Massacre de Gdeïm Izik : la justice marocaine a rendu son verdict dans le procès des activistes polisariens mis en cause
Une sentence exemplaire a été prononcée, le 19 juillet 2017, par la Chambre Criminelle, près la Cour d'Appel à Salé, à l'encontre de 25 casseurs et meurtriers à la solde des terro-polisariens et de son tuteur, l'Algérie.
Pour mémoire, les tristes évènements du 08 novembre 2010 dans le camp de Gdeïm Izik, près de Laâyoune, au Sahara marocain, spécialement monté par des activistes pro-polisariens, ont vu une boucherie qui n'a d'égale que celles commises par DAESH faisant 11 morts et près de 160 blessés parmi les forces de sécurité, non armées, et 04 civils blessés.
L'horreur avait atteint son paroxysme, lorsque ces sinistres individus, armés de sabres et de coutelas, se mirent à égorger des éléments des forces de l'ordre puis à souiller et profaner leur cadavre en urinant dessus.
Des faits qui ne peuvent être contestés et, aujourd'hui, avec ce verdict, justice a été rendue aux défunts, à leur famille et aux blessés.
En effet, la Chambre Criminelle, près la Cour d'Appel à Salé, a prononcé des peines allant de deux ans de prison ferme à la perpétuité à l'encontre des 25 accusés impliqués dans les événements du camp de Gdeïm Izik dont ci-après le détail : huit prévenus condamné à perpétuité, trois à 30 ans de réclusion, cinq à 25 ans, trois à 20 ans, un à 6 ans et demi, un à 4 ans et demi et deux (en liberté provisoire) à deux ans de prison ferme. Les deux prévenus condamnés à 6 ans et demi et 4 ans et demi seront libérés, le 19 juillet 2017, pour avoir purgé leur peine en détention préventive.
Ce procès, ouvert à la presse étrangère et nationale et marqué par la nombreuse présence d'observateurs internationaux, s'est conclu par un jugement à la hauteur des faits reprochés, comme le souhaitaient les avocats de la partie civile et les familles des victimes.
Par ailleurs, tous les avocats observateurs étrangers, présents à ce procès, d'une totale transparence, ont qualifié ce verdict de "juste et équitable", affirmant que "la Cour a reconnu les souffrances des familles des victimes et la gravité des crimes commis à Gdeim Izik".
Comme à l'accoutumée, les dirigeants algériens et leurs affidés polisariens ont activé le peu d'ONG's encore à leur solde pour véhiculer des mensonges. C'est le cas de la directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human RightsWatch, Sarah Leah Whitson, de l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT) et de certains eurodéputés. Des ONG's et des eurodéputés qui n'ont pipé mot sur les conditions de vie horribles des subsahariens et des noirs africains en territoire algérien où une véritable chasse aux noirs a été lancée par les plus hautes autorités algériennes, Premier Ministre en tête.
Au final, ce procès constitue, comme l'a très bien souligné Maître Emanuel Tawil, avocat au barreau de Paris, un "enseignement magistral", celui d’une "justice véritablement équitable".
Tous les droits de la défense ont été respectés sans interruption, preuve que ce procès, n'en déplaise aux parties hostiles au Maroc, à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale, est "la démonstration de la réalité d’une procédure qui a été pleinement respectueuse de ce que doit être un jugement équitable".
Farid Mnebhi.
Une sentence exemplaire a été prononcée, le 19 juillet 2017, par la Chambre Criminelle, près la Cour d'Appel à Salé, à l'encontre de 25 casseurs et meurtriers à la solde des terro-polisariens et de son tuteur, l'Algérie.
Pour mémoire, les tristes évènements du 08 novembre 2010 dans le camp de Gdeïm Izik, près de Laâyoune, au Sahara marocain, spécialement monté par des activistes pro-polisariens, ont vu une boucherie qui n'a d'égale que celles commises par DAESH faisant 11 morts et près de 160 blessés parmi les forces de sécurité, non armées, et 04 civils blessés.
L'horreur avait atteint son paroxysme, lorsque ces sinistres individus, armés de sabres et de coutelas, se mirent à égorger des éléments des forces de l'ordre puis à souiller et profaner leur cadavre en urinant dessus.
Des faits qui ne peuvent être contestés et, aujourd'hui, avec ce verdict, justice a été rendue aux défunts, à leur famille et aux blessés.
En effet, la Chambre Criminelle, près la Cour d'Appel à Salé, a prononcé des peines allant de deux ans de prison ferme à la perpétuité à l'encontre des 25 accusés impliqués dans les événements du camp de Gdeïm Izik dont ci-après le détail : huit prévenus condamné à perpétuité, trois à 30 ans de réclusion, cinq à 25 ans, trois à 20 ans, un à 6 ans et demi, un à 4 ans et demi et deux (en liberté provisoire) à deux ans de prison ferme. Les deux prévenus condamnés à 6 ans et demi et 4 ans et demi seront libérés, le 19 juillet 2017, pour avoir purgé leur peine en détention préventive.
Ce procès, ouvert à la presse étrangère et nationale et marqué par la nombreuse présence d'observateurs internationaux, s'est conclu par un jugement à la hauteur des faits reprochés, comme le souhaitaient les avocats de la partie civile et les familles des victimes.
Par ailleurs, tous les avocats observateurs étrangers, présents à ce procès, d'une totale transparence, ont qualifié ce verdict de "juste et équitable", affirmant que "la Cour a reconnu les souffrances des familles des victimes et la gravité des crimes commis à Gdeim Izik".
Comme à l'accoutumée, les dirigeants algériens et leurs affidés polisariens ont activé le peu d'ONG's encore à leur solde pour véhiculer des mensonges. C'est le cas de la directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human RightsWatch, Sarah Leah Whitson, de l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT) et de certains eurodéputés. Des ONG's et des eurodéputés qui n'ont pipé mot sur les conditions de vie horribles des subsahariens et des noirs africains en territoire algérien où une véritable chasse aux noirs a été lancée par les plus hautes autorités algériennes, Premier Ministre en tête.
Au final, ce procès constitue, comme l'a très bien souligné Maître Emanuel Tawil, avocat au barreau de Paris, un "enseignement magistral", celui d’une "justice véritablement équitable".
Tous les droits de la défense ont été respectés sans interruption, preuve que ce procès, n'en déplaise aux parties hostiles au Maroc, à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale, est "la démonstration de la réalité d’une procédure qui a été pleinement respectueuse de ce que doit être un jugement équitable".
Farid Mnebhi.