D’entrée de jeu, le président de la CONEL a précisé devant les responsables des médias publics et privés l’objet de sa communication qui, selon lui, n’était ni une conférence de presse, ni une interview. Considérés comme les meilleurs observateurs, la presse a un rôle de premier plan à jouer dans le scrutin référendaire car « Il nous est apparu ici à l’occasion d’un scrutin un rapport des observateurs nationaux adressé par les gens qui n’avaient jamais été sur le terrain, et en plus, il était faux. Ce rapport ne manquait pas de connotation politique. »
Passant en revue l’attitude souvent déplorable des médias internationaux avec des reportages souvent truqués pour la circonstance, Henri Bouka a remis les pendules à l’heure sur ton tinté d’amertume : « Ce que nous attendons de vous organes de presse, c’est que demain vous soyez en mesure de couvrir l’événement, au lieu d’attendre que ça soit RFI. Quand Rfi a parlé, France 24 a montré les images, tout le monde se met d’accord même si c’est truqué. Vous devez, néanmoins avoir votre conscience libérée en ce que, vous aussi vous avez parlé à votre monde, c’est votre pays. », a-t-il rappelé.
Poursuivant sa communication, le président de la CONEL a attiré l’attention de la presse pour qu’elle soit plus responsable dans le traitement de l’information liée au scrutin référendaire. Ainsi leur demande-t-il de se déployer à Brazzaville et de « rendre compte à la nation et au monde de ce qui s’est passé, en termes de frémissement devant les bureaux de vote. » tout en formulant le vœu « d’occuper cet espace et ne pas le laisser à la portée des autres. Les observateurs étrangers n’ont même pas un petit appareil de photo. Ils viennent et font leur rapport vrai ou faux qui est pris pour une vérité d’évangile qu’on ne peut pas contester. »
Un appel a été lancé aux médias à accompagner les gestionnaires du processus électoral en ratissant large les bureaux de vote. « Demain lorsque, je ferai la ronde, il faut que je vous retrouve partout avec vos caméras, vos appareils photos, vos stylos pour noter ce que vous voyez et pour enfin rendre compte. Voilà tout ce que je tenais à vous dire. », a conclu Henri Bouka.
Passant en revue l’attitude souvent déplorable des médias internationaux avec des reportages souvent truqués pour la circonstance, Henri Bouka a remis les pendules à l’heure sur ton tinté d’amertume : « Ce que nous attendons de vous organes de presse, c’est que demain vous soyez en mesure de couvrir l’événement, au lieu d’attendre que ça soit RFI. Quand Rfi a parlé, France 24 a montré les images, tout le monde se met d’accord même si c’est truqué. Vous devez, néanmoins avoir votre conscience libérée en ce que, vous aussi vous avez parlé à votre monde, c’est votre pays. », a-t-il rappelé.
Poursuivant sa communication, le président de la CONEL a attiré l’attention de la presse pour qu’elle soit plus responsable dans le traitement de l’information liée au scrutin référendaire. Ainsi leur demande-t-il de se déployer à Brazzaville et de « rendre compte à la nation et au monde de ce qui s’est passé, en termes de frémissement devant les bureaux de vote. » tout en formulant le vœu « d’occuper cet espace et ne pas le laisser à la portée des autres. Les observateurs étrangers n’ont même pas un petit appareil de photo. Ils viennent et font leur rapport vrai ou faux qui est pris pour une vérité d’évangile qu’on ne peut pas contester. »
Un appel a été lancé aux médias à accompagner les gestionnaires du processus électoral en ratissant large les bureaux de vote. « Demain lorsque, je ferai la ronde, il faut que je vous retrouve partout avec vos caméras, vos appareils photos, vos stylos pour noter ce que vous voyez et pour enfin rendre compte. Voilà tout ce que je tenais à vous dire. », a conclu Henri Bouka.