Dans le cadre du renforcement des capacités, le ministère de la Santé publique et de la Prévention, en partenariat avec la Sanofi Global Health unit, a inauguré un atelier de formation, ce mercredi 23 avril 2025, à l'Ecole nationale de l'administration (ENA).
L'objectif de cet atelier est de former 50 infirmières et personnels soignants, sur la prise en charge des plaies chroniques et complexes, afin de lutter contre le cancer.
Dans son discours, le coordonnateur Abdelwahab Amine Ouchar a souligné que cet atelier aborde un sujet crucial touchant de nombreuses personnes à travers le monde. Les plaies chroniques, qu'elles soient liées aux cancers, aux ulcères veineux, aux escarres, ou aux plaies diabétiques, ont un impact qui va bien au-delà de la surface de la peau.
Il affirme que la prise en charge des plaies chroniques représente un enjeu économique, touchant également les aspects physiques, psychologiques et sociaux de la vie des patients. En effet, il existe un manque de formation de la prise en charge des plaies, et de la cicatrisation et des cursus médicaux des infirmiers, hormis en dermatologie et en chirurgie plastique.
Au Tchad, il a été déclaré qu'aucun programme de mise en charge des plaies chroniques n'existe, et que les structures de soins ne proposent pas un suivi adéquat pour les patients porteurs des plaies chroniques. C'est pourquoi il est impératif d'agir pour combler cette lacune en formant des professionnels de santé qualifiés dans la prise en charge des plaies chroniques, au niveau des centres de santé et des hôpitaux provinciaux nationaux.
Cette formation doit couvrir les connaissances fondamentales sur les types de plaies chroniques, les mécanismes de cicatrisation et les différents stades de cicatrisation. Moussa Kalli, président de l'organisation, a déclaré que cet atelier concerne principalement la prise en charge des plaies connues et des plaies complexes.
Ces plaies qui ne cicatrisent pas au bout de quatre semaines, représentent un enjeu économique important pour tous les patients concernés. C'est pourquoi que l’on organise deux jours de formation sur les plaies chroniques, notamment celles liées aux cancers et au diabète.
L'objectif de cet atelier est de former 50 infirmières et personnels soignants, sur la prise en charge des plaies chroniques et complexes, afin de lutter contre le cancer.
Dans son discours, le coordonnateur Abdelwahab Amine Ouchar a souligné que cet atelier aborde un sujet crucial touchant de nombreuses personnes à travers le monde. Les plaies chroniques, qu'elles soient liées aux cancers, aux ulcères veineux, aux escarres, ou aux plaies diabétiques, ont un impact qui va bien au-delà de la surface de la peau.
Il affirme que la prise en charge des plaies chroniques représente un enjeu économique, touchant également les aspects physiques, psychologiques et sociaux de la vie des patients. En effet, il existe un manque de formation de la prise en charge des plaies, et de la cicatrisation et des cursus médicaux des infirmiers, hormis en dermatologie et en chirurgie plastique.
Au Tchad, il a été déclaré qu'aucun programme de mise en charge des plaies chroniques n'existe, et que les structures de soins ne proposent pas un suivi adéquat pour les patients porteurs des plaies chroniques. C'est pourquoi il est impératif d'agir pour combler cette lacune en formant des professionnels de santé qualifiés dans la prise en charge des plaies chroniques, au niveau des centres de santé et des hôpitaux provinciaux nationaux.
Cette formation doit couvrir les connaissances fondamentales sur les types de plaies chroniques, les mécanismes de cicatrisation et les différents stades de cicatrisation. Moussa Kalli, président de l'organisation, a déclaré que cet atelier concerne principalement la prise en charge des plaies connues et des plaies complexes.
Ces plaies qui ne cicatrisent pas au bout de quatre semaines, représentent un enjeu économique important pour tous les patients concernés. C'est pourquoi que l’on organise deux jours de formation sur les plaies chroniques, notamment celles liées aux cancers et au diabète.