Un peu près de deux mois après le Forum de Bangui, l’évolution de la situation sécuritaire et politique connait une évolution positive. Jean Yves Le Drian, en tournée en Afrique est passé par Bangui, pour se rendre compte des avancées. Et, il devait pour cela rendre compte au médiateur international, Denis Sassou N’Guesso de ce qu’il a vu et constaté sur le terrain.
Pendant près de deux heures, Denis Sassou N’Guesso et Jean Yves Le Drian se sont entretenus en bilatéral puis à huis clos. «Je suis venu au Congo pour rencontrer le président Sassou Comme médiateur de la crise centrafricaine puisque j’ai passé la journée d’hier en RCA, à Bangui, où j’ai assisté à l’exercice Sibut. Et, le médiateur, c’est le président Sassou, je voulais lui parler de l’évolution de la Centrafrique », a déclaré Jean Yves Le Drian à sa sortie d’audience. .
Pour lui, les entretiens qu’il a eus avec le président congolais « ont porté essentiellement sur la RCA » où l’on s’approche des « enjeux électoraux, la fin de la transition ». « Nous avons beaucoup parlé de la RCA. L’évolution de la Centrafrique est positive. Aujourd’hui, nous sommes dans une situation plus sécurisée », selon le ministre français de la défense. Et de poursuivre : Il fallait évoquer « cette transition dont le président Sassou est garant. Nous nous sommes mis d’accord pour que le processus électoral aille le plus loin possible jusqu’à son terme pour que ce pays retrouve à la fois la démocratie et la sérénité.»
Parlant de la coopération militaire entre le Congo et la France, le ministre français a dit qu’elle « ne pose pas de problème particulier, nous sommes tout à fait en phase de réaliser le plan d’action commun, nous avons une coopération extrêmement forte, nous avons confiance en des forces armées du Congo. Donc, il n’y avait pas de sujet particulier sur cette question », a conclu Jean Yves Le Drian.
On le sait, le président Sassou N’Guesso a joué et continue de jouer un rôle majeur dans le processus de retour de la paix en RCA. L’arrivée de Jean Yves Le Drian chez Denis Sassou N’Guesso est effectivement la reconnaissance de ce rôle.
Selon de nombreux observateurs avertis de la scène africaine, Brazzaville et Paris ont intérêt à construire un tandem assez fort pour gagner la bataille de la paix et de la sécurité dans la sous région déjà en proie aux affres des sectes terroristes.
Pendant près de deux heures, Denis Sassou N’Guesso et Jean Yves Le Drian se sont entretenus en bilatéral puis à huis clos. «Je suis venu au Congo pour rencontrer le président Sassou Comme médiateur de la crise centrafricaine puisque j’ai passé la journée d’hier en RCA, à Bangui, où j’ai assisté à l’exercice Sibut. Et, le médiateur, c’est le président Sassou, je voulais lui parler de l’évolution de la Centrafrique », a déclaré Jean Yves Le Drian à sa sortie d’audience. .
Pour lui, les entretiens qu’il a eus avec le président congolais « ont porté essentiellement sur la RCA » où l’on s’approche des « enjeux électoraux, la fin de la transition ». « Nous avons beaucoup parlé de la RCA. L’évolution de la Centrafrique est positive. Aujourd’hui, nous sommes dans une situation plus sécurisée », selon le ministre français de la défense. Et de poursuivre : Il fallait évoquer « cette transition dont le président Sassou est garant. Nous nous sommes mis d’accord pour que le processus électoral aille le plus loin possible jusqu’à son terme pour que ce pays retrouve à la fois la démocratie et la sérénité.»
Parlant de la coopération militaire entre le Congo et la France, le ministre français a dit qu’elle « ne pose pas de problème particulier, nous sommes tout à fait en phase de réaliser le plan d’action commun, nous avons une coopération extrêmement forte, nous avons confiance en des forces armées du Congo. Donc, il n’y avait pas de sujet particulier sur cette question », a conclu Jean Yves Le Drian.
On le sait, le président Sassou N’Guesso a joué et continue de jouer un rôle majeur dans le processus de retour de la paix en RCA. L’arrivée de Jean Yves Le Drian chez Denis Sassou N’Guesso est effectivement la reconnaissance de ce rôle.
Selon de nombreux observateurs avertis de la scène africaine, Brazzaville et Paris ont intérêt à construire un tandem assez fort pour gagner la bataille de la paix et de la sécurité dans la sous région déjà en proie aux affres des sectes terroristes.