Le ministre de la Santé publique, Dr Mahamout Nahor Ngawara.
N'DJAMENA (Tchad) - Comme chaque mois, la réunion mensuelle sur le secteur de la santé réunie le ministre de tutelle et les différents partenaires autour du chef de l'Etat, au Palais présidentiel.
Les résultats ? Le taux de poliomyélite en baisse de 90%, aucun cas de choléra pour l'année 2012 et une dizaine d'infections au ver de Guinée. A la sortie d'audience, le ministre, sourire aux lèvres laisse deviner une satisfaction pour le bilan 2012.
Actuellement, le taux du budget consacré à la santé est de 6,5% depuis 2011. Le mois dernier, Idriss Déby annonçait un rehaussement à 15%. Ce taux passera à 20% en 2013 apprend-t-on comme nouveauté. Que représentent ces deux chiffres ? Autrement dit, 20% du budget représente près de 250 milliards de F CFA.
Le secteur de la santé est en "déminage" avec la construction d'une usine pharmaceutique, des hôpitaux, des centres de santés sur l'ensemble du territoire ou encore la mise en place de deux unités de dialyses, des avancés qui vont certainement alléger la balance des dépenses et la liste des priorités sachant qu'une priorité en moins se substitue à une autre.
Cette hausse conséquente, explique le ministre Mahamout Nahor Ngawara, permettra de lutter efficacement contre les maladies. L'argument est vague et en médecine on ne surf pas. Pour le moment, le manque de formation et les montants des salaires accordés au personnel de santé siffle, mais sur quel terrain ?
Les résultats ? Le taux de poliomyélite en baisse de 90%, aucun cas de choléra pour l'année 2012 et une dizaine d'infections au ver de Guinée. A la sortie d'audience, le ministre, sourire aux lèvres laisse deviner une satisfaction pour le bilan 2012.
Actuellement, le taux du budget consacré à la santé est de 6,5% depuis 2011. Le mois dernier, Idriss Déby annonçait un rehaussement à 15%. Ce taux passera à 20% en 2013 apprend-t-on comme nouveauté. Que représentent ces deux chiffres ? Autrement dit, 20% du budget représente près de 250 milliards de F CFA.
Le secteur de la santé est en "déminage" avec la construction d'une usine pharmaceutique, des hôpitaux, des centres de santés sur l'ensemble du territoire ou encore la mise en place de deux unités de dialyses, des avancés qui vont certainement alléger la balance des dépenses et la liste des priorités sachant qu'une priorité en moins se substitue à une autre.
Cette hausse conséquente, explique le ministre Mahamout Nahor Ngawara, permettra de lutter efficacement contre les maladies. L'argument est vague et en médecine on ne surf pas. Pour le moment, le manque de formation et les montants des salaires accordés au personnel de santé siffle, mais sur quel terrain ?