Rechercher des solutions pour promouvoir le livre et inciter les élèves à s’adonner à la lecture. Identifier des stratégies pour la revitalisation et la publication en langues nationales, particulièrement pour les premières années de scolarité. Contribuer à améliorer la qualité des livres et à assurer leur disponibilité auprès des élèves. Partager des idées et des expériences réussies sur le terrain, etc.
Tels sont entre autres les points au menu de l’atelier régional des acteurs de l’industrie du livre en Afrique. Qui s’est ouvert ce lundi 22 janvier au siège de la Banque africaine de développement (Bad) à Abidjan-Plateau.
Organisée par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (Adea) en étroite collaboration avec l’Alliance mondiale du livre (Aml) et l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), cette rencontre internationale s’achève le 25 janvier prochain.
Elle réunit des représentants de toute la chaîne de l’industrie du livre émanant d’une vingtaine de pays d’Afrique francophone (10) et anglophone (10), en plus d’un pays lusophone : Cabo Verde.
Selon le point focal du Groupe de travail sur les livres et les matériels éducatifs (Gtlme), Aliou Sow, les quatre jours de travaux de l’atelier seront axés autour de la « création d’une synergie entre les parties prenantes. Afin qu’elles commencent à œuvrer à un objectif commun ». A savoir, offrir un forum pour l'échange d'idées sur la manière d'améliorer l'édition de livres localement produits et la disponibilité de livres pour enfants appropriés et pertinents en Afrique. Puis, identifier des solutions et proposer des stratégies réalisables pour avancer, etc.
Parlant de l’Adea, son secrétaire exécutif, Shem Okoré Bodo a relevé qu’il a pour objectif d’œuvrer au renforcement du leadership dans le domaine de l’éducation.
Le directeur de la pédagogie et de la formation continue, Silué Patrice, a au nom de la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, indiqué cet atelier va « tracer les sillons d’une industrie du livre durable ». Il a, en outre relevé que la Côte d’Ivoire s’est engagée dans la promotion des langues nationales. Silué patrice a enfin indiqué que le livre étant « la clé de réussite », le gouvernement ivoirien s’emploie à favoriser leurs accès aux apprenants.
Une visite de stands d’exposition de divers livres en marge des travaux de l’atelier a permis aux 75 participants de découvrir les publications dans les langues locales de plusieurs pays africains.
Tels sont entre autres les points au menu de l’atelier régional des acteurs de l’industrie du livre en Afrique. Qui s’est ouvert ce lundi 22 janvier au siège de la Banque africaine de développement (Bad) à Abidjan-Plateau.
Organisée par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (Adea) en étroite collaboration avec l’Alliance mondiale du livre (Aml) et l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), cette rencontre internationale s’achève le 25 janvier prochain.
Elle réunit des représentants de toute la chaîne de l’industrie du livre émanant d’une vingtaine de pays d’Afrique francophone (10) et anglophone (10), en plus d’un pays lusophone : Cabo Verde.
Selon le point focal du Groupe de travail sur les livres et les matériels éducatifs (Gtlme), Aliou Sow, les quatre jours de travaux de l’atelier seront axés autour de la « création d’une synergie entre les parties prenantes. Afin qu’elles commencent à œuvrer à un objectif commun ». A savoir, offrir un forum pour l'échange d'idées sur la manière d'améliorer l'édition de livres localement produits et la disponibilité de livres pour enfants appropriés et pertinents en Afrique. Puis, identifier des solutions et proposer des stratégies réalisables pour avancer, etc.
Parlant de l’Adea, son secrétaire exécutif, Shem Okoré Bodo a relevé qu’il a pour objectif d’œuvrer au renforcement du leadership dans le domaine de l’éducation.
Le directeur de la pédagogie et de la formation continue, Silué Patrice, a au nom de la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, indiqué cet atelier va « tracer les sillons d’une industrie du livre durable ». Il a, en outre relevé que la Côte d’Ivoire s’est engagée dans la promotion des langues nationales. Silué patrice a enfin indiqué que le livre étant « la clé de réussite », le gouvernement ivoirien s’emploie à favoriser leurs accès aux apprenants.
Une visite de stands d’exposition de divers livres en marge des travaux de l’atelier a permis aux 75 participants de découvrir les publications dans les langues locales de plusieurs pays africains.