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REACTION

"Nous sommes tchadiens" : Les politiques centrafricains condamnent les attentats au Tchad


Alwihda Info | Par Salomon KOTRO - 16 Juin 2015


La menace de BOKO HARAM au Cameroun et au Tchad ne favorise pas aux pays de la sous- région de retrouver la stabilité et de s’inscrire dans une dynamique économique pour le bien être du peuple.


Salomon KOTRO.
Salomon KOTRO.
Les violences rodent partout, elles se développent au nom des idéologies les plus obscures. C’est avec stupéfaction et indignation que nous avons appris cette malheureuse nouvelle.

Le peuple frère du Tchad vient de subir une série d’attentats simultanée à Ndjamena la capitale tchadienne causant les pertes en vie humaine et les dégâts matériels. NOUS SOMMES TCHADIENS.

Au moment ou les chefs d’Etat de la sous région se mobilisent pour combattre sans relâche les ennemis de la paix, les agissements barbares et criminels des gens qui n’ont aucune logique mais qui ont une seule envie de tuer, ont semé la peur et la désolation sur la population. Cela démontre qu’aucun pays n’est a l’abri de cette machine à tuer qui est BOKO HARAM.

La menace de BOKO HARAM au Cameroun et au Tchad ne favorise pas aux pays de la sous-région de retrouver la stabilité et de s’inscrire dans une dynamique économique pour le bien être du peuple.

Nous nous inscrivons dans la logique de toujours mener un combat pour la paix, en solidarité avec le peuple frère du Tchad, nous adressons nos condoléances les plus attristées aux familles des victimes de cet acte odieux et inhumain.

Pour la paix dans notre continent, nous apportons nos soutiens aux autorités de ce pays frère de continuer le combat tous azimuts avec force et vigueur aux cotés des autres pays engagés dans cette lutte pour rétablir la sécurité.

Il est grand temps que l’Afrique se mobilise véritablement avec les moyens adéquats et nécessaires pour sauver l’honneur de son peuple. C’est une question de responsabilité.

Salomon KOTRO

 



Pour toute information, contactez-nous au : +(235) 99267667 ; 62883277 ; 66267667 (Bureau N'Djamena)