Ceci fut un bref résumé de l'amère expérience des malheureux "diplômés du Master Droit Douanier". Un bref résumé du sort d'esprits brillants, qualifications élevées, excellentes compétences capables de pousser vers l'avant la roue du pays et offrir un plus à ce monde... Mais malheureusement pour eux, ils se sont trouvés au Maroc, le cimetière des cerveaux et des gens compétents.
Le Master Droit Douanier est la seule spécialisation ouverte dans les universités marocaines depuis l'année universitaire 2011/2012, qui offre aux étudiants des connaissances spécialisées en matière douanière grâce à la fourniture d'une gamme de programmes traitant ce domaine, tels que les taxes et la tarification douanière, le droit fiscal, l'organisation du système douanier, la réglementation douanière, les principes du commerce international et les différends douaniers.
La formation dans ce domaine vise à :
• Permettre aux étudiants d'un champ de connaissances qui combine entre les tâches protectionnistes de l'administration des douanes et sa gestion fiscale et leur offre un aperçu sur le reste des matières juridiques qui sont en lien avec le droit douanier ;
• Préparer l'intégration de l'étudiant chercheur après l'obtention de son diplôme dans l'environnement administratif, économique et social ;
• Renforcer les compétences des étudiants en approfondissant leurs connaissances des thèmes du Master grâce à divers programmes tels que la pratique des procédures douanières, les ateliers de formation, les conférences et les séminaires ;
• Créer des liens entre les étudiants chercheurs et les institutions publiques (Administration des Douanes et Impôts Indirects, Direction Générale des Impôts...) et privées (Agences douanières...).
L'étude se compose de quatre cycles après la licence. Deux cycles d'études de base du droit douanier. Et deux autres qui sont consacrés à une formation théorique plus approfondie du domaine pour le Master Général et une formation plus professionnelle pour le Master spécialisé.
Cependant, après deux ans d'étude et des efforts quotidiens pour arracher la réussite, les diplômés de ce Master se retrouvent face à l'exclusion, privés du droit de participer aux différents concours de la fonction publique. Toutes les autres disciplines tels que le droit civil, le droit des affaires, le droit immobilier, le droit collaboratif, etc., sont autorisées à y participer sauf leur spécialisation.
Même les institutions publiques proches de leur domaine d'études, comme le Ministère des Finances à titre d'exemple, excluent leur Master et privent ses diplômés d'un droit constitutionnel qui leur permet de prendre part à leurs concours... Comme si l'administration marocaine ne reconnaissait pas leurs compétences voire même leur existence !
Si elle mettait en doute leurs compétences ou la valeur de leur diplôme universitaire, que serait donc l'intérêt de l'ouverture de cette spécialité face aux étudiants depuis l'année universitaire 2011/2012 jusqu'à aujourd'hui ? L'augmentation des taux de chômage et le nombre de personnes souffrant de dépression et de perte de tout espoir ? Si ce n'est pas le cas, veuillez traiter ce problème et le résoudre dans les plus brefs délais.
Il est peut-être pire que ce qu'on pourrait imaginer et demande l'ouverture d'une enquête sur ce Master Droit Douanier pour savoir s'il est reconnu par le Ministère de l’Éducation Nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique ou juste une initiative individuelle de l'Université Abdelmalek Essaadi qui a pour but d'arnaquer les étudiants.
Si la création de cette spécialité avait été récente, nous aurions pu penser que l'exclusion de ses diplômés est un petite erreur administrative qui va vite se régler. Mais il s'agit d'une spécialité ouverte à l'Université de Tanger depuis l'année universitaire 2011/2012 et ses diplômés sont exclus depuis 2013, ce qui porte à croire qu'on a peut être affaire à un incident beaucoup plus grand et plus grave qu'une simple petite erreur administrative.
Peut-être qu'on est face d'un de ces scénarios de corruption qui engrènent le pays. Pourquoi pas ?! Surtout que ce que nous lisons de temps en temps sur l'Université Abdelmalek Essaadi, dans les journaux ou sur internet, est flippant !
Le Master Droit Douanier est la seule spécialisation ouverte dans les universités marocaines depuis l'année universitaire 2011/2012, qui offre aux étudiants des connaissances spécialisées en matière douanière grâce à la fourniture d'une gamme de programmes traitant ce domaine, tels que les taxes et la tarification douanière, le droit fiscal, l'organisation du système douanier, la réglementation douanière, les principes du commerce international et les différends douaniers.
La formation dans ce domaine vise à :
• Permettre aux étudiants d'un champ de connaissances qui combine entre les tâches protectionnistes de l'administration des douanes et sa gestion fiscale et leur offre un aperçu sur le reste des matières juridiques qui sont en lien avec le droit douanier ;
• Préparer l'intégration de l'étudiant chercheur après l'obtention de son diplôme dans l'environnement administratif, économique et social ;
• Renforcer les compétences des étudiants en approfondissant leurs connaissances des thèmes du Master grâce à divers programmes tels que la pratique des procédures douanières, les ateliers de formation, les conférences et les séminaires ;
• Créer des liens entre les étudiants chercheurs et les institutions publiques (Administration des Douanes et Impôts Indirects, Direction Générale des Impôts...) et privées (Agences douanières...).
L'étude se compose de quatre cycles après la licence. Deux cycles d'études de base du droit douanier. Et deux autres qui sont consacrés à une formation théorique plus approfondie du domaine pour le Master Général et une formation plus professionnelle pour le Master spécialisé.
Cependant, après deux ans d'étude et des efforts quotidiens pour arracher la réussite, les diplômés de ce Master se retrouvent face à l'exclusion, privés du droit de participer aux différents concours de la fonction publique. Toutes les autres disciplines tels que le droit civil, le droit des affaires, le droit immobilier, le droit collaboratif, etc., sont autorisées à y participer sauf leur spécialisation.
Même les institutions publiques proches de leur domaine d'études, comme le Ministère des Finances à titre d'exemple, excluent leur Master et privent ses diplômés d'un droit constitutionnel qui leur permet de prendre part à leurs concours... Comme si l'administration marocaine ne reconnaissait pas leurs compétences voire même leur existence !
Si elle mettait en doute leurs compétences ou la valeur de leur diplôme universitaire, que serait donc l'intérêt de l'ouverture de cette spécialité face aux étudiants depuis l'année universitaire 2011/2012 jusqu'à aujourd'hui ? L'augmentation des taux de chômage et le nombre de personnes souffrant de dépression et de perte de tout espoir ? Si ce n'est pas le cas, veuillez traiter ce problème et le résoudre dans les plus brefs délais.
Il est peut-être pire que ce qu'on pourrait imaginer et demande l'ouverture d'une enquête sur ce Master Droit Douanier pour savoir s'il est reconnu par le Ministère de l’Éducation Nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique ou juste une initiative individuelle de l'Université Abdelmalek Essaadi qui a pour but d'arnaquer les étudiants.
Si la création de cette spécialité avait été récente, nous aurions pu penser que l'exclusion de ses diplômés est un petite erreur administrative qui va vite se régler. Mais il s'agit d'une spécialité ouverte à l'Université de Tanger depuis l'année universitaire 2011/2012 et ses diplômés sont exclus depuis 2013, ce qui porte à croire qu'on a peut être affaire à un incident beaucoup plus grand et plus grave qu'une simple petite erreur administrative.
Peut-être qu'on est face d'un de ces scénarios de corruption qui engrènent le pays. Pourquoi pas ?! Surtout que ce que nous lisons de temps en temps sur l'Université Abdelmalek Essaadi, dans les journaux ou sur internet, est flippant !