"Deux individus s'etaient présentés au milieu de la matinée à notre résidence avec un courrier qui m'était adressé. J'ai demandé à ces individus d'ouvrir eux-mêmes le courrier. Ils ont ouvert et c'était une convocation qui m'était adressée à la Section nationale de recherches judiciaires (SNRJ) pour le 21 janvier", explique Abel Maïna.
L'ancien activiste a demandé aux deux individus de présenter leurs pièces d'identité. Ce qu'ils ont refusé de faire, indique Abel Maïna.
"J'avais donc refusé de toucher à la convocation et surtout de signer la décharge car en se présentant eux-mêmes à la résidence. L'un des individus, profitant des échanges avec son camarade, s'était permis de faire des vidéos à notre insu et publier sur les réseaux sociaux. Nous prenons acte de ces événements et aviserons en respectant les textes législatifs", affirme Abel Maïna.
Il se dit confiant et déterminé à "ne pas se laisser intimider par des individus ou groupuscules de personnes qui veulent mettre en mal le processus du dialogue et de réconciliation pour lequel nous sommes engagés".
L'ancien activiste a demandé aux deux individus de présenter leurs pièces d'identité. Ce qu'ils ont refusé de faire, indique Abel Maïna.
"J'avais donc refusé de toucher à la convocation et surtout de signer la décharge car en se présentant eux-mêmes à la résidence. L'un des individus, profitant des échanges avec son camarade, s'était permis de faire des vidéos à notre insu et publier sur les réseaux sociaux. Nous prenons acte de ces événements et aviserons en respectant les textes législatifs", affirme Abel Maïna.
Il se dit confiant et déterminé à "ne pas se laisser intimider par des individus ou groupuscules de personnes qui veulent mettre en mal le processus du dialogue et de réconciliation pour lequel nous sommes engagés".