Le Président Tchiani a également exprimé son opposition à ce que les États membres soient considérés comme des vaches à lait par les anciennes puissances coloniales, en particulier la France. Selon lui, il est temps pour les pays africains du Sahel de prendre en main leur propre destin économique en créant une monnaie commune qui favoriserait l'intégration régionale et renforcerait leur indépendance économique.
La création d'une monnaie commune au sein de l'AES faciliterait les échanges commerciaux entre les pays membres et stimulerait le développement économique régional. Elle permettrait également aux États du Sahel d'avoir plus de contrôle sur leur politique monétaire et financière, mettant ainsi fin à leur dépendance vis-à-vis des anciennes puissances coloniales.
Cependant, le Président Tchiani reconnaît que cette décision doit être prise au moment opportun et après une analyse approfondie des avantages et des inconvénients potentiels. Il souligne qu'il s'agit d'une étape importante dans le processus de décolonisation et que cela nécessite une réflexion sérieuse et une planification minutieuse.
La création d'une monnaie commune au sein de l'AES faciliterait les échanges commerciaux entre les pays membres et stimulerait le développement économique régional. Elle permettrait également aux États du Sahel d'avoir plus de contrôle sur leur politique monétaire et financière, mettant ainsi fin à leur dépendance vis-à-vis des anciennes puissances coloniales.
Cependant, le Président Tchiani reconnaît que cette décision doit être prise au moment opportun et après une analyse approfondie des avantages et des inconvénients potentiels. Il souligne qu'il s'agit d'une étape importante dans le processus de décolonisation et que cela nécessite une réflexion sérieuse et une planification minutieuse.