Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a approuvé, le 2 décembre 2024 à Abidjan, un prêt de 100 millions de dollars américains au Rwanda pour mettre en œuvre le Projet d’amélioration des transports urbains de Kigali.
L'objectif du projet est d'améliorer l'efficacité, l'inclusivité et la sécurité de la mobilité du transport routier dans la ville de Kigali. La capitale rwandaise est actuellement confrontée à un problème croissant de mobilité urbaine et à un volume de trafic élevé, ce qui exige des changements dans la conception et les systèmes de transport urbain. La congestion, les longues files d'attente prévalent à la plupart des intersections principales, ce qui augmente les coûts d'exploitation, les temps de déplacement, les perturbations et conflits de circulation.
En outre, l'absence d'un système de mobilité urbaine inclusif, tel que des voies réservées aux bus, un système de transport non motorisé et une intégration limitée entre les modes de transport public, exacerbe ces problèmes et a conduit les citoyens à opter pour les motos-taxis dont le nombre augmente dans les zones urbaines, exposant les utilisateurs à des accidents graves.
« Le projet se concentrera sur l'amélioration de trois des sept intersections critiques identifiées comme des goulets d'étranglement afin d'avoir une infrastructure de transport urbain plus efficace, plus durable et plus conviviale », a expliqué Aïssa Touré Sarr, responsable du bureau pays de la Banque africaine de développement au Rwanda. « À terme, les investissements devraient permettre d’atténuer les défis actuels et futurs de la mobilité urbaine à Kigali et préparer la voie à une transition juste vers un système de transport urbain plus durable et plus efficace, passant ainsi à un secteur à faible émission de carbone », a-t-elle ajouté.
Le projet comprend notamment la construction de carrefours prioritaires avec des dispositions relatives au transport public (voies réservées aux bus) et à la circulation non motorisée dans les trois carrefours. Il prévoit également la réalisation d’infrastructures visant à contribuer à l'amélioration du statut social des communautés à Kigali, y compris la modernisation des arrêts de bus, des stations de transport public sûres et bien éclairées, qui sont pratiques pour les mères qui allaitent, les femmes enceintes, et qui protégeront de la pluie les personnes qui attendent les bus. Des trottoirs et passages pour piétons adaptés à toutes les personnes seront installés, y compris pour les personnes handicapées, afin d'améliorer leur mobilité et leur sécurité.
La zone d'influence immédiate du projet est la ville de Kigali, qui compte 1,7 million d'habitants et dont la population devrait atteindre 3,8 millions d'ici à 2050.
L'objectif du projet est d'améliorer l'efficacité, l'inclusivité et la sécurité de la mobilité du transport routier dans la ville de Kigali. La capitale rwandaise est actuellement confrontée à un problème croissant de mobilité urbaine et à un volume de trafic élevé, ce qui exige des changements dans la conception et les systèmes de transport urbain. La congestion, les longues files d'attente prévalent à la plupart des intersections principales, ce qui augmente les coûts d'exploitation, les temps de déplacement, les perturbations et conflits de circulation.
En outre, l'absence d'un système de mobilité urbaine inclusif, tel que des voies réservées aux bus, un système de transport non motorisé et une intégration limitée entre les modes de transport public, exacerbe ces problèmes et a conduit les citoyens à opter pour les motos-taxis dont le nombre augmente dans les zones urbaines, exposant les utilisateurs à des accidents graves.
« Le projet se concentrera sur l'amélioration de trois des sept intersections critiques identifiées comme des goulets d'étranglement afin d'avoir une infrastructure de transport urbain plus efficace, plus durable et plus conviviale », a expliqué Aïssa Touré Sarr, responsable du bureau pays de la Banque africaine de développement au Rwanda. « À terme, les investissements devraient permettre d’atténuer les défis actuels et futurs de la mobilité urbaine à Kigali et préparer la voie à une transition juste vers un système de transport urbain plus durable et plus efficace, passant ainsi à un secteur à faible émission de carbone », a-t-elle ajouté.
Le projet comprend notamment la construction de carrefours prioritaires avec des dispositions relatives au transport public (voies réservées aux bus) et à la circulation non motorisée dans les trois carrefours. Il prévoit également la réalisation d’infrastructures visant à contribuer à l'amélioration du statut social des communautés à Kigali, y compris la modernisation des arrêts de bus, des stations de transport public sûres et bien éclairées, qui sont pratiques pour les mères qui allaitent, les femmes enceintes, et qui protégeront de la pluie les personnes qui attendent les bus. Des trottoirs et passages pour piétons adaptés à toutes les personnes seront installés, y compris pour les personnes handicapées, afin d'améliorer leur mobilité et leur sécurité.
La zone d'influence immédiate du projet est la ville de Kigali, qui compte 1,7 million d'habitants et dont la population devrait atteindre 3,8 millions d'ici à 2050.