Image: Justin Kamumba
Parmi les accusés figurent des officiers de haut rang, dont des colonels et des commandants de régiments. Le colonel Désiré Lobo et le colonel Jean-Marie Diadia wa Diadia sont au centre de cette enquête. Les onze officiers font face à quatre chefs d’accusation, à savoir fuite devant l’ennemi. Ils auraient abandonné leurs positions lors d’une bataille cruciale.
Ils sont aussi poursuivis pour abandon des armes et munitions. Ils sont accusés d’avoir laissé derrière eux des équipements militaires vitaux. Ils sont également reprochés de violation des consignes. Ils auraient désobéi aux ordres donnés sur le champ de bataille. Enfin, la Cour les accuse de détournement des deniers publics. Ils sont soupçonnés d’avoir mal géré les ressources financières allouées à leur unité.
L’incident s’est produit lors de la chute de la cité de Bunagana, située dans le territoire de Rutshuru, aux mains des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23). Les officiers incriminés dirigeaient les opérations militaires lors de cet événement tragique, et leur défaillance aurait entraîné la perte de Bunagana et la capture d’armes et de véhicules par le M23.
Les officiers sont détenus depuis juillet dernier et ont été transférés à l’auditorat militaire pour des raisons de sécurité. Actuellement, l’audience se poursuit, et le verdict pourrait être sévère : la peine capitale est envisagée.
Le verdict de la cour militaire du Nord-Kivu sera attendu avec une grande attention, car les implications pour la sécurité nationale sont profondes et préoccupantes à la suite de l’arrestation et de la comparution de ces onze officiers du 223e Bataillon des FARDC devant la cour militaire du Nord-Kivu.
Ils sont aussi poursuivis pour abandon des armes et munitions. Ils sont accusés d’avoir laissé derrière eux des équipements militaires vitaux. Ils sont également reprochés de violation des consignes. Ils auraient désobéi aux ordres donnés sur le champ de bataille. Enfin, la Cour les accuse de détournement des deniers publics. Ils sont soupçonnés d’avoir mal géré les ressources financières allouées à leur unité.
L’incident s’est produit lors de la chute de la cité de Bunagana, située dans le territoire de Rutshuru, aux mains des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23). Les officiers incriminés dirigeaient les opérations militaires lors de cet événement tragique, et leur défaillance aurait entraîné la perte de Bunagana et la capture d’armes et de véhicules par le M23.
Les officiers sont détenus depuis juillet dernier et ont été transférés à l’auditorat militaire pour des raisons de sécurité. Actuellement, l’audience se poursuit, et le verdict pourrait être sévère : la peine capitale est envisagée.
Le verdict de la cour militaire du Nord-Kivu sera attendu avec une grande attention, car les implications pour la sécurité nationale sont profondes et préoccupantes à la suite de l’arrestation et de la comparution de ces onze officiers du 223e Bataillon des FARDC devant la cour militaire du Nord-Kivu.