-mauritaniens avec le Polisario.
3/ que la solution réside dans le respect de la stabilité, la sécurité et de l'intégrité territoriale du Mali,
4/ que seule une solution politique, et non militaire, pourrait mettre fin à cette rébellion touarègue et donc à toute tentative d’exploitation par l’AQMI, bien implanté dans les confins sahariens algériens, à condition que les algériens n’y mettent pas leur grain de sel, gèrent la sécurité sur leur territoire, assurent l’étanchéité de leurs frontières terrestres et règlent définitivement la question du polisario selon les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité de l’ONU conformément au plan proposé par le Maroc et accepté par la communauté internationale.