Denis Sassou-N’Guesso répond à l’invitation de son homologue brésilien, Luiz Inácio Lula Da Silva, en sa qualité de président de la commission climat du Bassin du Congo. Son invitation est sans doute la reconnaissance de son engagement constant dans la préservation, la gestion durable de la forêt. A Belém, il va joindre sa voix à celles d’autres leaders mondiaux, participants à ce sommet où sera décryptée en profondeur, notamment, la problématique du réchauffement climatique.
Les questions à l’ordre du jour du sommet
Pour la première fois, depuis 2009, les pays membres de l’organisation du traité de coopération amazonienne (OTCA), qui a vu le jour en 1995, tiennent un sommet dont le but est de réfléchir sur les moyens de préserver durablement la forêt tropicale d’Amazonie. Le sommet de Belém constitue également un pas important vers la tenue de la COP30 qui se tiendra au Brésil en 2025.
Aux délégations du Brésil, de la Bolivie, de la Colombie, de l’Equateur, du Pérou, de Suriname et du Venezuela se joindront d’autres délégations invitées, dont celle de la République du Congo pour plancher sur plusieurs thématiques, notamment la participation et la protection des territoires, des activistes, de la société civile et des peuples des forêts et des eaux dans le développement durable de l’Amazonie. L'éradication du travail forcé sur le territoire fait également partie des préoccupations des chefs d’Etat, de gouvernement et des délégations présents à ce sommet.
Les participants à ce sommet pourraient s’appuyer sur la science, la technologie, l’innovation et la recherche académique, sans oublier la transition énergétique, l’exploitation minière et pétrolière pour envisager l’avenir de la forêt amazonienne. Il s’agira, également, de réfléchir sur des mesures et politiques structurelles en matière de santé, de souveraineté, de sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région amazonienne.
En outre, les questions sur le changement climatique, l’agro-écologie et socio-bio-économie de l’Amazonie figurent aussi au centre des préoccupations de ce sommet. Il en est de même de la gestion durable et des nouveaux modèles de production pour le développement régional. La thématique sur les peuples autochtones de l’Amazonie qui inclut un nouveau projet inclusif pour la région constitue un autre point en débat pendant ce sommet
L'activisme de Sassou N'Guesso dans la préservation de l'environnement
Le président congolais, Denis Sassou-N’Guesso mène, depuis des décennies, le combat de la préservation de l’environnement, notamment du Bassin du Congo. Il a pris beaucoup d’initiatives et mis en place des politiques dans cette optique.
De l’institution de la journée nationale de l’arbre, en novembre en 1982, à la décennie mondiale de l’afforestation lancée cette année en Egypte, lors de la COP 27 , en passant par le programme nationale d’afforestation et reboisement (PRONAR ), à la création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, Denis Sassou-N’Guesso démontre par son activisme dans ce domaine combien il travaille pour l’humanité.
Le sommet de Belém sur la sauvegarde de la forêt amazonienne se présente, ainsi, comme un moment indispensable dans la formulation des éléments pouvant garantir le succès du 2ème sommet sur les trois bassins forestiers tropicaux, que Brazzaville, va accueillir en fin octobre prochain.
Les questions à l’ordre du jour du sommet
Pour la première fois, depuis 2009, les pays membres de l’organisation du traité de coopération amazonienne (OTCA), qui a vu le jour en 1995, tiennent un sommet dont le but est de réfléchir sur les moyens de préserver durablement la forêt tropicale d’Amazonie. Le sommet de Belém constitue également un pas important vers la tenue de la COP30 qui se tiendra au Brésil en 2025.
Aux délégations du Brésil, de la Bolivie, de la Colombie, de l’Equateur, du Pérou, de Suriname et du Venezuela se joindront d’autres délégations invitées, dont celle de la République du Congo pour plancher sur plusieurs thématiques, notamment la participation et la protection des territoires, des activistes, de la société civile et des peuples des forêts et des eaux dans le développement durable de l’Amazonie. L'éradication du travail forcé sur le territoire fait également partie des préoccupations des chefs d’Etat, de gouvernement et des délégations présents à ce sommet.
Les participants à ce sommet pourraient s’appuyer sur la science, la technologie, l’innovation et la recherche académique, sans oublier la transition énergétique, l’exploitation minière et pétrolière pour envisager l’avenir de la forêt amazonienne. Il s’agira, également, de réfléchir sur des mesures et politiques structurelles en matière de santé, de souveraineté, de sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région amazonienne.
En outre, les questions sur le changement climatique, l’agro-écologie et socio-bio-économie de l’Amazonie figurent aussi au centre des préoccupations de ce sommet. Il en est de même de la gestion durable et des nouveaux modèles de production pour le développement régional. La thématique sur les peuples autochtones de l’Amazonie qui inclut un nouveau projet inclusif pour la région constitue un autre point en débat pendant ce sommet
L'activisme de Sassou N'Guesso dans la préservation de l'environnement
Le président congolais, Denis Sassou-N’Guesso mène, depuis des décennies, le combat de la préservation de l’environnement, notamment du Bassin du Congo. Il a pris beaucoup d’initiatives et mis en place des politiques dans cette optique.
De l’institution de la journée nationale de l’arbre, en novembre en 1982, à la décennie mondiale de l’afforestation lancée cette année en Egypte, lors de la COP 27 , en passant par le programme nationale d’afforestation et reboisement (PRONAR ), à la création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, Denis Sassou-N’Guesso démontre par son activisme dans ce domaine combien il travaille pour l’humanité.
Le sommet de Belém sur la sauvegarde de la forêt amazonienne se présente, ainsi, comme un moment indispensable dans la formulation des éléments pouvant garantir le succès du 2ème sommet sur les trois bassins forestiers tropicaux, que Brazzaville, va accueillir en fin octobre prochain.