Le chef d’antenne de la CNDH, Ziler Djerambeté, a précisé que cet atelier vise à renforcer la chaîne locale de protection des droits humains dans un contexte où les abus – violences basées sur le genre, détentions arbitraires, traitements inhumains ou discriminations – restent trop souvent ignorés ou mal traités. Cette démarche se veut à la fois préventive et corrective.
Le Commissaire à la CNDH, Banadji Bogue, a souligné qu’il est temps que chaque acteur, à son niveau, sache comment reconnaître une violation, la documenter rigoureusement, et surtout, la signaler de manière sécurisée et efficace. « Il ne s’agit plus seulement de condamner les abus a posteriori, mais d’agir en amont, grâce à des mécanismes de veille bien outillés », a-t-il conclu.
Parmi les modules abordés : le cadre légal national et international des droits humains, les méthodes de collecte de données sensibles, l’identification des victimes vulnérables, et la collaboration entre services publics et structures indépendantes. Des cas pratiques ont permis aux participants de simuler des procédures de signalement, renforçant ainsi leur autonomie sur le terrain.
Le préfet a salué cette initiative, qu’il qualifie de « levier essentiel pour restaurer la confiance entre les institutions et les populations ». Il a également encouragé les participants à « faire preuve de courage et de responsabilité, pour que les violations ne soient plus banalisées, mais rapportées et traitées ».
Cet atelier marque ainsi une étape importante dans la construction d’un réseau local d’alerte et de réponse rapide aux atteintes aux droits humains. Il est à noter que la session prendra fin le 18 avril 2025.
Le Commissaire à la CNDH, Banadji Bogue, a souligné qu’il est temps que chaque acteur, à son niveau, sache comment reconnaître une violation, la documenter rigoureusement, et surtout, la signaler de manière sécurisée et efficace. « Il ne s’agit plus seulement de condamner les abus a posteriori, mais d’agir en amont, grâce à des mécanismes de veille bien outillés », a-t-il conclu.
Parmi les modules abordés : le cadre légal national et international des droits humains, les méthodes de collecte de données sensibles, l’identification des victimes vulnérables, et la collaboration entre services publics et structures indépendantes. Des cas pratiques ont permis aux participants de simuler des procédures de signalement, renforçant ainsi leur autonomie sur le terrain.
Le préfet a salué cette initiative, qu’il qualifie de « levier essentiel pour restaurer la confiance entre les institutions et les populations ». Il a également encouragé les participants à « faire preuve de courage et de responsabilité, pour que les violations ne soient plus banalisées, mais rapportées et traitées ».
Cet atelier marque ainsi une étape importante dans la construction d’un réseau local d’alerte et de réponse rapide aux atteintes aux droits humains. Il est à noter que la session prendra fin le 18 avril 2025.