"Le discours du conseil militaire au Niger ferme la porte aux négociations."
Abdourahamane Tchiani a prononcé le 19 août au soir un discours pour critiquer les sanctions de la CEDEAO, les qualifiant "d'illégales, d'inhumaines et visant à diviser le Niger et son peuple". Il a ajouté que toute intervention de la part de la CEDEAO serait considérée comme une occupation et que toute attaque recevrait une réponse.
Al-Arabiya a fait savoir plus tôt que les négociations de la délégation de la CEDEAO avec les dirigeants du CNSP n’avaient débouché sur aucun résultat. Selon le média, les rebelles ont refusé de libérer le président Mohamed Bazoum écarté du pouvoir le 26 juillet et de le restituer dans ses fonctions.
Abdourahamane Tchiani a prononcé le 19 août au soir un discours pour critiquer les sanctions de la CEDEAO, les qualifiant "d'illégales, d'inhumaines et visant à diviser le Niger et son peuple". Il a ajouté que toute intervention de la part de la CEDEAO serait considérée comme une occupation et que toute attaque recevrait une réponse.
Al-Arabiya a fait savoir plus tôt que les négociations de la délégation de la CEDEAO avec les dirigeants du CNSP n’avaient débouché sur aucun résultat. Selon le média, les rebelles ont refusé de libérer le président Mohamed Bazoum écarté du pouvoir le 26 juillet et de le restituer dans ses fonctions.