La capitale tchadienne offre des opportunités aux tenanciers des stations de lavage, en leur permettant de renflouer leurs caisses, pendant la saison pluvieuse. La plupart des voies ne sont pas aménagées. Et lorsque les pluies tombent, les quartiers sont inondés, les voies submergées et l'on est obligé de se mouiller pour s’en sortir. Tout le monde patauge dans la boue.
Cette situation profite bien aux tenanciers des stations de lavage d’automobiles qui reçoivent beaucoup des clients pour le nettoyage de leurs engins, car personne ne veut voir son véhicule couvert de boue. Les stations de lavage des automobiles sont créées partout aux abords des routes, des bassins de rétention d’eau, dans les marchés, etc. C’est une activité qui est principalement pratiquée par les jeunes et rapporte beaucoup d’argent à leurs tenanciers, qui peuvent ainsi subvenir à leurs besoins.
Dans les stations de lavage, l’on peut apercevoir des machines de lavage d’engins, des sceaux pleins d’eau mousseuse, ainsi que des détergents. Les tenanciers sont constitués uniquement de jeunes diplômés sans emploi, d'étudiants et élèves qui, en ces vacances, se débrouillent pour subvenir à leurs besoins vitaux et préparer leur scolarité pour la rentrée prochaine. Ces derniers, munis de torchons en mains, se concurrencent. Chacun essaie d’attirer le maximum de clients à son profit. Ils se précipitent pour nettoyer rapidement l’engin mis à leur disposition, en rabaissant le prix initial pour se procurer d'autres clients.
Généralement, les tenanciers fixent le prix du lavage à 500 Fcfa pour la moto et 1000 Fcfa pour la voiture. Mais vu le nombre important de clients en saison des pluies, la plupart des tenanciers rabaissent leurs prix ; 250 Fcfa pour la moto et 500 Fcfa pour la voiture. Interrogé sur la rentabilité de son métier, un tenancier du nom Ahmat explique que « la saison des pluies est une occasion pour faire quelques économies. Je gère normalement les besoins de ma famille, sans difficultés.
C’est un métier journalier, parfois je gagne 5000 Fcfa par jour ou bien 10000 Fcfa, tout dépend de la chance ». Un autre laveur nous indique que pendant cette période, il encaisse beaucoup d’argent. Et avec ces revenus, il paye sa scolarité, ses tenues et les manuels scolaires. « Je souhaite qu’il pleuve pendant toutes les saisons, même si ça cause un dommage pour certaines personnes. Je ne vois que mon intérêt, car c’est très rentable pour nous les laveurs d’engins », affirme Ahmat.
On dit souvent que « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Même si d’une part la saison pluvieuse provoque beaucoup de désagréments chez les N’djamenois, d’autre part, elle est source d’occupation et génère des revenus au profit de ceux qui savent entreprendre.
Cette situation profite bien aux tenanciers des stations de lavage d’automobiles qui reçoivent beaucoup des clients pour le nettoyage de leurs engins, car personne ne veut voir son véhicule couvert de boue. Les stations de lavage des automobiles sont créées partout aux abords des routes, des bassins de rétention d’eau, dans les marchés, etc. C’est une activité qui est principalement pratiquée par les jeunes et rapporte beaucoup d’argent à leurs tenanciers, qui peuvent ainsi subvenir à leurs besoins.
Dans les stations de lavage, l’on peut apercevoir des machines de lavage d’engins, des sceaux pleins d’eau mousseuse, ainsi que des détergents. Les tenanciers sont constitués uniquement de jeunes diplômés sans emploi, d'étudiants et élèves qui, en ces vacances, se débrouillent pour subvenir à leurs besoins vitaux et préparer leur scolarité pour la rentrée prochaine. Ces derniers, munis de torchons en mains, se concurrencent. Chacun essaie d’attirer le maximum de clients à son profit. Ils se précipitent pour nettoyer rapidement l’engin mis à leur disposition, en rabaissant le prix initial pour se procurer d'autres clients.
Généralement, les tenanciers fixent le prix du lavage à 500 Fcfa pour la moto et 1000 Fcfa pour la voiture. Mais vu le nombre important de clients en saison des pluies, la plupart des tenanciers rabaissent leurs prix ; 250 Fcfa pour la moto et 500 Fcfa pour la voiture. Interrogé sur la rentabilité de son métier, un tenancier du nom Ahmat explique que « la saison des pluies est une occasion pour faire quelques économies. Je gère normalement les besoins de ma famille, sans difficultés.
C’est un métier journalier, parfois je gagne 5000 Fcfa par jour ou bien 10000 Fcfa, tout dépend de la chance ». Un autre laveur nous indique que pendant cette période, il encaisse beaucoup d’argent. Et avec ces revenus, il paye sa scolarité, ses tenues et les manuels scolaires. « Je souhaite qu’il pleuve pendant toutes les saisons, même si ça cause un dommage pour certaines personnes. Je ne vois que mon intérêt, car c’est très rentable pour nous les laveurs d’engins », affirme Ahmat.
On dit souvent que « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Même si d’une part la saison pluvieuse provoque beaucoup de désagréments chez les N’djamenois, d’autre part, elle est source d’occupation et génère des revenus au profit de ceux qui savent entreprendre.