L'opération militaire aérienne de la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite contre les rebelles de Houthie et leur allié l'ancien président Ali Abdallah Saleh n'a pas donné le résultat escompté, à savoir faire agenouiller les rebelles et restaurer la légalité jusqu'alors réfugiée à Ryad, en Arabie Saoudite. Par contre, les rebelles appuyés par l'élite de la garde républicaine yéménite de l'ancien président ont réussi à faire déplacer les hostilités jusqu'à l'intérieur de l'Arabie Saoudite. Depuis quelques jours, des affrontements opposant rebelles yéménites aux soldats saoudiens se poursuivent à l'intérieur des territoires saoudiens même si les autorités saoudiennes refusent de le reconnaître. La garde républicaine yéménites aurait franchi mercredi soir la frontière saoudienne et des violents combats se déroulent encore aux abords de la ville de Djizane une importante ville saoudienne à la frontière du Yémen. Aux dernières nouvelles, deux soldats saoudiens sont tués, selon les autorités saoudiennes qui ont annoncé ce matin la nouvelle (RT)
Pour contrer les tentatives répétitives d'incursions des rebelles yéménites, les saoudiens dépêchent des renforts militaires aux fronts, avec des armes les plus sophistiquées, pour défendre, disent-ils, l'intégrité territoriale désormais menacée par les rebelles "qui essaient d'élargir les hostilités" aux pays du Golfe.
L'armée saoudienne détient certes un arsenal militaire ultra moderne mais n'a pas une expérience guerrière et la poursuite des hostilités militaires à long terme n'est pas dans son intérêt. Le seul issu repose sur la prochaine réunion de Genève sur le Yémen qui aura lieu la semaine prochaine. Si un cessez le feu n'intervient pas, l'Arabie Saoudite n'aura d'autre solution que de faire appel aux pays amis, en premiers les Etats unis d'Amérique, l'Angleterre, la France, le Pakistan... sinon le chaos s'installerait dans les lieux Saints et DAECH en profitera.
Alwihda - Amin Adil
Quatar
Pour contrer les tentatives répétitives d'incursions des rebelles yéménites, les saoudiens dépêchent des renforts militaires aux fronts, avec des armes les plus sophistiquées, pour défendre, disent-ils, l'intégrité territoriale désormais menacée par les rebelles "qui essaient d'élargir les hostilités" aux pays du Golfe.
L'armée saoudienne détient certes un arsenal militaire ultra moderne mais n'a pas une expérience guerrière et la poursuite des hostilités militaires à long terme n'est pas dans son intérêt. Le seul issu repose sur la prochaine réunion de Genève sur le Yémen qui aura lieu la semaine prochaine. Si un cessez le feu n'intervient pas, l'Arabie Saoudite n'aura d'autre solution que de faire appel aux pays amis, en premiers les Etats unis d'Amérique, l'Angleterre, la France, le Pakistan... sinon le chaos s'installerait dans les lieux Saints et DAECH en profitera.
Alwihda - Amin Adil
Quatar