Lors d'une conférence de presse, le porte-parole du ministère a exprimé la préoccupation de Berlin quant au sort du président démocratiquement élu du Niger. Il a clairement indiqué que des conséquences sérieuses pourraient en découler si quelque chose arrivait au président Bazoum ou à sa famille. Le gouvernement allemand envisage des mesures de rétorsion telles que des sanctions et des poursuites pénales nationales ou internationales, a rapporté TASS.
Le gouvernement allemand soutient les efforts de médiation de l'Union africaine et de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) pour résoudre la crise au Niger. Cependant, il continue de considérer la situation dans le pays comme instable et tendue, soulignant que les sanctions commencent à avoir des retombées douloureuses pour les citoyens et le régime.
L'ultimatum de la CEDEAO, exigeant le rétablissement de l'ordre constitutionnel au Niger et la libération du président Bazoum, a expiré le 7 août. Les mutins ont destitué le président le 26 juillet, proclamant à sa place le Général Abdourahmane Tchiani comme chef d'État. La CEDEAO a condamné le coup d'État et a menacé de prendre des mesures, y compris l'emploi de la force, en cas de refus de retour à l'ordre constitutionnel.
Par ailleurs, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), la structure dirigeante de la junte, a affirmé que le Niger faisait face à une menace d'agression de la part d'un pays étranger.
Le gouvernement allemand soutient les efforts de médiation de l'Union africaine et de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) pour résoudre la crise au Niger. Cependant, il continue de considérer la situation dans le pays comme instable et tendue, soulignant que les sanctions commencent à avoir des retombées douloureuses pour les citoyens et le régime.
L'ultimatum de la CEDEAO, exigeant le rétablissement de l'ordre constitutionnel au Niger et la libération du président Bazoum, a expiré le 7 août. Les mutins ont destitué le président le 26 juillet, proclamant à sa place le Général Abdourahmane Tchiani comme chef d'État. La CEDEAO a condamné le coup d'État et a menacé de prendre des mesures, y compris l'emploi de la force, en cas de refus de retour à l'ordre constitutionnel.
Par ailleurs, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), la structure dirigeante de la junte, a affirmé que le Niger faisait face à une menace d'agression de la part d'un pays étranger.