La fièvre des préparatifs de la fête de la Tabaski est visible au sein de la communauté musulmane du Tchad qui fait notamment face au renchérissement des prix du mouton, la bête à sacrifier au jour-J.
L’animation est palpable dans les marchés de bétail, notamment au marché de bétail du quartier Diguel où l’on a opté pour une différenciation des sites, en vue d’éviter les engorgements.
Globalement, les prix des bêtes correspondent à leur taille, notamment dans les principaux points de vente situés à proximité du marché de Dembé, raison pour laquelle, ceux-ci oscillent entre 50 000 FCFA et 100 000 FCFA. « La Tabaski est une fête du sacrifice du mouton et du partage. Sans le mouton, elle n’a pas une grande valeur. A cause de la flambée des prix qui va certainement s’observer les jours à venir, j’ai préféré acheter mon mouton à l’avance», a expliqué Ousman Bechir où l’on rassure que « les vêtements sont déjà prêts », et qu’ont peut mettre le week-end prochain au profit pour s’acheter un animal.
A l’instar de ce fidèle musulman, l’heure est à la mobilisation dans la famille de Boukar Ibrahim au quartier Chagoua dans le septième arrondissement, où l’on rassure que « les habits de la fête sont déjà prêts pour tout le monde et que seul le mouton manque encore à l’appel». Ce choix s’explique par le fait « qu’au dernier moment, les vendeurs seront obligés de baisser les prix, et c’est possible qu’un mouton qui coûte actuellement 100 000 francs CFA puisse coûter 75.000 FCFA Jeudi ou Vendredi matin ».
Etant donné que la fête de la Tabaski intervient à quelques jours seulement de la rentrée scolaire, cela amène d’autres chefs de famille à se montrer plus regardants sur les dépenses. «J’espère que la donne va changer », souhaite Achta vendeuse au marché de Adala, dans le septième arrondissent de N’Djamena où les prix des bêtes varient entre 40 000 FCFA et 100 000 FCFA.
L’animation est palpable dans les marchés de bétail, notamment au marché de bétail du quartier Diguel où l’on a opté pour une différenciation des sites, en vue d’éviter les engorgements.
Globalement, les prix des bêtes correspondent à leur taille, notamment dans les principaux points de vente situés à proximité du marché de Dembé, raison pour laquelle, ceux-ci oscillent entre 50 000 FCFA et 100 000 FCFA. « La Tabaski est une fête du sacrifice du mouton et du partage. Sans le mouton, elle n’a pas une grande valeur. A cause de la flambée des prix qui va certainement s’observer les jours à venir, j’ai préféré acheter mon mouton à l’avance», a expliqué Ousman Bechir où l’on rassure que « les vêtements sont déjà prêts », et qu’ont peut mettre le week-end prochain au profit pour s’acheter un animal.
A l’instar de ce fidèle musulman, l’heure est à la mobilisation dans la famille de Boukar Ibrahim au quartier Chagoua dans le septième arrondissement, où l’on rassure que « les habits de la fête sont déjà prêts pour tout le monde et que seul le mouton manque encore à l’appel». Ce choix s’explique par le fait « qu’au dernier moment, les vendeurs seront obligés de baisser les prix, et c’est possible qu’un mouton qui coûte actuellement 100 000 francs CFA puisse coûter 75.000 FCFA Jeudi ou Vendredi matin ».
Etant donné que la fête de la Tabaski intervient à quelques jours seulement de la rentrée scolaire, cela amène d’autres chefs de famille à se montrer plus regardants sur les dépenses. «J’espère que la donne va changer », souhaite Achta vendeuse au marché de Adala, dans le septième arrondissent de N’Djamena où les prix des bêtes varient entre 40 000 FCFA et 100 000 FCFA.