Dans le cadre des activités de la SENAFET 2023, l'association AFEMA forme des femmes pour faire face à leur besoin et être indépendantes dans les jours à venir, à Sarh.
La présidente de l'association AFEMA, Netoua Ernestine se dit très émue de la volonté des participantes, venues des villages environnants de Sarh pour se faire former.
La directrice générale de la femme et de l'équité du genre, représentant la ministre du Genre et de la Solidarité nationale, Mme Raïssa Kassiré dit que « la formation est un moyen d'outiller les bénéficiaires en techniques et procédés pouvant leur permettre d'améliorer leurs productions. Cette activité relative au renforcement des capacités traduit la volonté des plus hautes autorités du pays ».
Ladite activité qui revêt un caractère particulièrement stratégique vient à point nommé. Car elle se situe au centre des questions liées à la recherche constante des réponses aux multiples besoins exprimés par les organisations féminines du Moyen Chari, lorsqu'on sait qu'il existe des difficultés organisationnelles des organisations féminines de la province d'une part, et l'insuffisance des connaissances techniques pour la valorisation des produits locaux issus de la cueillette, de l'agriculture et de l'élevage d'autres part.
« Renforcer les capacités des femmes permettra d'accroître les activités génératrices de revenus qui constituent un levier non négligeable de l'économie locale et nationale, contribuant plus efficacement à l'amélioration des conditions de vie des femmes », explique-t-elle.
Le délégué du genre et de la solidarité nationale, Sabadi Modibo, pour le lancement des séances de formation, demande aux participantes de profiter de ce moment pour améliorer leur condition de vie.
Pour ce moment de partage, elles doivent se donner à fond pour rentrer avec pleines de connaissances. C'est au Centre culturel Don Bosco de Sarh que la cérémonie a eu lieu. Il s’agit d’une formation de trois jours qui vise 500 femmes.
La présidente de l'association AFEMA, Netoua Ernestine se dit très émue de la volonté des participantes, venues des villages environnants de Sarh pour se faire former.
La directrice générale de la femme et de l'équité du genre, représentant la ministre du Genre et de la Solidarité nationale, Mme Raïssa Kassiré dit que « la formation est un moyen d'outiller les bénéficiaires en techniques et procédés pouvant leur permettre d'améliorer leurs productions. Cette activité relative au renforcement des capacités traduit la volonté des plus hautes autorités du pays ».
Ladite activité qui revêt un caractère particulièrement stratégique vient à point nommé. Car elle se situe au centre des questions liées à la recherche constante des réponses aux multiples besoins exprimés par les organisations féminines du Moyen Chari, lorsqu'on sait qu'il existe des difficultés organisationnelles des organisations féminines de la province d'une part, et l'insuffisance des connaissances techniques pour la valorisation des produits locaux issus de la cueillette, de l'agriculture et de l'élevage d'autres part.
« Renforcer les capacités des femmes permettra d'accroître les activités génératrices de revenus qui constituent un levier non négligeable de l'économie locale et nationale, contribuant plus efficacement à l'amélioration des conditions de vie des femmes », explique-t-elle.
Le délégué du genre et de la solidarité nationale, Sabadi Modibo, pour le lancement des séances de formation, demande aux participantes de profiter de ce moment pour améliorer leur condition de vie.
Pour ce moment de partage, elles doivent se donner à fond pour rentrer avec pleines de connaissances. C'est au Centre culturel Don Bosco de Sarh que la cérémonie a eu lieu. Il s’agit d’une formation de trois jours qui vise 500 femmes.