Pour rappel, le 2 octobre dernier, ces otages avaient été enlevés par des hommes armés alors qu’ils revenaient du marché hebdomadaire d'Adoumri, au Nigeria. Selon le commandant de la Légion de Gendarmerie Numéro 17, Kalemi Ousmane Bidalah, cette libération est le fruit d'une longue patrouille. Il a précisé que ses hommes sont tombés sur ces malfrats au cours d’autres opérations de patrouille à la frontière Tchad-Cameroun.
D'après les témoignages de certains otages, ils ont été interceptés sous la menace d’armes à feu. Ils rapportent avoir passé sept jours dans la brousse dans des conditions extrêmement difficiles. Au cours de ce rapt, plus d'un million sept cent mille francs CFA, quatre motos, et des téléphones ont été emportés.
Lors de la présentation, le gouverneur Sougour Mahamat Galma a appelé à une collaboration étroite entre la population et les forces de défense et de sécurité. Il a déploré l'absence de forces mixtes Tchad-Cameroun, qui pourraient lutter efficacement contre ce phénomène, qualifié de "commerce de la honte".
Cette cérémonie de présentation des otages et des présumés malfrats se déroule alors que deux femmes, chacune accompagnée d'un nourrisson, enlevées le même jour à Doumdehi, canton Dari, sous-préfecture de Lamé, sont toujours en captivité.
D'après les témoignages de certains otages, ils ont été interceptés sous la menace d’armes à feu. Ils rapportent avoir passé sept jours dans la brousse dans des conditions extrêmement difficiles. Au cours de ce rapt, plus d'un million sept cent mille francs CFA, quatre motos, et des téléphones ont été emportés.
Lors de la présentation, le gouverneur Sougour Mahamat Galma a appelé à une collaboration étroite entre la population et les forces de défense et de sécurité. Il a déploré l'absence de forces mixtes Tchad-Cameroun, qui pourraient lutter efficacement contre ce phénomène, qualifié de "commerce de la honte".
Cette cérémonie de présentation des otages et des présumés malfrats se déroule alors que deux femmes, chacune accompagnée d'un nourrisson, enlevées le même jour à Doumdehi, canton Dari, sous-préfecture de Lamé, sont toujours en captivité.