Des soldats français en Centrafrique © reuters - 2013
Lettre ouverte au Président Français et à son équipe gouvernementale.
Objet : Encouragement et Félicitations au Président Français et toute son équipe pour l’annonce d’une intervention aux cotés du peuple centrafricain.
Excellence Monsieur le Président,
Grande est ma joie en ce jour, lorsque j’apprends la nouvelle de l’intervention de la France en Centrafrique.
Cette lettre d’encouragement, je vous l’adresse, à vous ainsi qu’à votre équipe gouvernementale qui a fait montre d’une décision ultime à connotation salvatrice pour le peuple centrafricain en détresse.
Monsieur le Président,
La détresse de mon peuple, comme vous le savez, a débuté au lendemain de son indépendance et n’a fait que s’aggraver de dates en dates jusqu’à devenir une situation pré génocidaire.
Cette situation ne traduit pas l’immaturité du peuple centrafricain mais plutôt la lâcheté et l’égoïsme de certains compatriotes décidés à faire de ce beau pays leur patrimoine et d’autres, pour cause d’avarice, se sont décidé à manipuler les jeunes compte tenu de la misère indescriptible de ces derniers afin d’assouvir leur soif de vengeance ou de la chaise suprême.
Monsieur le Président,
Votre décision redonne espoir aux pauvres femmes et filles qui se font violées tous les jours en RCA, un grand espoir pour les enfants qui vivent dans la peur et les jeunes qui sont massacrés à longueur de journée.
Nous, jeunesse centrafricaine, saluons cette grande décision à caractère amical fort de la relation de fraternité de longues dates qui lie nos deux pays.
Objet : Encouragement et Félicitations au Président Français et toute son équipe pour l’annonce d’une intervention aux cotés du peuple centrafricain.
Excellence Monsieur le Président,
Grande est ma joie en ce jour, lorsque j’apprends la nouvelle de l’intervention de la France en Centrafrique.
Cette lettre d’encouragement, je vous l’adresse, à vous ainsi qu’à votre équipe gouvernementale qui a fait montre d’une décision ultime à connotation salvatrice pour le peuple centrafricain en détresse.
Monsieur le Président,
La détresse de mon peuple, comme vous le savez, a débuté au lendemain de son indépendance et n’a fait que s’aggraver de dates en dates jusqu’à devenir une situation pré génocidaire.
Cette situation ne traduit pas l’immaturité du peuple centrafricain mais plutôt la lâcheté et l’égoïsme de certains compatriotes décidés à faire de ce beau pays leur patrimoine et d’autres, pour cause d’avarice, se sont décidé à manipuler les jeunes compte tenu de la misère indescriptible de ces derniers afin d’assouvir leur soif de vengeance ou de la chaise suprême.
Monsieur le Président,
Votre décision redonne espoir aux pauvres femmes et filles qui se font violées tous les jours en RCA, un grand espoir pour les enfants qui vivent dans la peur et les jeunes qui sont massacrés à longueur de journée.
Nous, jeunesse centrafricaine, saluons cette grande décision à caractère amical fort de la relation de fraternité de longues dates qui lie nos deux pays.
Nous vous prions de « presser les pas » pour que toutes les forces nocives en RCA soient neutralisées et qu’enfin la liberté reprenne son sens dans ce pays en déconfiture .Et que de vraies élections libres et transparentes soient organisées afin de redonner à notre Etat sa souveraineté.
Cette intervention sera un grand « coup de poing » de la démocratie et de la justice en « pleine figure » de tous les barbares qui voudraient à l’avenir asservir ou prendre en otage un peuple souverain.
Au nom de la jeunesse, je vous jette des fleurs pour cette nouvelle, qui n’est certes pas la fin de tous nos maux, mais un début de l’évolution des conditions de vie de mon peuple, qui passe d’abord par la sécurité et la protection des civils.
Vivre notre amie la France, vive la République Centrafricaine ma patrie.
Fait à Fès, le 26/11/2013
Le patriote centrafricain, K.EKA Nicolas
Cette intervention sera un grand « coup de poing » de la démocratie et de la justice en « pleine figure » de tous les barbares qui voudraient à l’avenir asservir ou prendre en otage un peuple souverain.
Au nom de la jeunesse, je vous jette des fleurs pour cette nouvelle, qui n’est certes pas la fin de tous nos maux, mais un début de l’évolution des conditions de vie de mon peuple, qui passe d’abord par la sécurité et la protection des civils.
Vivre notre amie la France, vive la République Centrafricaine ma patrie.
Fait à Fès, le 26/11/2013
Le patriote centrafricain, K.EKA Nicolas