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Le 26 novembre, un contingent de l'armée malienne a mené une attaque contre des terroristes au nord de Menaka, s'emparant d'équipements militaires. Avant cette opération, les Forces Armées Maliennes (FAMA) avaient confronté et neutralisé un groupe djihadiste à Kidal, un bastion de la rébellion, le 14 novembre. Le drapeau malien a été hissé dans ces zones, marquant un succès significatif pour Bamako, qui réaffirme ainsi sa souveraineté dans une région autrefois contrôlée par des groupes armés hostiles au gouvernement.
L'offensive militaire visant à reprendre le contrôle des villes et campagnes en crise « n'est pas terminée », selon Assimi Goïta, le président de la transition malienne. Déterminé à poursuivre son action, la reprise de Kidal est perçue comme un signe de victoire par les autorités auprès de l'opinion publique. Néanmoins, plusieurs localités de la région, notamment Tombouctou et Gao, restent sous l'influence de groupes armés.
Le départ soudain de la MINUSMA le 31 octobre a laissé un vide que les séparatistes ont tenté de combler, mais leur progression a été stoppée par les forces maliennes, soutenues par les forces russes Wagner, qui fournissent armements et renseignements à l'État malien. La rupture des contrats militaires entre Bamako et Paris a engendré des tensions diplomatiques entre les deux pays, les autorités maliennes dénonçant régulièrement les actions de la France sur le continent africain.
L'offensive militaire visant à reprendre le contrôle des villes et campagnes en crise « n'est pas terminée », selon Assimi Goïta, le président de la transition malienne. Déterminé à poursuivre son action, la reprise de Kidal est perçue comme un signe de victoire par les autorités auprès de l'opinion publique. Néanmoins, plusieurs localités de la région, notamment Tombouctou et Gao, restent sous l'influence de groupes armés.
Le départ soudain de la MINUSMA le 31 octobre a laissé un vide que les séparatistes ont tenté de combler, mais leur progression a été stoppée par les forces maliennes, soutenues par les forces russes Wagner, qui fournissent armements et renseignements à l'État malien. La rupture des contrats militaires entre Bamako et Paris a engendré des tensions diplomatiques entre les deux pays, les autorités maliennes dénonçant régulièrement les actions de la France sur le continent africain.