A la lecture du délibéré de la cour criminelle, l’atmosphère de la salle d’audience était lourde et lorsque les peines ont été prononcées, c’était le grand ouf de soulagement accompagné à la fois des cris de joie, des danses, des chants et des pleurs. Une femme s’est roulée même par terre , mouillée quelques minutes par des gouttes de pluie, pour exprimer non pas seulement sa satisfaction, mais aussi saluer la clairvoyance de la cour qui a tranché en toute équité et souveraineté.
Du côté de la défense, l’émotion et la joie étaient également à leur comble. Très ému, le bâtonnier Thomas Djolani a déclaré à la presse que « … la cour n’a pas voulu rater cette occasion pour redorer le blason de la justice de notre pays… Ce ne sont pas les clients qui ont gagné, mais aussi la République » et pour maître Bondo du barreau de Kinshasa, le dossier était vide. Selon lui « Il n’y a eu aucune preuve et surtout que l’article 87 du code pénale parlant de la sécurité intérieure de l’Etat a été abrogée par la constitution de 2015 promulguée, le 6 novembre 2015 par son excellence Denis Sassou N’Guesso… »
La cour dans son délibéré a condamné les accusés Jean Jacques Malela et Rolland fortuné Massamba de payer à dame Locko Bazonguela Christine, épouse de Mr Mahoungou Tekanima et au démoiselle Mahoungou Tibozi Prisca, la somme de un million de Ffca pour préjudice subi lors du braquage du 18 mars 2013.
A noter que, après ce verdict, la cour accordé trois jours aux accusés de se pourvoir en cassation. Avant de lever l’audience, le président de la cour criminelle n’a donné aucune précision sur les autres affaires inscrites au rôle de cette session criminelle.
Du côté de la défense, l’émotion et la joie étaient également à leur comble. Très ému, le bâtonnier Thomas Djolani a déclaré à la presse que « … la cour n’a pas voulu rater cette occasion pour redorer le blason de la justice de notre pays… Ce ne sont pas les clients qui ont gagné, mais aussi la République » et pour maître Bondo du barreau de Kinshasa, le dossier était vide. Selon lui « Il n’y a eu aucune preuve et surtout que l’article 87 du code pénale parlant de la sécurité intérieure de l’Etat a été abrogée par la constitution de 2015 promulguée, le 6 novembre 2015 par son excellence Denis Sassou N’Guesso… »
La cour dans son délibéré a condamné les accusés Jean Jacques Malela et Rolland fortuné Massamba de payer à dame Locko Bazonguela Christine, épouse de Mr Mahoungou Tekanima et au démoiselle Mahoungou Tibozi Prisca, la somme de un million de Ffca pour préjudice subi lors du braquage du 18 mars 2013.
A noter que, après ce verdict, la cour accordé trois jours aux accusés de se pourvoir en cassation. Avant de lever l’audience, le président de la cour criminelle n’a donné aucune précision sur les autres affaires inscrites au rôle de cette session criminelle.