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Soudan: Plus de 22 morts dans des manifestations contre le pouvoir dictatorial
Les manifestations contre la hausse des prix du carburant se poursuivent pour une troisième journée consécutive dans la ville d'Omdurman et un certain nombre de quartiers à Khartoum, selon les rapports des équipes d'ambulanciers et les familles des victimes, a rapporté l'agence Reuters.
Les protestations ont continué après la décision du gouvernement soudanais d'annuler les subventions aux carburants .
Les Forces de l'ordre ont utiisé des gaz lacrymogènes et tiré des balles réelles contre les manifestants mais le vice président Osman Ali Taha a indiqué que les forces de l'ordre ont tiré en l'air.
Les autorités ont annoncé la fermeture des écoles à partir du mercredi et accusait les rebelles de RUF d'être derrière ces protestations .
Le président al- Bashir a tenu une conférence de presse dans laquelle il a défendu la décision d'augmenter le carburant.
Les affrontements sporadiques ont eu lieu tout au long de mardi soir entre les manifestants et les forces de sécurité dans différentes parties de la capitale Khartoum , et un certain nombre d'autres quartiers.
La police soudanaise a déclaré dans un communiqué que ce qu'il a appelé Moundasin (infiltrés) ont profité des manifestations et brûlé les biens des citoyens .
Le collégien tué mardi prenait part aux manifestations qui ont éclaté dans la ville d'Omdurman .
Selon des témoins, les manifestants ont mis le feu au bureau du Parti du congrès national ( NCP ), dirigé par Bashir dans la ville d'Omdurman , et ont bloqué plusieurs routes et brûlé des pneus .
La vague de protestations a commencé lundi après que le gouvernement a annoncé la suppression des subventions aux carburants , qui a conduit à une augmentation des prix dans le cadre des réformes économiques.
Le régime de Khartoum est arrivé par un coup d'état militaire et dirige le pays d'une main de fer depuis plus d'une vingtaine d'années, plongeant le pays dans des interminables guerres internes sans issues.
Alwihda
Les protestations ont continué après la décision du gouvernement soudanais d'annuler les subventions aux carburants .
Les Forces de l'ordre ont utiisé des gaz lacrymogènes et tiré des balles réelles contre les manifestants mais le vice président Osman Ali Taha a indiqué que les forces de l'ordre ont tiré en l'air.
Les autorités ont annoncé la fermeture des écoles à partir du mercredi et accusait les rebelles de RUF d'être derrière ces protestations .
Le président al- Bashir a tenu une conférence de presse dans laquelle il a défendu la décision d'augmenter le carburant.
Les affrontements sporadiques ont eu lieu tout au long de mardi soir entre les manifestants et les forces de sécurité dans différentes parties de la capitale Khartoum , et un certain nombre d'autres quartiers.
La police soudanaise a déclaré dans un communiqué que ce qu'il a appelé Moundasin (infiltrés) ont profité des manifestations et brûlé les biens des citoyens .
Le collégien tué mardi prenait part aux manifestations qui ont éclaté dans la ville d'Omdurman .
Selon des témoins, les manifestants ont mis le feu au bureau du Parti du congrès national ( NCP ), dirigé par Bashir dans la ville d'Omdurman , et ont bloqué plusieurs routes et brûlé des pneus .
La vague de protestations a commencé lundi après que le gouvernement a annoncé la suppression des subventions aux carburants , qui a conduit à une augmentation des prix dans le cadre des réformes économiques.
Le régime de Khartoum est arrivé par un coup d'état militaire et dirige le pays d'une main de fer depuis plus d'une vingtaine d'années, plongeant le pays dans des interminables guerres internes sans issues.
Alwihda
