Les taux alarmants de mortalité maternelle et infantile au Tchad font partie des plus élevés au monde. Un enfant sur cinq au Tchad ne survivra pas jusqu'à l'âge de cinq ans, et 40% des enfants souffrent de retard de croissance, ce qui risque d'avoir des répercussions durables sur leur développement cognitif.
Face à ces indicateurs préoccupants, il devient crucial d'adopter une stratégie visant à optimiser les investissements afin d'accélérer la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Ainsi, les travaux sur la dissémination du plan d'investissement pour la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents, la nutrition et l'état civil, ont débuté le mardi 16 mai à l'hôtel Radisson Blu.
Cette initiative, mise en place par le gouvernement, vise à identifier les ressources disponibles et les lacunes à combler, à aligner les ressources sur les priorités nationales, et à mobiliser les ressources intérieures et extérieures nécessaires.
Le représentant résident de la Banque mondiale au Tchad, Kofi Amponsah, a souligné que le Tchad était éligible à l'appui du GFF (Global Financing Facility), en raison des taux élevés de décès maternels, infantiles et de malnutrition, bien au-dessus de la moyenne africaine et mondiale. Ces statistiques sont inacceptables, tant au niveau national qu'international.
Selon lui, le développement du plan d'investissement (DI 2023-2027), qui est l'objet de cette dissémination, constitue un outil mobilisateur des actions nécessaires pour réduire ces taux, faute de pouvoir les inverser à court terme.
Lors de l'ouverture officielle des travaux, le secrétaire général du ministère de la Santé publique et de la Prévention, représentant le ministre de tutelle, Dabsou Guidaoussou, a souligné que l'objectif de cette activité est de mettre fin aux décès maternels, néonatals, infantiles et évitables chez les adolescents, tout en améliorant la santé, la nutrition et la qualité de vie de ces groupes vulnérables d'ici 2030.
Dabsou Guidaoussou a également souligné la collaboration entre le ministère de la Santé publique et le ministère de la Prospective économique, qui a permis de s'assurer que les stratégies et interventions développées sont en harmonie avec le Plan national de développement, la Politique nationale de santé et le Plan national de développement sanitaire.
Face à ces indicateurs préoccupants, il devient crucial d'adopter une stratégie visant à optimiser les investissements afin d'accélérer la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Ainsi, les travaux sur la dissémination du plan d'investissement pour la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents, la nutrition et l'état civil, ont débuté le mardi 16 mai à l'hôtel Radisson Blu.
Cette initiative, mise en place par le gouvernement, vise à identifier les ressources disponibles et les lacunes à combler, à aligner les ressources sur les priorités nationales, et à mobiliser les ressources intérieures et extérieures nécessaires.
Le représentant résident de la Banque mondiale au Tchad, Kofi Amponsah, a souligné que le Tchad était éligible à l'appui du GFF (Global Financing Facility), en raison des taux élevés de décès maternels, infantiles et de malnutrition, bien au-dessus de la moyenne africaine et mondiale. Ces statistiques sont inacceptables, tant au niveau national qu'international.
Selon lui, le développement du plan d'investissement (DI 2023-2027), qui est l'objet de cette dissémination, constitue un outil mobilisateur des actions nécessaires pour réduire ces taux, faute de pouvoir les inverser à court terme.
Lors de l'ouverture officielle des travaux, le secrétaire général du ministère de la Santé publique et de la Prévention, représentant le ministre de tutelle, Dabsou Guidaoussou, a souligné que l'objectif de cette activité est de mettre fin aux décès maternels, néonatals, infantiles et évitables chez les adolescents, tout en améliorant la santé, la nutrition et la qualité de vie de ces groupes vulnérables d'ici 2030.
Dabsou Guidaoussou a également souligné la collaboration entre le ministère de la Santé publique et le ministère de la Prospective économique, qui a permis de s'assurer que les stratégies et interventions développées sont en harmonie avec le Plan national de développement, la Politique nationale de santé et le Plan national de développement sanitaire.