Gbagbo a particulièrement mis en garde contre les manipulations constitutionnelles visant à se maintenir au pouvoir, affirmant que ces manœuvres violentes vont à l'encontre des valeurs démocratiques et de la stabilité des États. Il a dénoncé l'utilisation de la force brutale des armées pour servir les intérêts personnels et a appelé à la fin de ces pratiques.
L'ancien Président a également exprimé sa préoccupation face aux mesures de rétorsion prises par la CEDEAO à l'encontre du peuple nigérien, soulignant que ces actions ne sont pas conformes au droit international public et privé. Gbagbo a appelé à la retenue et à la recherche de solutions politiques et diplomatiques pour résoudre les crises, plutôt que de recourir à la violence qui ne fait qu'aggraver les situations déjà précaires.
Gbagbo a mis en garde contre les conséquences potentiellement désastreuses d'une intervention militaire dans la région. Il a souligné les risques de désunion au sein de la CEDEAO et a appelé à une réflexion approfondie sur les causes sous-jacentes de la multiplication des coups d'État dans la région. Il a plaidé en faveur d'une réponse pacifique et constructive aux préoccupations des populations, en préservant les principes démocratiques.
L'ancien Président a proposé une réorientation des actions militaires de la CEDEAO vers la lutte contre le terrorisme au Sahel, afin d'éviter toute intervention dans la politique interne des pays. Il a également encouragé la Côte d'Ivoire à maintenir sa tradition diplomatique et à éviter le recours systématique à la violence pour résoudre les problèmes politiques.
En concluant son appel, Laurent Gbagbo a exhorté à la préservation de la paix, de la diplomatie et du respect des droits de l'homme en Afrique de l'Ouest. Il a souligné que les divergences politiques doivent être résolues de manière pacifique, en préservant la stabilité des nations et de la région dans son ensemble.
L'ancien Président a également exprimé sa préoccupation face aux mesures de rétorsion prises par la CEDEAO à l'encontre du peuple nigérien, soulignant que ces actions ne sont pas conformes au droit international public et privé. Gbagbo a appelé à la retenue et à la recherche de solutions politiques et diplomatiques pour résoudre les crises, plutôt que de recourir à la violence qui ne fait qu'aggraver les situations déjà précaires.
Gbagbo a mis en garde contre les conséquences potentiellement désastreuses d'une intervention militaire dans la région. Il a souligné les risques de désunion au sein de la CEDEAO et a appelé à une réflexion approfondie sur les causes sous-jacentes de la multiplication des coups d'État dans la région. Il a plaidé en faveur d'une réponse pacifique et constructive aux préoccupations des populations, en préservant les principes démocratiques.
L'ancien Président a proposé une réorientation des actions militaires de la CEDEAO vers la lutte contre le terrorisme au Sahel, afin d'éviter toute intervention dans la politique interne des pays. Il a également encouragé la Côte d'Ivoire à maintenir sa tradition diplomatique et à éviter le recours systématique à la violence pour résoudre les problèmes politiques.
En concluant son appel, Laurent Gbagbo a exhorté à la préservation de la paix, de la diplomatie et du respect des droits de l'homme en Afrique de l'Ouest. Il a souligné que les divergences politiques doivent être résolues de manière pacifique, en préservant la stabilité des nations et de la région dans son ensemble.