Le dispositif va évoluer, indique le général Laurent Michon, commandant de l'opération Barkhane. "Nous allons faire évoluer le dispositif ici, notamment enlever certaines parties, rajouter des capacités. Nous venons de rajouter une présence permanente de chasseurs par exemple (...) Nous allons continuer en faisant évoluer le dispositif terrestre d'ici l'été, et ça, c'est avec l'armée tchadienne, en coopération avec eux", précise le n°1 de la force Barkhane.
L'opération Barkhane réarticule son dispositif "selon les désidérata et les intentions des différentes pays". "Ce c'est pas du tout un redéploiement. On ne compte pas remettre le dispositif actuellement au Mali ailleurs. Ce n'est pas du tout ça. Que ce soit au Niger, au Tchad ou dans d'autres pays, on regarde la menace terroriste qui descend vers le Golfe de Guinée, quel est l'appui et la coopération souhaitée par tel ou tel pays", clarifie le général Laurent Michon.
Le déploiement de Barkhane "n'est pas entièrement redéfini. Ce n'est pas à nous de le définir seul. Ça n'aurait aucun sens. Il se travaille actuelle avec Niamey, N'Djamdena et les autres capitales qui souhaitent un appui", affirme le n°1 de la force Barkhane.
L'opération Barkhane réarticule son dispositif "selon les désidérata et les intentions des différentes pays". "Ce c'est pas du tout un redéploiement. On ne compte pas remettre le dispositif actuellement au Mali ailleurs. Ce n'est pas du tout ça. Que ce soit au Niger, au Tchad ou dans d'autres pays, on regarde la menace terroriste qui descend vers le Golfe de Guinée, quel est l'appui et la coopération souhaitée par tel ou tel pays", clarifie le général Laurent Michon.
Le déploiement de Barkhane "n'est pas entièrement redéfini. Ce n'est pas à nous de le définir seul. Ça n'aurait aucun sens. Il se travaille actuelle avec Niamey, N'Djamdena et les autres capitales qui souhaitent un appui", affirme le n°1 de la force Barkhane.