Il est de notoriété publique que l'agence de presse algérienne, APS, est leader en matière de propagande commandée par le régime en place à Alger, mais en arriver à déformer les propos du Ministre russe des Affaires Etrangères, Sergueï Lavrov, sur le dossier des Provinces Sahariennes marocaines, c'est pousser le bouchon un peu loin.
Le mensonge de l'APS a été commis à la suite d’une rencontre, tenue le 19 février 2018 à Moscou, entre le Chef de la diplomatie russe et le Ministre algérien des Affaires Etrangères, Abdelkader Messahel, après s'être fendue d’une dépêche au contenu pour le moins irréel.
Il est vrai que grande spécialiste de la désinformation, l'APS a prétendu que Sergueï Lavrov s’était "prononcé pour des négociations directes entre le Maroc et le front polisario en vue de la résolution du conflit du Sahara occidental".
Un pur et éhonté mensonge. Voici la déclaration sur le dossier du Sahara marocain : "le Ministre russe des Affaires Etrangères a appelé les parties au conflit à respecter l’accord de cessez-le-feu signé le 6 novembre 1991".
Cette manipulation grossière, orchestrée par les hauts responsables algériens, suivie d'un échec dans la tentative de faire disparaître les preuves du crime, montre le grand embarras dans lequel le régime algérien s'est embourbé et l'ampleur de la mise au point, voire du recadrage, imposés par Moscou aux responsables algériens, notamment le Ministre algérien des Affaires Etrangères Abdelkader Messahel, et l’APS, porte-voix de la propagande d’un régime rompu au charlatanisme.
Le problème est que, fait inédit, les responsables ont poussé le bouchon trop loin en déformant les déclarations du Ministre des Affaires Etrangères d'un pays, qui plus est, celui de la Russie, pays membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Aujourd'hui, il ressort de ce énième dérapage d'Abdelkader Messahel fait qu'il est devenu la risée de l’Algérie (il irrite une grande partie de la classe politique algérienne) , tant il faudrait émettre des doutes sur les compétences d’un tel Ministre, résultat d’une alchimie plus qu’aléatoire, imposant sa diplomatie à la dévotion du régime algérien, avec son équipe constituée de hauts fonctionnaires, selon ses humeurs.
Quoi qu'il en soit, l'opinion publique algérienne à reçu 5 sur 5 les gains diplomatiques marocains comme autant d'échecs algériens. Aujourd'hui, il ne reste que la bulle médiatique. Les annonces les plus fantaisistes sont relayées par des médias locaux ou étrangers, qui sont soit complaisants, soit à la recherche du buzz.
Tout se passe comme si les responsables algériens voulaient détourner l'attention de ce qui se passe dans les camps de la honte de Tindouf, comme s'ils voulaient masquer les échecs et le manque d'espace en Afrique, comme s'ils voulaient absolument donner l'impression de marquer des points, fussent-ils imaginaires. Déconnectés de la réalité, ils gonflent la bulle médiatique en faisant le maximum de bruit. Mais cela ne donne rien. La caisse de résonance est irrémédiablement crevée !
Le mensonge de l'APS a été commis à la suite d’une rencontre, tenue le 19 février 2018 à Moscou, entre le Chef de la diplomatie russe et le Ministre algérien des Affaires Etrangères, Abdelkader Messahel, après s'être fendue d’une dépêche au contenu pour le moins irréel.
Il est vrai que grande spécialiste de la désinformation, l'APS a prétendu que Sergueï Lavrov s’était "prononcé pour des négociations directes entre le Maroc et le front polisario en vue de la résolution du conflit du Sahara occidental".
Un pur et éhonté mensonge. Voici la déclaration sur le dossier du Sahara marocain : "le Ministre russe des Affaires Etrangères a appelé les parties au conflit à respecter l’accord de cessez-le-feu signé le 6 novembre 1991".
Cette manipulation grossière, orchestrée par les hauts responsables algériens, suivie d'un échec dans la tentative de faire disparaître les preuves du crime, montre le grand embarras dans lequel le régime algérien s'est embourbé et l'ampleur de la mise au point, voire du recadrage, imposés par Moscou aux responsables algériens, notamment le Ministre algérien des Affaires Etrangères Abdelkader Messahel, et l’APS, porte-voix de la propagande d’un régime rompu au charlatanisme.
Le problème est que, fait inédit, les responsables ont poussé le bouchon trop loin en déformant les déclarations du Ministre des Affaires Etrangères d'un pays, qui plus est, celui de la Russie, pays membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Aujourd'hui, il ressort de ce énième dérapage d'Abdelkader Messahel fait qu'il est devenu la risée de l’Algérie (il irrite une grande partie de la classe politique algérienne) , tant il faudrait émettre des doutes sur les compétences d’un tel Ministre, résultat d’une alchimie plus qu’aléatoire, imposant sa diplomatie à la dévotion du régime algérien, avec son équipe constituée de hauts fonctionnaires, selon ses humeurs.
Quoi qu'il en soit, l'opinion publique algérienne à reçu 5 sur 5 les gains diplomatiques marocains comme autant d'échecs algériens. Aujourd'hui, il ne reste que la bulle médiatique. Les annonces les plus fantaisistes sont relayées par des médias locaux ou étrangers, qui sont soit complaisants, soit à la recherche du buzz.
Tout se passe comme si les responsables algériens voulaient détourner l'attention de ce qui se passe dans les camps de la honte de Tindouf, comme s'ils voulaient masquer les échecs et le manque d'espace en Afrique, comme s'ils voulaient absolument donner l'impression de marquer des points, fussent-ils imaginaires. Déconnectés de la réalité, ils gonflent la bulle médiatique en faisant le maximum de bruit. Mais cela ne donne rien. La caisse de résonance est irrémédiablement crevée !