Le président nigérian Bola Tinubu avait précédemment appelé à une intervention militaire au Niger si les putschistes ne parvenaient pas à rétablir le président Mohamed Bazoum.
Le président de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Bola Tinubu, qui est également le président du Nigeria, a déclaré que la diplomatie "est la meilleure voie à suivre" pour mettre fin à la crise de leadership au Niger.
Mardi, son porte-parole Ajuri Ngelale a déclaré que M. Tinubu "a été sans équivoque dans sa position selon laquelle la diplomatie est la meilleure voie à suivre".
"Il (Tinubu) ainsi que ses collègues de la (CEDEAO) préféreraient une résolution obtenue par des moyens diplomatiques, par des moyens pacifiques, plutôt que tout autre moyen", a ajouté M. Ngelale.
M. Tinubu semble avoir adopté une approche moins agressive pour résoudre la crise au Niger, après avoir précédemment mis en garde contre une intervention militaire si les putschistes nigériens ne parvenaient pas à rétablir le président déchu, Mohamed Bazoum.
L'ultimatum de sept jours lancé par la CEDEAO aux putschistes pour qu'ils rétablissent dans ses fonctions le président Bazoum, renversé le 26 juillet, a pris fin le dimanche 6 août, sans que la volonté du bloc régional ait été exaucée.
Le président de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Bola Tinubu, qui est également le président du Nigeria, a déclaré que la diplomatie "est la meilleure voie à suivre" pour mettre fin à la crise de leadership au Niger.
Mardi, son porte-parole Ajuri Ngelale a déclaré que M. Tinubu "a été sans équivoque dans sa position selon laquelle la diplomatie est la meilleure voie à suivre".
"Il (Tinubu) ainsi que ses collègues de la (CEDEAO) préféreraient une résolution obtenue par des moyens diplomatiques, par des moyens pacifiques, plutôt que tout autre moyen", a ajouté M. Ngelale.
M. Tinubu semble avoir adopté une approche moins agressive pour résoudre la crise au Niger, après avoir précédemment mis en garde contre une intervention militaire si les putschistes nigériens ne parvenaient pas à rétablir le président déchu, Mohamed Bazoum.
L'ultimatum de sept jours lancé par la CEDEAO aux putschistes pour qu'ils rétablissent dans ses fonctions le président Bazoum, renversé le 26 juillet, a pris fin le dimanche 6 août, sans que la volonté du bloc régional ait été exaucée.