"Aujourd'hui, nous avons des problèmes dans notre pays qui sont spécifiques, qui sont ceux qui ont amené l'UA, l'année dernière, à ne pas nous sanctionner. (...) Je le pense, on ne peut pas sanctionner le Tchad parce que les circonstances sont totalement différentes", explique Saleh Kebzabo.
"Depuis l'année dernière je l'ai dit et je reviens là-dessus, il n'a pas fait de coup d'État. Il n'a pas été désigné président parce qu'il est l'enfant de son père. Non", clarifie le leader politique et ancien n°2 du comité spécial chargé des négociations avec les politico-militaires.
Sur la question de l'éligibilité des dirigeants de transition aux élections, Saleh Kebzabo a adopté une nouvelle position :
"Depuis l'année dernière je l'ai dit et je reviens là-dessus, il n'a pas fait de coup d'État. Il n'a pas été désigné président parce qu'il est l'enfant de son père. Non", clarifie le leader politique et ancien n°2 du comité spécial chargé des négociations avec les politico-militaires.
Sur la question de l'éligibilité des dirigeants de transition aux élections, Saleh Kebzabo a adopté une nouvelle position :
"Il faut sortir de certaines phases politiciennes (...) tel que les problèmes d'éligibilité ou d'inéligibilité. Ce n'était pas ça le plus important parce qu'aujourd'hui, on fait ressortir dans le brouillon que c'est le plus important des problèmes. Non, ce n'est pas le plus important des problèmes. Le problème le plus important, c'est de nous amener à des élections transparentes. Ça, c'est le travail du gouvernement qui va être mis en place. On ne peut pas exclure quelqu'un, de quelque catégorie que ce soit. Je ne sais pas pourquoi un tel ou un tel pourrait être exclu de cette compétition si la loi ne l'interdit pas. Que ce soit quelqu'un qui a été dirigeant de la transition ou pas. Je suis libre d'en parler aujourd'hui parce que je suis de ceux qui ont dit au début que les dirigeants de la transition ne peuvent pas competir. Chemin faisant, je me suis rendu compte : pourquoi on le leur interdirait ?"