L’Afrique est-elle la propriété privée éternelle incontestée et incontestable de certaines puissances étrangères ? La foudre médiatique française qui s’abat actuellement sur Ali Bongo Odimba, ce jeune chevalier de la forêt noire ,Président de ce paradis qui s’appelle le Gabon qui regorge d’ immenses richesses naturelles comme tout les autres pays de cette sous régions d’Afrique où, tout les citoyens sont condamnés pratiquement à disparaître politiquement, économiquement ou tout simplement physiquement afin que les vrais propriétaires proclamés ou qui se proclament propriétaires inaliénables et irrévocables de ces terres pourtant situées à des milliers de kilomètres de ces maîtres de violence exercée depuis la nuit des temps contre ce continent pourtant, berceau de l’humanité, réputé pour le charme de son peuple et de son hospitalité sans borne.
Nous rappelons au monde entier qu’il y a 56 ans, précisément en 1960, cette année charnière où, pays colonisateurs et pays colonisés ont apposés au bas des documents qui ont scellés l’octroie par les colonisateurs aux colonisés leur INDÉPENDANCE et dans ce cas précis, même si les premiers pensaient que le geste qu’ils posaient et qui les engageait à vie, jamais ne vaudrait même le papier sur lequel ce mot INDÉPENDANCE est inscrit. Il est à convenir de tous que si l’enfant qui est né il y a 56 ans (indépendance depuis 1960), n’a pas grandi ou n’est pas encore suffisamment grand pour pouvoir pendre en main le moindre pan essentiel de sa vie (sa destinée), et ce de manière que, pour se brosser les dents ou tout simplement avaler une gorgée d’eau, il devrait demander la permission au très grand et tout puissant père colonisateur si non, la casserole dans laquelle le grand père le frira sera plus chaude que toutes les précédentes. Le jeune étalon a osé oui , Ali Bongo Odimba a osé demandé au très tout puissant grand père, Propriétaire éternel du Gabon, de laisser tomber quelques ‘’microns miettes’’ afin qu’il puisse s’en servir pour améliorer les conditions de vie misérabilistes de ses compatriotes gabonaises et gabonais. CRIME DE LÈZE MAJESTÉ ! Si non comment expliquer le battage médiatique français en cours actuellement en France contre Bongo alors que, personne ne parle absolument de son adversaire Jean PING qui clairement n’a cessé de proférer les menaces de toutes sortes contre le peuple gabonais et le camps Bongo allant jusqu’à s’auto proclamé président élu du Gabon alors que les urnes n’étaient même pas encore ouvertes ? Vous qui avez vu comme le reste du monde dans lequel nous vivons et en faisons tous partie, ce Monsieur Jean PING jeter ses hommes dans les rues de Libreville comme des chevaux sauvages du festival western de Saint-Tite, saccageant, pillant, détruisant les biens matériels privés et publics des Gabonaises et Gabonais et surtout, s’en prenant violemment aux forces de l’ordre du pays et allant jusqu’à brûler le parlement et palais Léon Mba, ( père de l’indépendance du Gabon), deux symboles patrimoniaux de la souveraineté du Gabon. Ils ne les ont même pas respectés ni épargnés. Monsieur le secrétaire de l’ONU cautionnez-vous ce type de conduite ? Puisque les comptes ne sont actuellement imputés à l’Élu du peuple Gabonais le Président Ali Bongo Odimba. Les ennemis de l’Afrique et de ses intérêts qui stigmatisez Ali en instrumentalisant du même coup le peuple gabonais et le reste du monde les préparant ainsi comme à l’habitude à bien accepter et avaler votre tout puissant anesthésie lorsque que vous voulez les plonger dans la
désolation, le désespoir, les guerres stériles, la pauvreté, la maladie, la barbarie, l’humiliation et la mort etc. Comment se fait-il qu’aucun de vos médias n’ait levé le moindre voile sur le comportement belliqueux, provocateur, irresponsable, barbare et horrible de ce Monsieur que vous adulez tous aujourd’hui ? Personne ne doit être étonnée d’entendre que la France et ou avec ses alliés traditionnels sont en route ou sont déjà au Gabon pour aller sauver le peuple gabonais de la mort certaine qui lui est imposée par le ‘’Dictateur, Sanguinaire ‘’ Ali Bongo Odimba. Question comme à l’habitude de camoufler et de justifier le chao, les crimes et les drames que vous imposez partout et à tout moment aux peuples africains qui ne veulent que vivre en paix chez eux. Oui bien chez eux sur la terre de leurs ancêtres où ils sont et doivent être des éternels et irrévocables héritiers. Qui de nous ne connaît pas aujourd’hui les souffrances atroces que l’on a imposées au peuple libyen ? La guerre en Côte D’ivoire, la situation malienne actuelle, la guerre interminable que mènent actuellement le Cameroun, le Nigeria, le Tchad et le Niger contre cette obscure secte appelée Boko Haram ? Qui de nous n’a pas en mémoire ce que vient de vivre la République Centrafricaine ? Qui de nous ignore ne serait que pour quelques minutes les souffrances des et génocide caché des gens du Nord Est de la RD Congo ?
Les élections présidentielles, dans tous les pays dignes d’en organiser, est un processus consensuel porté par un document en dessous duquel chaque candidat appose sa signature et dans le cas qui nous interpelle, Monsieur PING a bel et bien apposé la sienne sur ce document et a bien nous l’espérons, maîtrisé mieux que qui conque ce qui y est dit. Il ne peut oublier non plus, à moins que nous ne l’ignorons, que le décret ayant permis l’organisation des élections présidentielles au Gabon, n’autorise à aucun candidat si prestigieux soit-il de créer une violence de quelque nature que ce soit contre le peuple gabonais et ses intérêts s’il n’est pas élu président du pays.
Nous ne rappelons à personne que l’Afrique toute entière a fait confiance en cet homme en le choisissant comme secrétaire de UA. Pour tout digne fils d’Afrique que je croît être, une personnalité de cette envergure incarnait pour moi jusqu’à ce qui est en train de se passer au Gabon, la fierté, le modèle et les valeurs sûres de notre peuple et de notre continent.
L’Afrique est fatiguée d’enterrer et de pleurer ses enfants victimes de la barbarie orchestrée généralement d’ailleurs et qui se serre des fils et filles d’Afrique qui s’entretuent dans l’ignorance totale des vraies raisons pour lesquelles ils le font.
C’est pourquoi à travers cet article, nous interpelons solannellemnt, les présidents de la CEMAC , et de toutes les autres sous régions d’Afrique, du très vaillant, très brillant, très respecté, très vénérable et surtout le Grand Africaniste actuellement président en exercice de l’ UA (UNION AFRICAINE) le Président IDRISS DEBY ITNO, de prendre cette fois une responsabilité historique en rappelant et en imposant le respect du peuple africain à tout les autres.
Les africains sont très fatigués de subir éternellement les guerres qui ne sont pas réellement les leurs. Ils n’en veulent plus. Comment pouvons nous concevoir que pratiquement 70% des foyers de tension et de guerre ou de conflits armées dans le monde se trouvent en Afrique et ce façon permanente ?
PRIÈRE Président Bouhari, Président Zouma, Président Biya, Sa majesté Mohamed six, Président Bouteflika, Président Mugabe, Président Ouatara, Président Deby, Président Kenyata, Premier Ministre Dessalegn, Président Kabila, Président Santos, Président Sall, Président Issoufou et vous tous intellectuels, écrivains, académiciens, universitaires filles et fils d’Afrique , aucune contribution si minime soit-elle pour mettre un terme aux guerres sur la terre de nos ancêtres ne sera jamais petite. Vous êtes l’espérance, l’espoir et l’avenir incarnés de votre peuple, du peuple africain. L’UNION FAIT LA FORCE. Vous connaissez mieux que qui conque les affres des guerres indésirables qu’on nous impose en Afrique. Dites non à la politique du lion et des trois vaches.
Une goute de sang versée par la violence sur la terre que nous ont laissée nos ancêtres en est une de trop. Tout litige peut se régler pacifiquement à travers les mécanismes prévus à cette fin.
Tous ceux qui pensent que c’est en exterminant le dernier africain sur le continent qu’ils vont obtenir et protéger ce qu’ils appellent leurs intérêts, nous leurs offrons tout les leviers pacifiques y compris le dialogue qui est l’arme des forts. Vous avez tors de procédez comme vous avez toujours fait et que vous voulez continuer actuellement au Gabon. Nous demandons que le peuple africain et ses intérêts soient respectés y compris par les institutions internationales qui doivent être neutres et non de prendre partie comme tel est le cas actuellement au Gabon qui est un pays indépendant et souverain.
Ce qui se passe au Gabon est inacceptable et doit être arrêté tout de suite.
Nous rappelons au monde entier qu’il y a 56 ans, précisément en 1960, cette année charnière où, pays colonisateurs et pays colonisés ont apposés au bas des documents qui ont scellés l’octroie par les colonisateurs aux colonisés leur INDÉPENDANCE et dans ce cas précis, même si les premiers pensaient que le geste qu’ils posaient et qui les engageait à vie, jamais ne vaudrait même le papier sur lequel ce mot INDÉPENDANCE est inscrit. Il est à convenir de tous que si l’enfant qui est né il y a 56 ans (indépendance depuis 1960), n’a pas grandi ou n’est pas encore suffisamment grand pour pouvoir pendre en main le moindre pan essentiel de sa vie (sa destinée), et ce de manière que, pour se brosser les dents ou tout simplement avaler une gorgée d’eau, il devrait demander la permission au très grand et tout puissant père colonisateur si non, la casserole dans laquelle le grand père le frira sera plus chaude que toutes les précédentes. Le jeune étalon a osé oui , Ali Bongo Odimba a osé demandé au très tout puissant grand père, Propriétaire éternel du Gabon, de laisser tomber quelques ‘’microns miettes’’ afin qu’il puisse s’en servir pour améliorer les conditions de vie misérabilistes de ses compatriotes gabonaises et gabonais. CRIME DE LÈZE MAJESTÉ ! Si non comment expliquer le battage médiatique français en cours actuellement en France contre Bongo alors que, personne ne parle absolument de son adversaire Jean PING qui clairement n’a cessé de proférer les menaces de toutes sortes contre le peuple gabonais et le camps Bongo allant jusqu’à s’auto proclamé président élu du Gabon alors que les urnes n’étaient même pas encore ouvertes ? Vous qui avez vu comme le reste du monde dans lequel nous vivons et en faisons tous partie, ce Monsieur Jean PING jeter ses hommes dans les rues de Libreville comme des chevaux sauvages du festival western de Saint-Tite, saccageant, pillant, détruisant les biens matériels privés et publics des Gabonaises et Gabonais et surtout, s’en prenant violemment aux forces de l’ordre du pays et allant jusqu’à brûler le parlement et palais Léon Mba, ( père de l’indépendance du Gabon), deux symboles patrimoniaux de la souveraineté du Gabon. Ils ne les ont même pas respectés ni épargnés. Monsieur le secrétaire de l’ONU cautionnez-vous ce type de conduite ? Puisque les comptes ne sont actuellement imputés à l’Élu du peuple Gabonais le Président Ali Bongo Odimba. Les ennemis de l’Afrique et de ses intérêts qui stigmatisez Ali en instrumentalisant du même coup le peuple gabonais et le reste du monde les préparant ainsi comme à l’habitude à bien accepter et avaler votre tout puissant anesthésie lorsque que vous voulez les plonger dans la
désolation, le désespoir, les guerres stériles, la pauvreté, la maladie, la barbarie, l’humiliation et la mort etc. Comment se fait-il qu’aucun de vos médias n’ait levé le moindre voile sur le comportement belliqueux, provocateur, irresponsable, barbare et horrible de ce Monsieur que vous adulez tous aujourd’hui ? Personne ne doit être étonnée d’entendre que la France et ou avec ses alliés traditionnels sont en route ou sont déjà au Gabon pour aller sauver le peuple gabonais de la mort certaine qui lui est imposée par le ‘’Dictateur, Sanguinaire ‘’ Ali Bongo Odimba. Question comme à l’habitude de camoufler et de justifier le chao, les crimes et les drames que vous imposez partout et à tout moment aux peuples africains qui ne veulent que vivre en paix chez eux. Oui bien chez eux sur la terre de leurs ancêtres où ils sont et doivent être des éternels et irrévocables héritiers. Qui de nous ne connaît pas aujourd’hui les souffrances atroces que l’on a imposées au peuple libyen ? La guerre en Côte D’ivoire, la situation malienne actuelle, la guerre interminable que mènent actuellement le Cameroun, le Nigeria, le Tchad et le Niger contre cette obscure secte appelée Boko Haram ? Qui de nous n’a pas en mémoire ce que vient de vivre la République Centrafricaine ? Qui de nous ignore ne serait que pour quelques minutes les souffrances des et génocide caché des gens du Nord Est de la RD Congo ?
Les élections présidentielles, dans tous les pays dignes d’en organiser, est un processus consensuel porté par un document en dessous duquel chaque candidat appose sa signature et dans le cas qui nous interpelle, Monsieur PING a bel et bien apposé la sienne sur ce document et a bien nous l’espérons, maîtrisé mieux que qui conque ce qui y est dit. Il ne peut oublier non plus, à moins que nous ne l’ignorons, que le décret ayant permis l’organisation des élections présidentielles au Gabon, n’autorise à aucun candidat si prestigieux soit-il de créer une violence de quelque nature que ce soit contre le peuple gabonais et ses intérêts s’il n’est pas élu président du pays.
Nous ne rappelons à personne que l’Afrique toute entière a fait confiance en cet homme en le choisissant comme secrétaire de UA. Pour tout digne fils d’Afrique que je croît être, une personnalité de cette envergure incarnait pour moi jusqu’à ce qui est en train de se passer au Gabon, la fierté, le modèle et les valeurs sûres de notre peuple et de notre continent.
L’Afrique est fatiguée d’enterrer et de pleurer ses enfants victimes de la barbarie orchestrée généralement d’ailleurs et qui se serre des fils et filles d’Afrique qui s’entretuent dans l’ignorance totale des vraies raisons pour lesquelles ils le font.
C’est pourquoi à travers cet article, nous interpelons solannellemnt, les présidents de la CEMAC , et de toutes les autres sous régions d’Afrique, du très vaillant, très brillant, très respecté, très vénérable et surtout le Grand Africaniste actuellement président en exercice de l’ UA (UNION AFRICAINE) le Président IDRISS DEBY ITNO, de prendre cette fois une responsabilité historique en rappelant et en imposant le respect du peuple africain à tout les autres.
Les africains sont très fatigués de subir éternellement les guerres qui ne sont pas réellement les leurs. Ils n’en veulent plus. Comment pouvons nous concevoir que pratiquement 70% des foyers de tension et de guerre ou de conflits armées dans le monde se trouvent en Afrique et ce façon permanente ?
PRIÈRE Président Bouhari, Président Zouma, Président Biya, Sa majesté Mohamed six, Président Bouteflika, Président Mugabe, Président Ouatara, Président Deby, Président Kenyata, Premier Ministre Dessalegn, Président Kabila, Président Santos, Président Sall, Président Issoufou et vous tous intellectuels, écrivains, académiciens, universitaires filles et fils d’Afrique , aucune contribution si minime soit-elle pour mettre un terme aux guerres sur la terre de nos ancêtres ne sera jamais petite. Vous êtes l’espérance, l’espoir et l’avenir incarnés de votre peuple, du peuple africain. L’UNION FAIT LA FORCE. Vous connaissez mieux que qui conque les affres des guerres indésirables qu’on nous impose en Afrique. Dites non à la politique du lion et des trois vaches.
Une goute de sang versée par la violence sur la terre que nous ont laissée nos ancêtres en est une de trop. Tout litige peut se régler pacifiquement à travers les mécanismes prévus à cette fin.
Tous ceux qui pensent que c’est en exterminant le dernier africain sur le continent qu’ils vont obtenir et protéger ce qu’ils appellent leurs intérêts, nous leurs offrons tout les leviers pacifiques y compris le dialogue qui est l’arme des forts. Vous avez tors de procédez comme vous avez toujours fait et que vous voulez continuer actuellement au Gabon. Nous demandons que le peuple africain et ses intérêts soient respectés y compris par les institutions internationales qui doivent être neutres et non de prendre partie comme tel est le cas actuellement au Gabon qui est un pays indépendant et souverain.
Ce qui se passe au Gabon est inacceptable et doit être arrêté tout de suite.