"Panama Papers" - Maroc :
Soyez déçus, Messieurs les journalistes, tout est légal et transparent !
Les révélations des "Panama Papers" mettant en cause Monsieur Mounir El Majidi, en sa qualité de premier responsable du patrimoine de la famille Royale marocaine sont un piètre chant des sirènes exploité par des organes de presse, coutumiers du fait et en mal de sensationnel.
En effet, le Secrétaire Particulier du Roi du Maroc, en sa qualité de gestionnaire des biens royaux, a, contrairement aux informations fallacieuses contenues dans ces fameux "Panama Papers" et reprises par une certaine presse à charge, lorsqu'il s'agit du Maroc, toujours agi dans la plus stricte légalité et la plus totale transparence.
Nombre de journalistes n'ont pas hésité à s'emparer de cette affaire pour en faire les choux gras de leur journal, en croyant tenir le scoop et en donnant à leurs lecteurs un flot d'informations fallacieuses et erronées
Pour preuve, la société Orion n'a jamais acquis l'hôtel de Broglie, qui est toujours propriété de l'Etat français.
Quant à l'opération d'acquisition d'un l'hôtel particulier par la famille Royale marocaine, celle-ci a été réalisée dans la légalité la plus parfaite, et le nom du bénéficiaire n'a jamais été caché, tout en sachant que les autorités fiscales françaises ont donné leur aval et que des traces administratives existent au niveau de la conservation foncière parisienne.
Pour ce qui est, par ailleurs, de l'acquisition de la goélette El Boughaz, celle-ci est immatriculée au Maroc au nom du Souverain marocain et est amarrée tous les étés à M'diq, dans le nord du pays, où les Marocains ont tout loisir de l'admirer.
Toutes ces preuves attestent de la manière la plus criante de la transparence qui préside dans les transactions menées par le gestionnaire des biens de la famille Royale marocaine et balaient du revers de la main les informations tendancieuses contenues dans les " papiers du Panama ".
Par contre, il y a lieu de s'élever contre ce journalisme à la petite semaine voué à ternir l'intégrité de personnalités, à des fins bassement pécuniaires.
Maître Hicham Naciri, avocat de Monsieur Mounir Majidi, a bien démonté, preuves à l'appui, et dans le détail, toutes ces informations dénuées de tout fondement, dans un intéressant entretien accordé, hier, au site d'information économique marocaine en continu "Medias24".
Farid Mnebhi
Soyez déçus, Messieurs les journalistes, tout est légal et transparent !
Les révélations des "Panama Papers" mettant en cause Monsieur Mounir El Majidi, en sa qualité de premier responsable du patrimoine de la famille Royale marocaine sont un piètre chant des sirènes exploité par des organes de presse, coutumiers du fait et en mal de sensationnel.
En effet, le Secrétaire Particulier du Roi du Maroc, en sa qualité de gestionnaire des biens royaux, a, contrairement aux informations fallacieuses contenues dans ces fameux "Panama Papers" et reprises par une certaine presse à charge, lorsqu'il s'agit du Maroc, toujours agi dans la plus stricte légalité et la plus totale transparence.
Nombre de journalistes n'ont pas hésité à s'emparer de cette affaire pour en faire les choux gras de leur journal, en croyant tenir le scoop et en donnant à leurs lecteurs un flot d'informations fallacieuses et erronées
Pour preuve, la société Orion n'a jamais acquis l'hôtel de Broglie, qui est toujours propriété de l'Etat français.
Quant à l'opération d'acquisition d'un l'hôtel particulier par la famille Royale marocaine, celle-ci a été réalisée dans la légalité la plus parfaite, et le nom du bénéficiaire n'a jamais été caché, tout en sachant que les autorités fiscales françaises ont donné leur aval et que des traces administratives existent au niveau de la conservation foncière parisienne.
Pour ce qui est, par ailleurs, de l'acquisition de la goélette El Boughaz, celle-ci est immatriculée au Maroc au nom du Souverain marocain et est amarrée tous les étés à M'diq, dans le nord du pays, où les Marocains ont tout loisir de l'admirer.
Toutes ces preuves attestent de la manière la plus criante de la transparence qui préside dans les transactions menées par le gestionnaire des biens de la famille Royale marocaine et balaient du revers de la main les informations tendancieuses contenues dans les " papiers du Panama ".
Par contre, il y a lieu de s'élever contre ce journalisme à la petite semaine voué à ternir l'intégrité de personnalités, à des fins bassement pécuniaires.
Maître Hicham Naciri, avocat de Monsieur Mounir Majidi, a bien démonté, preuves à l'appui, et dans le détail, toutes ces informations dénuées de tout fondement, dans un intéressant entretien accordé, hier, au site d'information économique marocaine en continu "Medias24".
Farid Mnebhi