Bonjour Monsieur le Directeur Ibrahim ZAKARI, et enchanté de vous rencontrer. Si vous n’y voyez aucun inconvénient, il me plairait de vous posez quelques questions, sur cette PME, qui jusqu’ici peut faire couler beaucoup d’encre.Maintenant que vous êtes à la tête du CCERE, Centre de Commerce Extérieur et des Relations Extérieures, que pensez vous apporter comme innovation sur le plan économique pour le Cameroun ?
Je vous remercie Monsieur/Madame, pour ce privilège que vous m’accorder de m’entretenir avec vous. Le Centre de Commerce Extérieur et des Relations Extérieures pour lequel je préside aux hautes destinées j’aimerais le rappeler, estune Petite et Moyenne Entreprise, qui naît de l’observation de nombreuses lourdeurs et de limites que connaissent souvent des investisseurs étrangers face à notre administration étatique. C’est en toute simplicité donc, une plateforme d’accueil, et d’accompagnement des investisseurs étrangers au Cameroun.
Le Cameroun, est en quête d’une véritable croissance économique, en vue d’être émergent à l’horizon 2035, de ce fait, nous apportons comme innovation au Cameroun et pour le bénéfice des camerounais, des innovations d’abord stratégiques, ensuite procédurières, et enfin sécuritaires.
Pour ce qui est du domaine stratégique, dans cette initiative privée, l’attrait véritable des investisseurs est pour moi et mon équipe, d’un très grand intérêt, et cela participe de l’information, de la bonne information. Leur présenter tel ou tel secteur opportun et prenant en compte les données du marché, les réalités sur le terrain. Permettre à chacun de ces investisseurs, à titre d’illustration, un réel accès à notre site qui vient apporter sa touche en complément de ce que fait l’Etat dans sa communication à travers la promotion de son image de marque aux travers des médias (Cameroun Tribune, Africa 24), des forums etc….
En ce qui concerne le niveau procédurier, le CCERE vient innover en tentant de faciliter les procédures pour d’éventuels investisseurs. L’investissement au Cameroun, qu’il soit public ou privé, veut toujours être empreint de solennité, or parfois cela ralentit crucialement la mise en œuvre d’un projet qui se voudra bénéfique pour notre pays. Par conséquent une de nos innovations sur ce point est un allègement important sur les procédures de sélections et d’encadrement des investisseurs, ceci en partenariat avec l’API (Agence de promotion des Investissements) par exemple. Rappelons qu’une offensive a été lancée par le gouvernement afin de promouvoir les investissements privés. Cette offensive qui s’appuie sur La loi du 18 avril 2013 fixant les incitations à l’investissement privé dont l’objectif est de « favoriser, de promouvoir et d’attirer les investissements productifs en vue de développer les activités orientées vers la promotion d’une croissance économique forte, durable et partagée, ainsi que l’emploi». Cette loi concerne les opérations relatives à la création, à l’extension, au renouvellement, au réaménagement d’actifs et/ou à la transformation d’activités dans les domaines autres que les secteurs pétrolier amont, minier et gazier, ainsi que le régime général des contrats de partenariat, régis par des textes particuliers. Le CCERE s’inscrit dans cette dynamique et tente de se rapprocher de l’investisseur pour l’accompagner à matérialiser son investissement de façon effective.
Troisièmement, l’innovation sécuritaire elle, repose simplement sur le suivi évolutif d’un projet d’investissements de l’investisseur. Il y ait des entreprises et grandes filiales étrangères qui ont pu s’accorder avec notre administration sur des projets d’investissements dans un secteur de leur choix or parfois cela ne connaît pas une certaine continuité. Notre proximité de l’investisseur visera à assurer la protection de son investissement en s’assurant de sa mise sur pied, ceci par le biais d’un éveil ou d’un rappel aux autorités ou aux comités en charge de celui-ci, de l’existence de tel ou tel investissement en cours, comment il évolue peu importe le domaine.
Des efforts considérables ont donc commencé à être faits dans ce sens et notre volonté est de participer à tout cela, en proposant nos services.
Aussi, il est à noter l’organisation de foires, expositions, séminaires, conférences et réunions relatives à l’amélioration et la promotion de la destination Cameroun à l’étranger.
L’organisation de rencontres et forum d’échanges entre experts et les différentes parties prenantes en vue d’un échange d’expérience sur les différents régimes d’investissement incitatifs et codes sectoriels (minier, pétrolier, gazier, etc.)
Cinq principes phares :
Nous offrons presque les mêmes services certes, notamment la promotion de l'image de marque du Cameroun à l'étranger, la participation à l'amélioration d'un environnement incitatif et favorable aux investissements au Cameroun, tout en proposant des mesures susceptibles d'attirer les investisseurs au Cameroun ainsi que celles susceptibles d'améliorer la mise en œuvre des codes sectoriels, sans oublier de mettre en place une banque de données de projets à la disposition des investisseurs;
Mais L'A.P.I, est un Organisme privé qui se pose comme un intermédiaire, un office de liaison entre l’investisseur et les autres Administrations et Organismes publics et privés légaux, en vue tout aussi de contribuer à l'élaboration et à la mise en œuvre de la politique du Gouvernement dans le domaine de la promotion des investissements au Cameroun. Nous voulons faire partie de la chaîne voire de l’escalier que gravirait un opérateur en vue d’atteindre son objectif. Un investisseur X contacte le CCERE, qui à son tour se rapproche de toute autre institution (hommes d’affaires Camerounais, API, Guichet unique, Ministères…)
Je vous remercie Monsieur/Madame, pour ce privilège que vous m’accorder de m’entretenir avec vous. Le Centre de Commerce Extérieur et des Relations Extérieures pour lequel je préside aux hautes destinées j’aimerais le rappeler, estune Petite et Moyenne Entreprise, qui naît de l’observation de nombreuses lourdeurs et de limites que connaissent souvent des investisseurs étrangers face à notre administration étatique. C’est en toute simplicité donc, une plateforme d’accueil, et d’accompagnement des investisseurs étrangers au Cameroun.
Le Cameroun, est en quête d’une véritable croissance économique, en vue d’être émergent à l’horizon 2035, de ce fait, nous apportons comme innovation au Cameroun et pour le bénéfice des camerounais, des innovations d’abord stratégiques, ensuite procédurières, et enfin sécuritaires.
Pour ce qui est du domaine stratégique, dans cette initiative privée, l’attrait véritable des investisseurs est pour moi et mon équipe, d’un très grand intérêt, et cela participe de l’information, de la bonne information. Leur présenter tel ou tel secteur opportun et prenant en compte les données du marché, les réalités sur le terrain. Permettre à chacun de ces investisseurs, à titre d’illustration, un réel accès à notre site qui vient apporter sa touche en complément de ce que fait l’Etat dans sa communication à travers la promotion de son image de marque aux travers des médias (Cameroun Tribune, Africa 24), des forums etc….
En ce qui concerne le niveau procédurier, le CCERE vient innover en tentant de faciliter les procédures pour d’éventuels investisseurs. L’investissement au Cameroun, qu’il soit public ou privé, veut toujours être empreint de solennité, or parfois cela ralentit crucialement la mise en œuvre d’un projet qui se voudra bénéfique pour notre pays. Par conséquent une de nos innovations sur ce point est un allègement important sur les procédures de sélections et d’encadrement des investisseurs, ceci en partenariat avec l’API (Agence de promotion des Investissements) par exemple. Rappelons qu’une offensive a été lancée par le gouvernement afin de promouvoir les investissements privés. Cette offensive qui s’appuie sur La loi du 18 avril 2013 fixant les incitations à l’investissement privé dont l’objectif est de « favoriser, de promouvoir et d’attirer les investissements productifs en vue de développer les activités orientées vers la promotion d’une croissance économique forte, durable et partagée, ainsi que l’emploi». Cette loi concerne les opérations relatives à la création, à l’extension, au renouvellement, au réaménagement d’actifs et/ou à la transformation d’activités dans les domaines autres que les secteurs pétrolier amont, minier et gazier, ainsi que le régime général des contrats de partenariat, régis par des textes particuliers. Le CCERE s’inscrit dans cette dynamique et tente de se rapprocher de l’investisseur pour l’accompagner à matérialiser son investissement de façon effective.
Troisièmement, l’innovation sécuritaire elle, repose simplement sur le suivi évolutif d’un projet d’investissements de l’investisseur. Il y ait des entreprises et grandes filiales étrangères qui ont pu s’accorder avec notre administration sur des projets d’investissements dans un secteur de leur choix or parfois cela ne connaît pas une certaine continuité. Notre proximité de l’investisseur visera à assurer la protection de son investissement en s’assurant de sa mise sur pied, ceci par le biais d’un éveil ou d’un rappel aux autorités ou aux comités en charge de celui-ci, de l’existence de tel ou tel investissement en cours, comment il évolue peu importe le domaine.
- Il y a quelques mois au Cameroun, a eu lieu des rencontres entre des investisseurs venus du Monde entier et des opérateurs économiques en vue d’établir de nouveaux partenariats et d’échanges. « Investir au Cameroun » aurait fait également découvrir également de nouveaux secteurs de développement et d’industrialisation, qu’en est-il aujourd’hui ?
Des efforts considérables ont donc commencé à être faits dans ce sens et notre volonté est de participer à tout cela, en proposant nos services.
- Que propose le CCERE aux potentiels investisseurs au Cameroun ?
- Depuis sa création en 2009 à Douala, Quelles sont les pans sur lesquels le CCERE s’est fortement impliqué pour une nouvelle dynamique de restitution entre ces opérateurs et les investisseurs ?
- Encadrement Consulaire
- Négociation Internationale
- Intelligence Economique, ou veille économique et stratégique
Aussi, il est à noter l’organisation de foires, expositions, séminaires, conférences et réunions relatives à l’amélioration et la promotion de la destination Cameroun à l’étranger.
L’organisation de rencontres et forum d’échanges entre experts et les différentes parties prenantes en vue d’un échange d’expérience sur les différents régimes d’investissement incitatifs et codes sectoriels (minier, pétrolier, gazier, etc.)
- Pratiques Diplomatiques
- Que préconisez-vous en tant que Directeur pour une nouvelle politique de développement et les opportunités d’affaires raccordées aux CCERE ?
Cinq principes phares :
- L’écoute
- Accueil
- disponibilité
- Accompagnement protocolaire et pratique
- Proximité investisseurs et agences ou administrations.
- En quoi le CCERE serait différent de l’API, Agence de promotion des investissements ?
Nous offrons presque les mêmes services certes, notamment la promotion de l'image de marque du Cameroun à l'étranger, la participation à l'amélioration d'un environnement incitatif et favorable aux investissements au Cameroun, tout en proposant des mesures susceptibles d'attirer les investisseurs au Cameroun ainsi que celles susceptibles d'améliorer la mise en œuvre des codes sectoriels, sans oublier de mettre en place une banque de données de projets à la disposition des investisseurs;
Mais L'A.P.I, est un Organisme privé qui se pose comme un intermédiaire, un office de liaison entre l’investisseur et les autres Administrations et Organismes publics et privés légaux, en vue tout aussi de contribuer à l'élaboration et à la mise en œuvre de la politique du Gouvernement dans le domaine de la promotion des investissements au Cameroun. Nous voulons faire partie de la chaîne voire de l’escalier que gravirait un opérateur en vue d’atteindre son objectif. Un investisseur X contacte le CCERE, qui à son tour se rapproche de toute autre institution (hommes d’affaires Camerounais, API, Guichet unique, Ministères…)
- Que proposez-vous pour le Cameroun dans les années à venir ?
- Un CCERE qui stimulera l’attractivité du pays dans plusieurs secteurs fructueux, banques, agriculture, énergie, bâtiments et travaux publics, transports, TIC, eau, Artisanat et économie sociale… ne sera plus qu’à constater.
- Un CCERE près de l’investisseur partout où besoin se ressentira, dans toute région, tout département, tout arrondissement, toute mairie et commune.
- Un CCERE allant à la rencontre des investisseurs même à l’étranger, pour plus de crédibilité./-