Cette initiative vise à favoriser le partage de bonnes pratiques en matière de conservation du miel, tout en introduisant des méthodes innovantes sur les plans théorique et pratique. Ces échanges s’inscrivent dans une dynamique de professionnalisation et d’amélioration de la qualité des produits apicoles.
Le projet PFNL est mis en œuvre dans trois grandes provinces du Tchad : le Mandoul, le Logone Oriental et le Moyen-Chari. Il s’articule autour de quatre chaînes de valeur principales : le Néré, le tamarin, les tubercules de rônier et le miel.
Pour Djimdarnan Raïkinan, formateur apicole basé à Koumogo, la zone dispose d’un fort potentiel dans ce secteur. « Koumogo est un véritable centre apicole qui mérite un appui accru de la part des autorités et des partenaires au développement », affirme-t-il. Il plaide pour un renforcement des soutiens techniques et organisationnels afin que les apiculteurs puissent mieux structurer leur production et accéder à des marchés porteurs.
Par ailleurs, deux vétérans de l’apiculture présents à l’événement ont souligné l’importance de préserver et de transmettre ce métier ancestral. Selon eux, l’apiculture constitue une opportunité économique durable pour les jeunes générations et représente un levier efficace pour la lutte contre la pauvreté en milieu rural.
L’atelier d’échange se poursuivra jusqu’au vendredi 25 avril 2025, avec des démonstrations pratiques, des séances de partage d’expériences et des visites de terrain. L’objectif est de renforcer les capacités locales et de valoriser durablement les ressources forestières du Tchad.
Le projet PFNL est mis en œuvre dans trois grandes provinces du Tchad : le Mandoul, le Logone Oriental et le Moyen-Chari. Il s’articule autour de quatre chaînes de valeur principales : le Néré, le tamarin, les tubercules de rônier et le miel.
Pour Djimdarnan Raïkinan, formateur apicole basé à Koumogo, la zone dispose d’un fort potentiel dans ce secteur. « Koumogo est un véritable centre apicole qui mérite un appui accru de la part des autorités et des partenaires au développement », affirme-t-il. Il plaide pour un renforcement des soutiens techniques et organisationnels afin que les apiculteurs puissent mieux structurer leur production et accéder à des marchés porteurs.
Par ailleurs, deux vétérans de l’apiculture présents à l’événement ont souligné l’importance de préserver et de transmettre ce métier ancestral. Selon eux, l’apiculture constitue une opportunité économique durable pour les jeunes générations et représente un levier efficace pour la lutte contre la pauvreté en milieu rural.
L’atelier d’échange se poursuivra jusqu’au vendredi 25 avril 2025, avec des démonstrations pratiques, des séances de partage d’expériences et des visites de terrain. L’objectif est de renforcer les capacités locales et de valoriser durablement les ressources forestières du Tchad.