"Ce qui s’est produit le 18 août est un aboutissement. L’effondrement de l’État survenu le 22 mars 2012 aurait dû être suivi d’un sursaut patriotique. En lieu et place, ce fut une gestion dont l’une des conséquences majeures fut la déliquescence de la gouvernance", affirme le président de la transition.
Il justifie l'intervention de l'armée qui "ne pouvait rester dans l’attentisme" : "elle a donc pris ses responsabilités pour intervenir et permettre la concrétisation du vœu populaire, le changement".
Le colonel Assimi Goïta estime qu'un chantier gigantesque interpelle le peuple : celui de la refondation de l’État. "La rupture intervenue le 18 août a été immédiatement suivie d’une série de mesures allant dans le sens de cette refondation : de nouvelles institutions ont été mises en place, un nouveau gouvernement a été formé et tout le monde s’est attelé à la tâche".
Le président de la transition appelle à la mobilisation pour affronter les défis de l’heure au délà de tout esprit d’exclusion et de clivage. Il rappelle qu'un programme d’action gouvernementale, articulé autour de quatre axes, a été élaboré et a été approuvé par les hommes et les femmes exprimant la volonté du peuple.
"Avec son exécution, notre ambition consiste à nous sécuriser pour nous développer, nous doter de textes et d’institutions crédibles pour instaurer une gouvernance vertueuse, réussir des élections transparentes aux résultats incontestables, raffermir la cohésion nationale", assure-t-il.
Il justifie l'intervention de l'armée qui "ne pouvait rester dans l’attentisme" : "elle a donc pris ses responsabilités pour intervenir et permettre la concrétisation du vœu populaire, le changement".
Le colonel Assimi Goïta estime qu'un chantier gigantesque interpelle le peuple : celui de la refondation de l’État. "La rupture intervenue le 18 août a été immédiatement suivie d’une série de mesures allant dans le sens de cette refondation : de nouvelles institutions ont été mises en place, un nouveau gouvernement a été formé et tout le monde s’est attelé à la tâche".
Le président de la transition appelle à la mobilisation pour affronter les défis de l’heure au délà de tout esprit d’exclusion et de clivage. Il rappelle qu'un programme d’action gouvernementale, articulé autour de quatre axes, a été élaboré et a été approuvé par les hommes et les femmes exprimant la volonté du peuple.
"Avec son exécution, notre ambition consiste à nous sécuriser pour nous développer, nous doter de textes et d’institutions crédibles pour instaurer une gouvernance vertueuse, réussir des élections transparentes aux résultats incontestables, raffermir la cohésion nationale", assure-t-il.