En République centrafricaine, un groupe de jeunes militent contre la haine et la discrimination fondée sur l'appartenance ethnique et la religion (photo d'archives)/ © OCHA/Yaye Nabo Séne
« Les discours de haine incitent à la violence, sapent la diversité et la cohésion sociale et menacent les valeurs et principes communs qui nous rassemblent », a rappelé le secrétaire général de l’ONU dans la perspective de la Journée internationale de lutte contre les discours de haine.
Non seulement ces discours de haine alimentent le racisme, la xénophobie et la misogynie ; ils déshumanisent les individus et les communautés. « Ils compromettent les efforts que nous déployons pour promouvoir la paix et la sécurité, les droits humains et le développement durable », a insisté António Guterres dans un message pour la Journée.
En effet, les mots, transformés en armes, peuvent mener à la violence physique. L’escalade du discours haineux à la violence a été un élément déterminant dans les crimes les plus atroces et les plus tragiques de l’époque moderne : l’antisémitisme qui a conduit à l’Holocauste ou encore le génocide de 1994 contre les Tutsis au Rwanda, a-t-il ajouté.
Internet et les médias sociaux ont attisé les discours de haine et leur ont permis de se répandre comme une traînée de poudre par-delà les frontières, rapporte ONU Info.
« Pendant la pandémie de COVID-19, les discours de haine contre les minorités se sont propagés, ce qui prouve une fois de plus que de nombreuses sociétés sont par trop perméables à la stigmatisation, à la discrimination et aux théories du complot qu’ils entraînent », a noté le Secrétaire général.
Non seulement ces discours de haine alimentent le racisme, la xénophobie et la misogynie ; ils déshumanisent les individus et les communautés. « Ils compromettent les efforts que nous déployons pour promouvoir la paix et la sécurité, les droits humains et le développement durable », a insisté António Guterres dans un message pour la Journée.
En effet, les mots, transformés en armes, peuvent mener à la violence physique. L’escalade du discours haineux à la violence a été un élément déterminant dans les crimes les plus atroces et les plus tragiques de l’époque moderne : l’antisémitisme qui a conduit à l’Holocauste ou encore le génocide de 1994 contre les Tutsis au Rwanda, a-t-il ajouté.
Internet et les médias sociaux ont attisé les discours de haine et leur ont permis de se répandre comme une traînée de poudre par-delà les frontières, rapporte ONU Info.
« Pendant la pandémie de COVID-19, les discours de haine contre les minorités se sont propagés, ce qui prouve une fois de plus que de nombreuses sociétés sont par trop perméables à la stigmatisation, à la discrimination et aux théories du complot qu’ils entraînent », a noté le Secrétaire général.