Les trafiquants présumés, deux ressortissants burkinabè et deux Togolais, ont été pris en flagrant délit de détention, de transport et de commercialisation illégale d'espèces fauniques protégées.
Lors de leur interpellation, ils étaient en possession de 34,36 kilogrammes d'ivoire sous forme de défenses d'éléphants et de fragments, ainsi que de 5 dents d'hippopotames.
Les investigations préliminaires révèlent que les ivoires provenaient du Burkina Faso et étaient destinés à être écoulés sur le marché togolais.
Les trafiquants présumés opéraient en collaboration avec un réseau structuré, impliquant un intermédiaire togolais basé à Dapaong.
Les quatre individus arrêtés font face à des chefs d'accusation de détention, de transport et de commercialisation illégale d'espèces fauniques protégées, infractions prévues par le Code de l'Environnement du Togo.
Ils encourent une peine d'emprisonnement allant d’un à cinq ans et une amende d'un million à 50 millions de francs CFA.
Cette saisie met en lumière la persistance du trafic d'espèces sauvages dans la région, phénomène qui menace gravement la biodiversité et les écosystèmes.
Elle souligne également l'importance de la collaboration inter-agences et de la synergie entre les forces de l'ordre, les autorités environnementales et les organisations de la société civile dans la lutte contre ce fléau.
Le gouvernement togolais a renforcé son cadre juridique en adoptant des lois strictes contre le trafic d'espèces sauvages.
Des campagnes de sensibilisation et d'éducation environnementale sont menées auprès des populations locales pour accroître leur compréhension des enjeux liés à la protection de la faune et de la flore.
Une coopération internationale renforcée est essentielle pour identifier, démanteler et poursuivre les réseaux de trafiquants opérant à travers les frontières.
Le renforcement des capacités d'investigation et de répression des forces de l'ordre est également crucial pour dissuader les individus impliqués dans ce commerce illégal.
Lors de leur interpellation, ils étaient en possession de 34,36 kilogrammes d'ivoire sous forme de défenses d'éléphants et de fragments, ainsi que de 5 dents d'hippopotames.
Les investigations préliminaires révèlent que les ivoires provenaient du Burkina Faso et étaient destinés à être écoulés sur le marché togolais.
Les trafiquants présumés opéraient en collaboration avec un réseau structuré, impliquant un intermédiaire togolais basé à Dapaong.
Les quatre individus arrêtés font face à des chefs d'accusation de détention, de transport et de commercialisation illégale d'espèces fauniques protégées, infractions prévues par le Code de l'Environnement du Togo.
Ils encourent une peine d'emprisonnement allant d’un à cinq ans et une amende d'un million à 50 millions de francs CFA.
Cette saisie met en lumière la persistance du trafic d'espèces sauvages dans la région, phénomène qui menace gravement la biodiversité et les écosystèmes.
Elle souligne également l'importance de la collaboration inter-agences et de la synergie entre les forces de l'ordre, les autorités environnementales et les organisations de la société civile dans la lutte contre ce fléau.
Le gouvernement togolais a renforcé son cadre juridique en adoptant des lois strictes contre le trafic d'espèces sauvages.
Des campagnes de sensibilisation et d'éducation environnementale sont menées auprès des populations locales pour accroître leur compréhension des enjeux liés à la protection de la faune et de la flore.
Une coopération internationale renforcée est essentielle pour identifier, démanteler et poursuivre les réseaux de trafiquants opérant à travers les frontières.
Le renforcement des capacités d'investigation et de répression des forces de l'ordre est également crucial pour dissuader les individus impliqués dans ce commerce illégal.