L’implication de personnes sorties de l’ombre par le Président Idriss Deby Itno dans la conspiration pour porter atteintes a la légalité constitutionnelle interpelle une fois de plus les Tchadiens sur l’urgente nécessité de défendre le processus de la renaissance du Tchad, lequel a failli connaitre un coup fatal n’eut-été le travail remarquable des services de sécurité qui avaient pu déjouer la tentation de coup d’État avec brio.
Le débat est maintenant relancé sur le sort de ces conspirateurs. Faut-il les laisser bénéficier d’une clémence présidentielle? La réponse est non. Ces personnes doivent être rétrogradées au plus bas niveau de la hiérarchie militaire, radiées de la fonction publique afin de les empêcher de porter atteinte aux institutions du pays et mettre ainsi en danger toute une nation, en prenant l’exemple de la Libye, du Mali ou encore en revenant deux décennies en arrière, prenons comme exemple de la Somalie avec le départ forcé de Siad Barré qui a conduit le pays dans une situation difficile en ce moment.
Ces personnes sont-elles à la solde de l’UFR qui veut reprendre les hostilités pour protester contre l’engagement du Tchad au Mali. Faut-il condamner un engagement militaire contre la barbarie et le non-droit imposé par les narcotrafiquants au Mali? L’UFR est-il devenu une organisation à connotation extrémiste pour défendre les bandits du Mali?
Le Tchad et les tchadiens n’ont pas besoin d’un coup d’État, moins encore d’un trouble pour replonger le pays dans le chaos, lui qui se remet avec émerveillement de plus de trois décennies de conflits. Le Tchad qui renait de ses cendres n’a pas besoin de guerre, de conspiration ou de conflits.la voix du peuple est plus forte. La force de la paix est plus grande que la volonté des uns de détruire le pays pour des besoins mesquins et personnels. Faut-il inscrire l’UFR sur la même liste que les « djihadistes » du Mali qu’il soutient? La conspiration, les complots et l’extrémisme ne passeront pas au Tchad, l’UFR et tous les groupes qui rêvent d’un Tchad dirigé par le fer de la charia ne connaitront qu’amère défaite.
Moussa Guetane
Le débat est maintenant relancé sur le sort de ces conspirateurs. Faut-il les laisser bénéficier d’une clémence présidentielle? La réponse est non. Ces personnes doivent être rétrogradées au plus bas niveau de la hiérarchie militaire, radiées de la fonction publique afin de les empêcher de porter atteinte aux institutions du pays et mettre ainsi en danger toute une nation, en prenant l’exemple de la Libye, du Mali ou encore en revenant deux décennies en arrière, prenons comme exemple de la Somalie avec le départ forcé de Siad Barré qui a conduit le pays dans une situation difficile en ce moment.
Ces personnes sont-elles à la solde de l’UFR qui veut reprendre les hostilités pour protester contre l’engagement du Tchad au Mali. Faut-il condamner un engagement militaire contre la barbarie et le non-droit imposé par les narcotrafiquants au Mali? L’UFR est-il devenu une organisation à connotation extrémiste pour défendre les bandits du Mali?
Le Tchad et les tchadiens n’ont pas besoin d’un coup d’État, moins encore d’un trouble pour replonger le pays dans le chaos, lui qui se remet avec émerveillement de plus de trois décennies de conflits. Le Tchad qui renait de ses cendres n’a pas besoin de guerre, de conspiration ou de conflits.la voix du peuple est plus forte. La force de la paix est plus grande que la volonté des uns de détruire le pays pour des besoins mesquins et personnels. Faut-il inscrire l’UFR sur la même liste que les « djihadistes » du Mali qu’il soutient? La conspiration, les complots et l’extrémisme ne passeront pas au Tchad, l’UFR et tous les groupes qui rêvent d’un Tchad dirigé par le fer de la charia ne connaitront qu’amère défaite.
Moussa Guetane