Chers jeunes compatriotes, Combattants de la liberté d’aujourd’hui, futurs cadre du demain
NGONDJO TOUKAM Ismael Louis Fernandez Le Républicain
Chers jeunes compatriotes,
Combattants de la liberté d’aujourd’hui, futurs cadre du demain,
C’est avec beaucoup de considérations et d’attentions que je me permets de vous écrire sous pression de mon clavier afin que chacun de nous comprenne qu’il est temps pour tous les centrafricains de revoir l’histoire a travers laquelle est décrit notre pays, la République centrafricaine.
En effet, comme vous et moi le savons tous qu’aujourd’hui qu’on a pas besoin d’avoir des professeurs d’histoire pour comprendre et connaitre mieux notre propre histoire à travers laquelle sont écrites celle des coups d’Etat provoquée par le tribalisme, la haine, l’hypocrisie, le détournement des fonds par le gouvernent, la corruption et l’injustice d’où en un seul mot la mauvaise gouvernance et l’incapacité de nos malheureux vieux hommes politiques a pouvoir dire non même s’il s’agit de sacrifice.
C’est pourquoi toi, jeune éveillé qui me lit en temps présent, il est temps que nous la jeunesse ce beau pays perdu au plein milieu de la mer de reprendre le volant du navire afin de conduire notre cher et beau pays au bord de la plage la où il y’a la liberté l’égalité le non tribalisme, la justice le développement car je vous rassures que si nous, la jeunesse, nous prenons pas dès moment les choses au sérieux pour l’avenir de notre pays, c’est que nous serons jamais appelés « les hommes libres » car nous conseille Nelson Mandela : « Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres ».
Avec amour, ensemble révélons le défis pour une Centrafrique jeune et meilleure.
Faite à Fès le 22 Mars 2014-03-22
NGONDJO TOUKAM Ismaël Louis Fernandez le Républicain
Combattants de la liberté d’aujourd’hui, futurs cadre du demain,
C’est avec beaucoup de considérations et d’attentions que je me permets de vous écrire sous pression de mon clavier afin que chacun de nous comprenne qu’il est temps pour tous les centrafricains de revoir l’histoire a travers laquelle est décrit notre pays, la République centrafricaine.
En effet, comme vous et moi le savons tous qu’aujourd’hui qu’on a pas besoin d’avoir des professeurs d’histoire pour comprendre et connaitre mieux notre propre histoire à travers laquelle sont écrites celle des coups d’Etat provoquée par le tribalisme, la haine, l’hypocrisie, le détournement des fonds par le gouvernent, la corruption et l’injustice d’où en un seul mot la mauvaise gouvernance et l’incapacité de nos malheureux vieux hommes politiques a pouvoir dire non même s’il s’agit de sacrifice.
C’est pourquoi toi, jeune éveillé qui me lit en temps présent, il est temps que nous la jeunesse ce beau pays perdu au plein milieu de la mer de reprendre le volant du navire afin de conduire notre cher et beau pays au bord de la plage la où il y’a la liberté l’égalité le non tribalisme, la justice le développement car je vous rassures que si nous, la jeunesse, nous prenons pas dès moment les choses au sérieux pour l’avenir de notre pays, c’est que nous serons jamais appelés « les hommes libres » car nous conseille Nelson Mandela : « Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres ».
Avec amour, ensemble révélons le défis pour une Centrafrique jeune et meilleure.
Faite à Fès le 22 Mars 2014-03-22
NGONDJO TOUKAM Ismaël Louis Fernandez le Républicain