Une bavure policière contre un automobiliste. N'Djamena, Tchad. Crédits photos : Alwihda/EN
N'DJAMENA (Tchad) - Le filtrage au sein de la police nationale continu, plusieurs arrêtés ont mis fin aux fonctions de 331 d'entre-eux. Chose nouvelle, c'est le nouveau Premier ministre Joseph Djimrangar qui a reçu des directives pour signer les différents arrêtés.
Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, M. Mahamat Zène Ali Fadel a pour sa part rendu visite à l’Ecole de police pour s’enquérir des activités de la Commission nationale de contrôle des services de la police nationale (CONACOPOL).
Des actes de braquages et d’intimidations dans les quartiers reculés de N’djamena sont devenus monnaie courante ces derniers jours. Pour défier les services de sécurité, un Clandoman d’origine centrafricaine a été tué à coups de couteau, au rond point du « Cheval » en face du siège de l’ANS de N’djamena. Une semaine riche en faits divers au Tchad, a indiqué un gendarme. L’insécurité s’est rapprochée du centre ville. A partir de 20 H, ceux qui s’hasardent à s’égarer aux bords de la place de la Nation, seront surpris par des hommes cagoulés qui leur demandent de vider les poches. Faute de quoi, ils appliquent la règle du plus fort. Les premières victimes de l’insécurité galopante sont les « Clandomen ».
Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, M. Mahamat Zène Ali Fadel a pour sa part rendu visite à l’Ecole de police pour s’enquérir des activités de la Commission nationale de contrôle des services de la police nationale (CONACOPOL).
Des actes de braquages et d’intimidations dans les quartiers reculés de N’djamena sont devenus monnaie courante ces derniers jours. Pour défier les services de sécurité, un Clandoman d’origine centrafricaine a été tué à coups de couteau, au rond point du « Cheval » en face du siège de l’ANS de N’djamena. Une semaine riche en faits divers au Tchad, a indiqué un gendarme. L’insécurité s’est rapprochée du centre ville. A partir de 20 H, ceux qui s’hasardent à s’égarer aux bords de la place de la Nation, seront surpris par des hommes cagoulés qui leur demandent de vider les poches. Faute de quoi, ils appliquent la règle du plus fort. Les premières victimes de l’insécurité galopante sont les « Clandomen ».