Des membres des milices anti-Balaka, opposés aux combattants Séléka, montrent leurs armes dans un village près de Bangui le 13 décembre 2013 ( AFP / Ivan Lieman)
CENTRAFRIQUE (Alwihda) - « On nous a dit qu’il valait mieux laisser des armes pour ne pas que des communautés se retrouvent désarmées face à d’autres qui le sont toujours », a affirmé un soldat français du 8e régiment RPIMa de Castres qui est actuellement en Centrafrique, joint par le site La Dépêche et sous le sceau de l’anonymat.
Cependant, ce dernier ne précise pas de quelles communautés il s'agit. En Centrafrique, l'armée française est accusée de soutenir les milices "Anti-Balaka".
La France a discrètement revue sa stratégie suite à un désarmement polémique à Bangui, -dès les débuts de l'opération Sangaris- qui a provoqué des vengeances et des massacres entre les populations.
Cependant, ce dernier ne précise pas de quelles communautés il s'agit. En Centrafrique, l'armée française est accusée de soutenir les milices "Anti-Balaka".
La France a discrètement revue sa stratégie suite à un désarmement polémique à Bangui, -dès les débuts de l'opération Sangaris- qui a provoqué des vengeances et des massacres entre les populations.