A la clôture du sommet, le président congolais, Denis Sassou N’Guesso a été choisi par ses pairs présents à Lomé pour rendre hommage au président togolais, Faure Gnassingbé pour la tenue réussie du sommet. « Nous nous félicitons de l’adoption et de la signature de la charte sur la sécurité et la sûreté maritime et le développement en Afrique", a annoncé le président congolais Denis Sassou N’Guesso pour conclure le premier sommet de l'UA sur la sécurité des mers. "Ce geste est on ne peut plus historique dans la vie de notre continent", a déclaré le chef de l’Etat qui a regagné Brazzaville, le 16 octobre .
Ce sommet de Lomé qui s’est tenu en présence de plus de quinze Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, avait un enjeu essentiel, à savoir adopter la Charte africaine sur la sureté, la sécurité maritimes et le développement. C’est un texte contraignant qui oblige les Etats à travailler de manière collégiale pour assurer la sureté et la sécurité maritime et prévoit un accompagnement financier des Etats.
L’adoption de ce texte devenait une nécessité, au regard des menaces croissantes qui pèsent sur l’espace maritime africain considéré comme levier du développement du continent. Ce texte permettra donc aux Etats africains de relever le défi de la pleine exploitation des ressources maritimes, facteurs de l’éclosion réelle de « l’économie bleue », c’est-à-dire tout ce qui est lié à la mer : les ressources minières et hydrocarbures, maritimes, la biodiversité qu’il faut préserver.
Pour le président togolais, Faure Gnassingbé, « … la protection des mers et des océans ainsi que la préservation et l’exploitation judicieuse des potentialités et des ressources dont ils regorgent, dans un environnement en proie à l’insécurité persistante et aux trafics en tout genres », constituent un enjeu.
En effet, les experts dénombrent plus de 200 attaques des pirates dans le Golfe de Guinée, depuis 2005 à nos jours, alors que le Golfe d’Aden vers la Somalie est victime des pirates depuis des années qui s’attaquent aussi bien aux tankers pétroliers, qu’aux bateaux des marchandises. Ce qui oblige les pays africains à travailler pour se doter d’un véritable financement pour combattre la piraterie ou la pêche illégale dans les zones maritimes d’Afrique, un continent qui possède une grande façade maritime et qui importe et exporte au à 90% par la mer, selon le président tchadien, président en exercice de l’Union africaine, Idris Deby Itno. Pour lui, « les immenses ressources naturelles et les potentialités économiques que renferme la zone maritime africaine constitue un levier essentiel pour le développement d’une économie bleue dans toutes ses dimensions ». Le président Deby a, par ailleurs, invité ses pairs à faire de la mise en œuvre de la Charte de Lomé une priorité.
Ce sommet de Lomé qui s’est tenu en présence de plus de quinze Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, avait un enjeu essentiel, à savoir adopter la Charte africaine sur la sureté, la sécurité maritimes et le développement. C’est un texte contraignant qui oblige les Etats à travailler de manière collégiale pour assurer la sureté et la sécurité maritime et prévoit un accompagnement financier des Etats.
L’adoption de ce texte devenait une nécessité, au regard des menaces croissantes qui pèsent sur l’espace maritime africain considéré comme levier du développement du continent. Ce texte permettra donc aux Etats africains de relever le défi de la pleine exploitation des ressources maritimes, facteurs de l’éclosion réelle de « l’économie bleue », c’est-à-dire tout ce qui est lié à la mer : les ressources minières et hydrocarbures, maritimes, la biodiversité qu’il faut préserver.
Pour le président togolais, Faure Gnassingbé, « … la protection des mers et des océans ainsi que la préservation et l’exploitation judicieuse des potentialités et des ressources dont ils regorgent, dans un environnement en proie à l’insécurité persistante et aux trafics en tout genres », constituent un enjeu.
En effet, les experts dénombrent plus de 200 attaques des pirates dans le Golfe de Guinée, depuis 2005 à nos jours, alors que le Golfe d’Aden vers la Somalie est victime des pirates depuis des années qui s’attaquent aussi bien aux tankers pétroliers, qu’aux bateaux des marchandises. Ce qui oblige les pays africains à travailler pour se doter d’un véritable financement pour combattre la piraterie ou la pêche illégale dans les zones maritimes d’Afrique, un continent qui possède une grande façade maritime et qui importe et exporte au à 90% par la mer, selon le président tchadien, président en exercice de l’Union africaine, Idris Deby Itno. Pour lui, « les immenses ressources naturelles et les potentialités économiques que renferme la zone maritime africaine constitue un levier essentiel pour le développement d’une économie bleue dans toutes ses dimensions ». Le président Deby a, par ailleurs, invité ses pairs à faire de la mise en œuvre de la Charte de Lomé une priorité.